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fantastique - Page 5

  • L’autre vie de Richard Kemp

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    2010. Un corps sans vie vient d’être découvert à proximité d’un viaduc et l’inspecteur Richard Kemp (Jean-Hugues Anglade) est appelé sur les lieux. Les légistes révèlent que le cadavre a eu les tympans percés, un détail qui n’est pas sans importance puisque cela rappelle au policier le mode opératoire du Perce-Oreille, un tueur en série qui avait sévi il y a quelques années. C’était en 1989 et d’une manière totalement inexplicable, Richard va retourner à cette époque. Il est ainsi confronté à lui-même alors qu’il n’était encore qu’un jeune inspecteur et avec tout ce qu’il sait concernant le Perce-Oreille, il va tenter de l’arrêter. Pour cela, il aura besoin d’aide et va ainsi se tourner vers Hélène Bastistelli (Mélanie Thierry).

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    C’est un thriller plutôt original que nous propose le réalisateur Germinal Alvarez pour son premier film puisqu’il nous permet de revenir dans le passé afin d’y découvrir L’autre vie de Richard Kemp. Cet aspect fantastique, malheureusement réduite au strict minimum, donne un peu de vigueur à l’histoire mais aussi quelques moments d’humour. Le grand regret est que le scénario n’ait pas été un peu plus étoffé tout comme ce tueur dont le profil aurait gagné à être plus affiné. En dehors de ça, rien à redire sur le casting avec l’excellent Jean-Hugues Anglade ou Mélanie Thierry même si pour cette dernière on a du mal à voir les 21 ans qui séparent les 2 versions de son personnage.

     

    Il faut le voir pour : Chercher où ils mettent la pellicule dans votre téléphone portable !

  • Mamá

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    Il a commis l’irréparable. Après avoir tué 2 collègues de travail et assassiné sa femme, un père de famille a pris la fuite avec ses 2 filles  Victoria & Lilly (Morgan McGarry / Megan Charpentier & Maya Dawe / Isabelle Nelisse) âgées respectivement de 3 et 1 ans. Roulant à vive allure sur une route enneigée, il ne peut éviter la sortie de route dont ils sortent miraculeusement indemnes et vont alors trouver refuge dans une cabane. Le père, sur sa lancée macabre, projette de mettre fin à la vie de ses enfants mais sera arrêté in-extremis par quelque chose ou plutôt quelqu’un. Il faudra ensuite attendre 5 ans pour que les filles livrées à elles-mêmes et retournées à l’état sauvage, soient retrouvées pour le plus grand bonheur de leur oncle Lucas (Nikolaj Coster-Waldau), vraiment ?

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    S’il emprunte volontiers quelques codes au genre épouvante-horreur, Mamá est surtout à rapprocher du fantastique. Produit par un maitre en la matière, en l’occurrence Guillermo Del Toro, cette première réalisation d’Andres Muschietti fait son effet avec son atmosphère sombre et étouffante. Il faut aussi et surtout souligner la grande performance des 2 filles Megan Charpentier & Isabelle Nelisse plus convaincantes que jamais en sauvageonnes. Petite réserve cependant sur une histoire classique dans son déroulement et des effets spéciaux perfectibles qui fragilisent l’immersion du spectateur. Un premier film loin d’être révolutionnaire mais plutôt prometteur.

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de ne plus se déplacer à 4 pattes !

  • Jurassic Park 3D

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    Parce que le richissime John Hammond (Richard Attenborough) s’est déplacé en personne et qu’il leur a promis de financer leurs recherches pour les 3 ans à venir, Ellie Sattler & Alan Grant (Laura Dern & Sam Neill) ont accepté de l’accompagner. C’est sur une ile proche du Costa Rica que ces 2 paléontologues se rendent pour assister à la plus grande découverte de leur vie. Cela fait 5 ans qu’Hammond a recrée sur cette ile un parc zoologique bien particulier puisqu’il y accueille … des dinosaures ! Grace à un échantillon de sang prélevé par un moustique des millions d’années auparavant, des scientifiques ont réussi à redonner vie à ces créatures extraordinaires. Bienvenue à Jurassic Park !

