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Gérard Darmon

  • Le cœur des hommes

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    Depuis qu’ils se sont connus dans un club de foot ; Alex, Antoine, Jeff & Manu (Marc Lavoine, Bernard Campan, Gérard Darmon & Jean-Pierre Darroussin) sont restés de sacrés potes d’enfance. Ils ne manquent pas une occasion de se voir que ce soit pour se faire une bonne bouffe ou bien pour boire un verre autour du traditionnel loto-foot. Une amitié solide qui compense une vie sentimentale pas toujours facile comme pour Antoine qui vient d’apprendre que sa femme Lili (Fabienne Babe) a eu une aventure. Si de leurs cotés, Jeff & Manu semble s’épanouir dans leurs relations respectives ; Alex accumule les conquêtes en essayant d’éviter les soupçons de sa femme Nanou (Catherine Wilkening).

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    C’est en 2003 que Le cœur des hommes débarque dans les salles obscures et rencontre un joli succès qui se perpétuera jusqu’à 10 ans plus tard en une trilogie. L’amitié masculine trouve un nouveau visage à travers ce quatuor de potes d’enfance formé par Bernard Campan, Gérard Darmon, Jean-Pierre Darroussin & Marc Lavoine qui viennent apporter la bonne humeur du film. Des personnages liés par l’amitié et l’amour vivant des choses simples ce qui crée immédiatement un lien affectif avec le spectateur. On pourrait dire qu’il ne s’y passe pas grand-chose au point de vue scénario et il sera difficile de le contredire toujours est-il qu’on passe un agréable moment en compagnie de cette bande et c’est déjà pas mal !

     

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  • Robin des bois, la véritable histoire

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    Tout le monde connaît l'histoire de Robin des bois (Max Boublil), le Prince des voleurs qui prenait aux riches pour donner aux pauvres. Tout ça est bien beau mais la réalité est toute autre ! Accompagné de son pote d'enfance Tuck (Malik Bentalha), ils préfèrent en fait s'en prendre aux enfants, aux femmes ou aux infirmes pour se remplir les poches ! Robin a toutefois besoin de faire un gros coup s'il veut pouvoir racheter l'affaire d'Alfred (Patrick Timsit) qui lui propose de reprendre le Pussycat, un bar à prostituées dont le succès ne se dément pas. Le destin va lui donner un coup de pouce en lui faisant rencontrer le gang de Sherwood mené par Petit Jean (Ary Abittan).

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    Associés sur le film Les gamins, le réalisateur Anthony Marciano & Max Boublil poursuivent leur collaboration avec une nouvelle comédie. La légende du Prince des voleurs prend ainsi un sacré coup et on est bien loin du héros exemplaire tout comme on est aussi loin de se marrer. Robin des bois, la véritable histoire s'appuie sur un casting résolument jeune (Géraldine Nakache, Malik Bentalah, Ary Abittan, le duo Eric Metzger & Quentin Margot du Petit journal) mais aussi sur un humour plus souvent lourd que drôle. Les bonnes idées sont à l'image du courage de nos héros à savoir inexistant et on a donc une comédie loin de se montrer brillante. A oublier très vite !

     

    Il faut le voir pour : Vous poser des questions si les gens détournent la tête quand vous leur parlez.

  • Bis

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    Ils se sont retrouvés à l'occasion d'un dîner dans la maison de campagne en Normandie et c'est une fin de soirée mélancolique pour nos potes Eric & Patrice (Fabian Wolfrom / Franck Dubosc & Antonin Chalon / Kad Merad). Alors qu'ils descendaient à la cave, ils font une chute brutale mais aussi extraordinaire puisqu'ils se réveillent nus et en 1986, quelques jours avant leurs résultats du bac. Cela paraît invraisemblable mais c'est une occasion unique pour Eric de revoir son Père (Gérard Darmon) tandis que Patrice se demande ce que deviendrait sa vie s'il n'avait pas épousé Caroline (Eden Ducourant / Alexandra Lamy) qu'il a justement rencontré à cette époque.

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    Dominique Farrugia à la baguette, Franck Dubosc et Kad Merad pour déclencher les rires ; on se disait que cette association ne pouvait échapper au succès. Au générique de fin de Bis, cette certitude a disparu pour laisser place à une belle déception. Déjà, on se montrera conciliant avec un scénario qui fait dans le recyclage et au dénouement écrit d'avance. Ça donne tout de même l'occasion de faire vibrer la fibre nostalgique de quelques spectateurs au détours de pubs télévisées, musiques ou produits emblématiques des années 1980. En dehors de la relation entre Eric et son père qui apporte un peu d'émotions, une comédie sans éclat qui ne tient pas ses promesses.

     

    Il faut le voir pour : Profiter de vos cheveux tant que vous le pouvez encore !

  • Nos plus belles vacances

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    Notre pote Simon (Edwyn Penot) s’en souvient encore, c’était en 1976 l’année où il a passé ses plus belles vacances. Accompagné de ses parents Isabelle & Claude (Julie Gayet & Philippe Lellouche) et de son petit frère Bibou (Solal Lellouche). C’est en Bretagne et plus précisément au Rocher Abraham qu’ils s’étaient installés. Rejoints ensuite par 2 autres couples, la présence de ces vacanciers allait rester dans la mémoire des villageois. Il faut dire que ceux-ci étaient bien méfiants au départ, la présence d’un juif après les évènements de la Seconde Guerre Mondiale a fait beaucoup parler. Pour Simon, c’est une tout autre histoire ; lui qui a connu cette année-là Marie-France (Isaure De Grandcourt), son premier grand amour.

