Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fred testot - Page 2

  • Dépression et des potes

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Pour Talia & Franck (Gyselle Soares & Fred Testot), ces vacances à l’Ile Maurice aurait du être un avant-gout de paradis au lieu de quoi le couple n’a cessé de se disputer jusqu’à provoquer une inévitable rupture. Cette déception sentimentale va alors peu à peu tirer le jeune homme vers la dépression et quand il confie cela à ses potes d’enfance William, Benoit & Romain (Jonathan Lambert, Arié Elmaleh & Ary Abittan) ; ces derniers s’affolent un peu. Enfin, c’est surtout William qui devient clairement parano persuadé que Franck va vouloir mettre fin à ses jours ce qui n’est évidemment pas le cas. En tout cas, si jamais il a besoin de ses meilleurs amis, il pourra toujours compter sur eux !

    01.jpg

    Rien de plus indiqué pour sortir d’une dépression qu’une petite comédie mais encore faut-il que celle-ci réussisse à nous faire rire ! Alors que notre pote Fred Testot commence à broyer du noir après sa rupture, il se voit plus ou moins réconforté par sa bande d’amis qui vont eux aussi connaitre à leur tour cette période trouble. Tous les thèmes sont bons pour nous plonger dans la dépression ; le gars qui galère professionnellement parlant, l’autre incapable de trouver une relation stable ou encore celui qui souffre de ne pas pouvoir connaitre les joies de la paternité. Dépression et des potes fait donc office de fourre-tout autour d’un thème qui n’est qu’un faible alibi pour nous servir un énième film de potes à l’ambiance trop artificiel et aux gags éculés.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’utiliser des expressions dépassées !

  • Sur la piste du Marsupilami

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Journaliste télévisé sur le déclin, notre pote Dan Geraldo (Alain Chabat) est à deux doigts de perdre son poste sur la chaine V8. On lui a posé un ultimatum ; sa dernière chance est de faire un carton d’audience pour sa prochaine émission qu’il présentera en direct de Palombie sur les lieux-mêmes où sa carrière a commencé. A lui de se débrouiller pour dénicher le scoop du siècle en l’occurrence l’interview exclusive du chef de la tribu des Payas. Sur place, il devra retrouver son guide Pablito Camaron (Jamel Debouzze), un homme dont tout le monde se moque car il aurait vu un animal qu’on pensait qui n’existe pas mais qui n’existe : le Marsupilami !!

    01.jpg

    Après Astérix, c’est désormais le célèbre Marsupilami du génial Franquin qui se voit adapter sur le grand écran confié aux bons soins d’Alain Chabat. Il fait de nouveau confiance à l’intenable Jamel Debbouze pour nous faire bondir dans tous les sens et nous pondre une comédie familiale réussie. L’ex-Nul est fidèle à sa réputation et a glissé de nombreuses références au cœur d’un scénario riche en personnages ; les rires ne manqueront pas avec Sur la piste du Marsupilami. On gardera notamment à l’esprit un splendide hommage de Lambert Wilson à Céline Dion, une séquence d’ores et déjà culte et rien que pour ça c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’acheter un gâteau au fruit de la passion, personne n’aime ça !

  • La guerre des boutons (2011)

    aff1.jpg

    Couilles molles. C’est par cette simple déclaration qu’une nouvelle guerre est sur le point de débuter entre les Velrans et les Longeverne, une guerre sans merci et sans boutons ! La rivalité entre ces 2 villages ne date pas d’hier et elle est désormais entrée dans une phase critique ; les Longeverne sont parvenus à attraper un prisonnier et ils lancent les hostilités en le dépouillant de tous ses boutons. La riposte ne tarde pas et c’est leur chef Lebrac (Vincent Bres) qui va en faire directement les frais ; la guerre est loin d’être terminée ! Malgré son jeune âge, d’énormes responsabilités pèsent sur les épaules de Lebrac qui doit prendre soin de sa famille depuis la disparition de son père. Sa mère insiste pour qu’il trouve rapidement un travail et cela implique donc qu’il quitterait l’école et tous ses camarades.