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    Une nouvelle fois Steven Spielberg nous invite à un voyage cinématographique extraordinaire en redonnant vie aux dinosaures. A l’instar des personnages d’Ellie & Alan, on est ébahi devant l’incroyable spectacle ; les découvertes du Brachiosaure ou du Tricératops font se réaliser nos rêves d’enfant les plus insensés. Le succès de Jurassic Park repose aussi beaucoup sur la qualité des effets spéciaux nous gratifiant de dinosaures magnifiquement réalistes et aujourd’hui encore les images sont bluffantes. Aveuglés par les prouesses techniques, on sera plus enclin à pardonner une intrigue qui ne casserait même pas les petits bras du T-Rex ce qui ne l’empêche de s’être hissé au rang de film culte.

     

    La version 3D : La perspective d’approcher d’un peu plus près les dinosaures du Jurassic Park était bien sur assez excitant pour tous les spectateurs. Et puis c’est aussi l’occasion de souffler les 20 bougies de ce film devenu un classique mais très franchement cette nouvelle version n’apporte pas la dimension qu’on espérait. Il faut déjà attendre l’arrivée du T-Rex pour profiter réellement du relief et par la suite, il n’y a bien que l’attaque des Vélociraptors qui viennent apporter un peu d’intérêt à cette 3D. Une fois n’est pas coutume, on est plus dans l’artifice que dans la révolution.

  • La ligue des gentlemen extraordinaires

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    A l’aube du 20ème siècle, les tensions entre l’Allemagne et l’Angleterre pourraient bien précipiter un conflit à l’échelle de l’Europe. L’empire britannique doit agir et c’est ainsi qu’il cherche à réunir une équipe d’individus dotés de dons exceptionnels. Plutôt réticent au départ, le légendaire Alan Quatermain (Sean Connery) a décidé de rejoindre l’aventure et il sera associé à Mina Harker, le Capitaine Nemo & l’Homme invisible (Peta Wilson, Naseeruddin Shah & Tony Curran). Reste encore à recruter l’immortel Dorian Gray (Stuart Townsend) et le plus dur sera de capturer le Dr Jekyll (Jason Flemyng) capable de se transformer une monstrueuse et indestructible créature.

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    Emmenée par Sean Connery, La ligue des gentlemen extraordinaires rassemble des figures ancrées dans notre patrimoine littéraire comme l’Homme invisible, Dorian Gray et bien sur le Docteur Jekyll et son célèbre alter ego Mr Hyde. Que ce soit individuellement ou en équipe et malgré la réputation qui les précède ces différents personnages nous laissent de glace. Adaptation de l’œuvre britannique éponyme d’Alan Moore & Kevin O’Neill, il n’offre pas vraiment les moyens de ses ambitions aussi à cause d’effets spéciaux limités et de scènes d’action sans aucun dynamisme. Face à la déferlante de films dédiés aux héros de comics, celui-ci ne pèsera pas lourd.

  • Jack le chasseur de géants

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    Son oncle lui avait demandé d’aller vendre un cheval et c’est ainsi que notre pote Jack (Nicholas Hoult) s’est retrouvé dans les ruelles du village. C’est là qu’il rencontre un drôle de moine qui lui subtilise son canasson et lui donne en échange un sac contenant … des haricots. Evidemment, en rentrant à la maison, Jack se faire sévèrement sermonner mais il est sur le point de vivre une formidable aventure. En effet, il égare un des haricots qui, au contact de l’eau, va faire pousser une plante géante s’élevant dans le ciel et qui va devenir une passerelle. Lorsqu’il était enfant, il a entendu de nombreuses histoires mais cette fois c’est la réalité ; il va bientôt pénétrer dans le monde des Géants !

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    C’est ce qu’on appelle la loi des séries ; après Sam Raimi et Le monde fantastique d'Oz c’est maintenant à l’ancien réalisateur d’X-Men Bryan Singer de s’attaquer à un conte pour enfants. Avec Jack le chasseur de géants, vous aurez tous reconnu les histoires de Jack et le Haricot magique & Jack le tueur de géants mais cette adaptation n’est pas vraiment de taille. Disons que le grand public trouvera quand même son compte puisque l’aventure est au rendez-vous, les effets spéciaux sont de bonne facture hormis peut-être ces géants trop superficiels à mon gout. Tout ça manque tout de même de spectacle en dehors de la scène finale tout comme ce couple Eleanor Tomlinson / Nicholas Hoult qui manque singulièrement de prestance. Un film au final assez sage et qui ne cherche pas à dépasser le statut d’un simple divertissement familial.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois avant d’avaler un haricot !

