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violante placido

  • Le guetteur

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    Chargé d’une grosse affaire, le Commissaire Mattéi (Daniel Auteuil) et son équipe sont sur le point de résoudre leur enquête. Ils savent qu’un braquage va avoir lieu au Crédit Général de France et sont en planque attendant que les criminels fassent leur apparition. Dès que ceux-ci sortent de la banque, l’ordre est donné de les arrêter ; ils sont pris au piège mais reçoivent l’aide inattendue d’un sniper. L’opération est un échec total, les bandits parviennent à s’enfuir mais l’un d’eux est gravement blessé toutefois peu de temps après un évènement inattendu relance l’enquête. Un coup de fil anonyme les informe de la planque du sniper et effectivement ils parviennent à appréhender un certain Vincent Kaminski (Matthieu Kassovitz) ; reste maintenant à mettre la main sur ses complices.

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    Sur le papier, Le guetteur s’annonçait plutôt alléchant puisque la caméra est dirigée par l’italien Michele Placido dont L’ange du mal était des plus séduisants. En plus de ça, il y a le face à face entre Daniel Auteuil et Matthieu Kassovitz auquel vient s’ajouter Olivier Gourmet mais qui, au final, nous laisse franchement sur notre faim. Principalement en cause, un scénario qui part parfois en roue libre et qui implique des protagonistes pas ou trop peu développés. Il était évident que les projecteurs allaient se braquer sur le trio de comédiens, le reste du casting n’est ni plus ni moins que de la chaire à canon pour tenter de faire avancer un polar bien loin de tenir ses promesses.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les toits de Paris !

  • Ghost Rider : L'esprit de vengeance

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    Depuis qu’il a signé un pacte avec le diable, la vie de notre pote Johnny Blaze (Nicolas Cage) est devenu un véritable … enfer ! Pour tenter de se protéger de cela, il a décidé de s’exiler en Europe de l’Est mais un certain Moreau (Idris Elba) est parvenu à retrouver sa trace. Cela ne semble pas relever du hasard mais plutôt du destin puisqu’il va lui demander de venir en aide à un jeune garçon du nom de Danny (Fergus Riordan). Enfin ce n’est pas vraiment Johnny dont il est venu demander l’aide mais plutôt celle de son hôte maléfique, le terrible Ghost Rider ! En échange de ce service, Moreau promet à l’ancien cascadeur de le débarrasser à jamais de sa malédiction mais la mission ne s’annonce pas aussi facile qu’il ne le pensait.

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    De toutes les adaptations des comics Marvel, Ghost Rider est loin de figurer parmi les grands succès ; on le rangerait plutôt du coté des Quatres Fantastiques ou Daredevil. Certains pensaient qu’on pouvait difficilement faire pire que le premier volet et ils ont quand même réussi à le faire ! La seule scène un tant soit peu valable reste une impressionnante baston où le Rider dévaste tout un chantier mais en dehors de ça, c’est le néant. Déjà que Cage ne fait pas l’unanimité auprès des lecteurs de Marvel, il risque de les énerver encore plus puisqu’il surjoue à fond les manettes pour tenter de donner à son personnage un coté torturé mais parvient juste à déclencher les rires. Ghost Rider : L'esprit de vengeance est un échec total qui risque d’enterrer le personnage à moins de faire un reboot complet.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment le Ghost Rider fait pipi.


    En savoir plus sur Ghost Rider ?

  • The american

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    Les suédois ont retrouvé sa trace, Jack (Georges Clooney) a été obligé de trouver refuge en Italie après avoir effacé ses traces. A Rome, il contacte Pavel (Johan Leysel) qui l’envoie dans un petit village discret où il sera en sécurité. Il se fait alors appeler Edward et prétend être un photographe mais son arrivée est vite remarquée notamment auprès du Père Benedetto (Paolo Bonacelli). Pavel le contacte de nouveau pour lui confier une mission ; il doit fournir une arme à une jeune femme ; Mathilde (Thekla Reuten). Tandis qu’il rassemble toutes les pièces pour monter cette arme, il se lie avec Clara (Violante Placido), une prostituée qu’il fréquente régulièrement.

     

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    A priori, on s’attend à ce que The american soit un bon petit film d’action au regard de son scénario : un tueur à gages débusqué doit se réfugier dans un petit village italien. Le réalisateur Anton Corbijn prend tout le monde à contrepied car s’il y a bien quelques scènes où Clooney fait jouer ses muscles et abat quelques assaillants, on est beaucoup plus proche d’un portrait du personnage. Si son passé et notamment celui qui le lie à ces fameux suédois ne nous est pas dévoilé, Jack/Edward reste entouré de mystères. La solitude semble être sa seule compagne jusqu’à une rencontre providentielle, un film intimiste loin de coller à l’image qu’il renvoie et qui risque donc de ne pas satisfaire tous les spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de prendre votre flingue quand vous allez pique-niquer.