    01.jpg

    Cette fois la guerre est lancée et c’est Yann Samuell qui dégaine le premier ses armes avec sa version de La guerre des boutons. Bon l’histoire tout le monde doit la connaitre, c’est la confrontation de 2 bandes de gamins dont le butin de guerre sera constitué de tous les boutons de leurs adversaires. Assez vite, on se rend compte qu’un soin particulier a été apporté aux dialogues comme pour essayer de trouver un héritier au légendaire "Si j’avais su, j’aurais pas venu" de Tigibus et à certains moments ça manque clairement de naturel. Un peu comme la présence de ces adultes Eric Elmosnino, Alain Chabat ou encore Fred Testot dont on se serait bien passé mais qui permettent de vendre un peu mieux le film. Dommage car le casting des enfants était plutôt bien réussi mais on ne retrouve pas vraiment l’insouciance qui caractérisait l’histoire, le film d’Yves Robert a encore de beaux jours devant lui.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’une calme tempête est un oxymore !

  • Itinéraire bis

    03.jpg

    Jean (Fred Testot) est à la tête d’un restaurant en Corse, cadeau de sa mère qu’il n’a pas eu le courage de refuser à l’époque où notre pote avait décidé d’arrêter son école hôtelière. Le temps a passé et il n’a jamais quitté l’ile de beauté ni même sa mère, quant à sont travail les dettes n’ont cessé de s’accumuler et si M. Ornano (Laurent Fernandez) n’était pas intervenu, c’était le dépôt de bilan assuré. Cet homme providentiel est d’ailleurs de passage puisque sa fille célèbre son mariage demain et va avoir la surprise de recevoir une superbe Porsche 911 bi-turbo, un modèle unique sur l’ile ! En attendant, M. Ornano charge Jean de ramener la voiture et tout se serait bien passé si le restaurateur n’avait pas croisé sur sa route Nora (Leila Behkti) qui fut jetée par-dessus bord par son propre fiancé.

    1273829916_Prison-Break-1600x1200-Wallpaper.jpg

    C’est l’été, il fait beau (enfin en théorie) et chaud ; on n’a pas forcément envie de se prendre la tête et ça doit être le cas également du scénariste d’Itinéraire bis. C’est simple, l’intrigue se résume à un road-trip entre Porto-Vecchio & Bonifacio durant lequel Leila Behkti & Fred Testot vont faire connaissance. On attend vainement que le film démarre mais après 1 heure, on comprend que c’est peine perdue et malgré la sympathie qui se dégage de ce duo, on ne peut que constater que ce premier long-métrage de Jean-Luc Perreard est un beau ratage. Pour passer un bon moment au cinéma, je crois bien qu’il va vous falloir trouver un tout autre itinéraire !

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne combine pour offrir gratuitement des vases à votre belle-famille.

  • Au bistro du coin

    aff.jpg

    La mort de Jean Valjean, un SDF du quartier, a ému de nombreux habitants et notamment Bertrand (Guy Lecluyse) qui a eu l’initiative d’organiser un spectacle. Avec la collaboration des autres commerçants et habitants, il compte ainsi récolter des fonds et surtout sensibiliser les gens sur le sort des sans-abris. Pour l’occasion, il a demandé à son pote d’enfance Manu (Fred Testot) de lui rendre un service ; utiliser son café Le Chinon 3 pour y faire les répétitions. Alors que le grand jour approche, tout le monde est un peu sur les nerfs et les bouleversements ne manqueront pas de venir rythmer la journée.

    01.jpg

    Au bistro du coin c’est avant tout un concept particulier, un film choral à l’échelle d’un quartier avec comme point d’ancrage le fameux bistro. Autour de ce lieu se tisse alors d’autres histoires plus ou moins bien amenées avec une farandole de comédiens et d’autres qui apparaissent en simples guest-stars. On ne peut pas dire qu’on retrouve réellement la chaleur d’une vie de quartier, on ne s’attache pas à des personnages transparents et les clichés finissent de nous convaincre d’aller boire un coup ailleurs. Allez, je paye ma tournée mais pas pour ce film !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous étonner de voire des gens ne pas traverser le passage piéton quand le feu est vert.