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    Pour ceux qui suivent le cinéma français, il est difficile de ne pas penser au récent Skylab de Julie Delpy qui proposait déjà une réunion de potes d’enfance dans une maison de campagne. Cette fois, c’est Philippe Lellouche qui nous propose de faire vibrer la fibre nostalgie à travers les pantalons à pattes d’eph’, les pistes de danse rythmées par l’inimitable Dave. Autant Gayet & Lellouche forment un couple crédible, autant les 2 autres duos ont vraiment du mal à exister et ne parviennent à aucun moment à faire vivre le film. Dans la globalité, ça sonne faux et franchement ça m’étonnerait que Nos plus belles vacances vous laisse vos plus beaux souvenirs.

     

    Il faut le voir pour : Se demander pourquoi ça s’appelle le Rocher Abraham ?

  • La cité de la peur

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    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

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    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Odile Deray & Le critique - La cité de la peur

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    Le critique : Madame je n'écrirai rien sur ce film : c'est une merde !
    Odile Deray : Mais ça mérite une seconde vision ! Rappelez-moi !
    Le critique : Madame, je vous pisse à la raie !
    Odile Deray : Deray ! Odile Deray !




    En savoir plus sur La cité de la peur ?

  • Bienvenue à bord

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    Bienvenue à bord ! C’est par ces mots que notre pote Rémy Pasquier (Franck Dubosc) a appris qu’il avait réussi à décrocher ce job d’animateur sur un bateau de croisière. Pourtant, il est loin d’être le candidat idéal mais pour Isabelle (Valérie Lemercier), c’est l’homme parfait pour accomplir sa revanche. Elle a en effet appris par un mail que son supérieur et amant depuis 5 ans Jérôme (Lionnel Astier) allait effectuer la prochaine croisière avec sa femme et il a également prié Isabelle de se trouver un autre job. Elle a donc eu l’idée d’engager Rémy avec l’idée que celui-ci allait semer une véritable zizanie au cours de cette folle croisière.

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    Après le film de Pascale Pouzadoux, les spectateurs sont de nouveaux invités à prendre part à une nouvelle croisière en compagnie cette fois de Franck Dubosc, Valérie Lemercier ou encore Gérard Darmon. Tout comme son confrère, Eric Lavaine pond une comédie très bateau qui malheureusement nous anesthésie par son rythme trop tranquille et un scénario minimaliste au possible. Malgré toute la sympathie que j’éprouve pour Dubosc, son personnage qui se veut solaire finit par agacer plutôt qu’à nous faire rire et à partir de là on peut considérer que Bienvenue à bord est plutôt loupée. Ceux d’entre vous qui monteront à bord seront donc prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Réserver une croisière pour aller jouer aux machines à sous.

  • Bullit - Mais qui a tué Pamela Rose (2)

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    Bullit : J'ai été marié 25 ans et elle est partie avec mon dentiste. A chaque fois que je me brosse les dents je pense à elle... Une fois par mois...

  • Low cost

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    Bienvenue à bord du Boeing 737-200 affrété par la compagnie Lebud Jet, l’avion va bientôt quitter Djerba pour rejoindre Paris … du moins c’est ce qui était prévu ! En effet, alors que le décollage était imminent, les passagers apprennent que leur voyagiste a fait faillite et que l’appareil est désormais cloué au sol. Refusant de quitter leurs sièges, les passagers avec Dagobert (Jean-Paul Rouve) en tête décident d’occuper l’avion et mieux encore de le faire décoller ! Parmi eux se trouve Jean-Claude (Gérard Darmon), ancien pilote avec 35 000 heures de vol à son actif qui est prêt à reprendre du service. Les voilà donc dans le ciel mais à leur atterrissage, ils vont vite déchanter !

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    En voilà une très bonne surprise de notre pote Maurice Barthélémy, Low cost est une comédie qui n’est pas sans nous rappeler le mythique Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? On embarque donc pour un vol mémorable avec une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve en première ligne son ex-compère des Robins des bois Jean-Paul Rouve. Bien entendu, si vous vous souvenez des sketches qui ont fait les belles heures de Canal +, vous savez qu’il faut s’attendre à un humour plutôt absurde et je vous garantis que vous allez vous marrer ! Un film rafraîchissant qui ne vole certes pas très haut mais assez pour nous changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’avoir peur des nains !

  • Celle que j’aime

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    Depuis son divorce, Isabelle (Barbara Schultz) n’a plus qu’un homme dans vie. : son fils Achille (Anton Balekdjian). Ils sont inséparables mais sa mère est une femme très séduisante et d’ailleurs Antoine (Marc Lavoine) n’a pas su résister à son charme. Cela fait presque 1 an qu’ils sortent ensemble mais Isabelle a toujours pris le soin de cacher cette relation à Achille pour le protéger dit-elle. Seulement, le garçon surprend Antoine filer en douce aux premières heures de la journée et à partir de ce moment les choses ne seront plus vraiment les mêmes. Le jeune garçon n’accepte pas qu’un autre vienne prendre la place de son père et s’immiscer dans sa vie familiale.

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    Un homme et une femme qui s’aiment avec au milieu un petit garçon qui n’est pas pressé de voir sa mère se recaser voilà le topo. Entre 2 repas où des potes d’enfance se moquent de l’allergie aux fraises de leur camarade, se glissent quelques scènes à la teneur plus dramatique. Celle que j’aime est une comédie qui s’avère sans grandes prétentions mais surtout sans inspirations, on finit par s’ennuyer devant les tentatives du petit Achille. On se contentera d’apprécier la belle Barbara Schultz pour pallier l’inexistence de Gérard Darmon & Marc Lavoine.

     

    Il faut le voir pour : Laisser les chauffeurs de taxi engueuler les autres automobilistes, c’est leur seul plaisir de la journée !