  • Le carton

    aff1.jpg

    Il est 9H17 quand Antoine (Vincent Desagnat) est réveillé par son téléphone. Au bout du fil, c’est son propriétaire qui l’informe que l’appartement qu’il lui loue devra être débarrassé à 13H sauf qu’Antoine s’est trompé de jour et pensait qu’il lui restait une journée pour déménager. Fissa, il contacte tous ses potes d’enfance afin qu’ils viennent lui donner un coup de main mais il est loin de s’imaginer la galère qui l’attend. Entre David (Fred Testot), comédien qui ne fait que répéter son rôle, Vincent (Bruno Salomone) prêt à sauter sur tout ce qui bouge malgré le fait qu’il ait une petite-amie et Lorenzo (Omar Sy) qui cherche à récupérer l’appartement pour faire des photos ; la journée s’annonce longue.

    02.jpg

    Adapté de la pièce de théâtre de Clément Michel, Le carton misait à l’époque sur la jeune génération de comédiens incarnée par Vincent Desagnat, Bruno Salomone ou encore le duo Omar & Fred. L’histoire est simple ; un déménagement organisé à la hâte et qui va évidemment tourner au désastre avec une succession de quiproquos pour essayer de nous faire marrer. De ce coté-là, c’est sur que ce n’est pas la comédie du siècle car il n’y a pas de gros fous rires à l’horizon mais c’est assez fun dans l’ensemble. L’alchimie entre les différents personnages fonctionne également plutôt bien faisant de cette petite comédie un bon moment de détente bien moins fatigant que d’aller porter des cartons !

  • Gardiens de l'ordre

    aff.jpg

    Fraichement muté sur Paris, Simon (Fred Testot) a vécu une première nuit très éprouvante. Ce CRS était en patrouille avec ses deux nouveaux collègues lorsqu'ils sont intervenus dans un appartement pour tapage nocturne. Au moment où ils se présentent à la porte, un jeune homme sous l'influence d'une nouvelle drogue ouvre le feu et abat froidement un des policiers. L'affaire est vite  étouffée car le suspect est fils d'un député mais Julie (Cécile De France) & Simon n'ont pas l'intention de cacher la vérité et vont devoir mener clandestinement leur propre enquête. Ils veulent savoir d'où vient cette nouvelle drogue et vont infiltrer un réseau à leurs risques et périls.

    01.jpg

    Plus connu pour ses rôles comiques Fred Testot se voit offrir un rôle beaucoup plus dramatique par Nicolas Boukhrief qui à l'époque déjà avait su donner sa chance à Jean Dujardin avec Convoyeurs. Pari réussi, Fred est excellent dans le rôle de ce flic et forme un duo convaincant avec Cécile De France le hic concerne le scénario. L'histoire est vraiment très banale donc pas très excitante et beaucoup trop prévisible pour qu'on ait envie de s'intéresser à Gardiens de l'ordre. Boisselier en méchant de service, ce n'est pas non plus l'idée du siècle ; de bonnes intentions mais un résultat vraiment décevant.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais avaler des pilules fluorescentes !

  • Le siffleur

    aff.jpg

    Armand Teillard (François Berléand) est un homme qui ne s'énerve jamais. Même lorsqu'on le soupçonne à tort de fraude fiscale, il accepte tout de même de payer une petite compensation ne serait-ce que pour sauver les apparences de l'administration. Mais aujourd'hui, il est vraiment révolté car le restaurant dans lequel il déjeune chaque jour risque de fermer prochainement. Les propriétaires sont victimes de racket et envisagent sérieusement de vendre cette affaire familiale. C'est alors qu'Armand leur propose les services de son frère jumeau appelé Maurice le siffleur, quelqu'un qui sait employer la manière forte quand il le faut !

    01.jpg

    Une énième comédie française pas désagréable à voir et qui, avec un peu plus d'efforts, aurait pu se révéler très sympathique. Les bons cotés résident dans ce personnage de Maurice - Héros issu du roman de Laurent Chalumeau - qui se montre parfois très fragile et dans un scénario qui multiplie les rebondissements. Il est juste dommage que les personnages secondaires soient aussi caricaturaux avec une mention spéciale pour Candice qui fait honneur à la réputation (usurpée ?) des blondes et qui en joue énormément sans oublier Xavier, la brute sans cervelle. Le siffleur est donc agréable à voir mais n'a rien de vraiment transcendant pour s'imposer dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de lire des livres, ça vous endort.

     

  • La loi de Murphy

    aff.jpg

    Tout le monde a fait des bêtises dans sa vie, Elias (Pio Marmaï) en a fait lui aussi mais l'a payé cher en passant quelques temps en prison. Aujourd'hui il est en conditionnel et bosse comme brancardier dans un hôpital mais les ennuis vont soudainement surgir. Il voit en effet débarquer aux urgences son pote d'enfance Rudy (Dominique Pinon) qu'il a connu en prison, victime d'un accident de la route. Un peu plus tôt, celui-ci avait dérobé des diamants aux frères Ortega et avait tenté de s'enfuir pour les refourguer. A quelques heures de la fin de sa conditionnelle, Elias a donc désormais un butin estimé à 10 millions d'euros sur les bras et 3 frères gitans passablement énervés à ses trousses ; la nuit risque d'être longue.

    01.jpg

    Premier film de Christophe Campos, un enfant de la télé qui a œuvré principalement sur Canal + ; La loi de Murphy est un joli fourre-tout où tout semble pouvoir arriver. Sous-titré La loi de l'emmerdement maximum, ça vous donne une idée sur les intentions du réalisateur bien décidé à nous offrir un véritable capharnaüm. Il y a de bonnes idées et le rythme soutenu du film fait qu'on passe plutôt un bon moment mais ce désordre permanent finit par nuire au film. Une comédie avec une belle brochette de comiques (Omar & Fred, Jonathan Lambert & Dominique Pinon + la présence d'Antonio "Huggy les bons tuyaux" Fargas) qui prend un malin plaisir à ne respecter aucunes règles, qui multiplie les références mais qui s'oublie aussi très vite.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais provoquer une fan de Chuck Norris

     

  • Lascars

    aff.jpg

    L’été arrive et les vacances s’annoncent chanmé pour nos 2 potes d’enfance Tony Merguez & José Frelate. Alors qu’ils pensaient s’envoler vers les magnifiques plages de Santo Rico, il semble que Tony ait un peu merdé si bien qu’ils vont devoir rester glander à la cité de Condé-sur-Ginette. Tony s’en veut à mort et décide de prendre les choses en main ; il va trouver Zoran pour dealer son herbe et se refaire de la thune en un rien de temps mais il va y avoir quelques complications. Pendant ce temps, José se fait engager par le Juge Santiepi afin d’effectuer quelques travaux mais il semble beaucoup plus intéressé par la sublime Clémence que par ce qu’il doit faire.

    01.jpg

    Au départ, il y avait une série animée diffusée autrefois par Canal + ; des petites histoires prenant pour cadre la banlieue. Véritable vent frais dans le paysage audiovisuel il en est de même avec ce long métrage qui ne manque pas de pep’s et c’est un vrai plaisir de voir débarquer les Lascars sur le grand écran. On a bien entendu conservé son graphisme originel ce qui n’empêche pas le film d’avoir recours à des décors en 3D de toute beauté où évoluent certains des personnages issus de la série. Passé l’enthousiasme des retrouvailles, la dernière demi-heure est un peu moins rythmée mais on ne regrette en aucun cas d’avoir payé une place de ciné !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais acheter vos billets d’avion chez les chinois !