  • Cloud atlas

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    2144, Sonmi-351 (Doona Bae) n’est qu’un simple clone mais son avènement en tant que déesse est proche. 1936, Robert Frobisher (Ben Whishaw) a la chance de pouvoir travailler avec le célèbre compositeur Vyvyan Ayrs (Jim Broadbent) et ils vont créer une mélodie qui traversera le temps. 2012, les mésaventures de Timothy Cavendish (Jim Broadbent) vont le conduire jusque dans une maison de retraite dont il cherchera à s’échapper par tous les moyens. 1849, c’est en traversant le Pacifique que notre pote Adam Ewing (Jim Sturgess) va ouvrir les yeux sur la question de l’esclavagisme. 2321, Zachry (Tom Hanks), indigène sur une ile menacée par des barbares est sur le point de faire une rencontre décisive. 1973, l’enquête de la journaliste Luisa Rey (Halle Berry) concernant une centrale nucléaire dérange et elle met ainsi sa vie en danger.

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    C’est déjà un véritable défi que d’essayer de vous résumer ce long-métrage d’Andy & Lana Wachowski et de Tom Tykwer car il s’agit d’un gigantesque film choral se décomposant en 6 histoires. On saute ainsi d’une intrigue à l’autre plongeant le spectateur aussi bien dans le drame, la comédie, le thriller que dans la science-fiction. L’adaptation du roman de David Mitchell trainait depuis quelques années mais sa complexité réfrénait nombre de producteurs. Ambitieux, Cloud atlas l’est assurément mais dans le même temps à vouloir trop en faire ça donne de curieux résultats comme certains personnages au look improbable (la palme allant à Hugo Weaving en infirmière). Si on s’amusera des déboires de Jim Broadbent et qu’on s’émerveillera devant la magnifique Néo Séoul, le reste est bien moins excitant. Une expérience qui nous laisse plutôt sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous attendre à vivre beaucoup d’autres vies !

  • Hansel & Gretel : Witch hunters

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    Ils n’étaient encore que des enfants lorsqu’ils furent abandonnés en plein milieu de cette foret et nos potes Hansel & Gretel (Cedric Eich / Jeremy Renner & Alea Sophia Boudodimos / Gemma Arterton) n’ont jamais compris pourquoi. Ils pensaient pouvoir trouver refuge dans cette belle maison faite de friandises mais au lieu de ça, ils ont eu à faire à une terrible sorcière. Ce frère et cette sœur sont parvenus à s’en débarrasser et débute alors pour eux une prestigieuse carrière de chasseurs de sorcières. Les années passent et leur réputation n’a cessé de grandir et c’est ainsi que le maire d’Augsburg fait appel à eux pour retrouver une dizaine d’enfants disparus, victimes des sorcières.

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    Encore un film qui va réveiller chez vous quelques souvenirs d’enfance ; comme son nom l’indique Hansel & Gretel : Witch hunters revisite de manière particulière le célèbre conte de Grimm. A part dans son introduction, l’histoire originale est vite balayée pour laisser place à une vision plus fantastique et bien plus violente. Vous l’aurez compris, on est certainement pas là pour faire fonctionner nos méninges; reste ensuite un défilé de sorcières que se feront un plaisir de dégommer nos héros à coups d’arbalètes, de mitraillette ou fusil à pompe. Le sang coule donc à flot mais c’est loin d’être aussi fun que promis, juste de quoi se vider la tête pendant 1H30.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer des bonbons !

  • Sublimes créatures

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    Il ne se passe pas grand-chose à Gatlin en Caroline du Sud aussi l’arrivée d’une nouvelle élève fait beaucoup parler surtout quand il s’agit de la nièce du vieux Macon Ravenwood (Jeremy Irons). Pour notre pote Ethan Wate (Alden Ehrenreich), c’est une rencontre qui va changer sa vie car dès qu’il aperçoit Lena Duchannes (Alice Englert), il reconnait la fille qui hante ses rêves depuis des mois. C’est évident, il y a quelque chose qui les lie l’un à l’autre mais le plus étonnant reste à venir car Lena possède des dons extraordinaires et pour cause il s’agit d’une enchanteresse ! Si elle est venue jusqu’à Gatlin, c’est parce qu’à l’approche de son 16ème anniversaire, sa vie va prendre un tournant décisif.

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    Plus de Twilight à se mettre sous la dent, voici donc la nouvelle saga qui va tenter de se faire une place dans le cœur des spectateurs. Œuvre littéraire de Kami Garcia et Margaret Stohl, l’histoire est proche de celle des aventures de Bella & Edward sauf qu’ici les vampires et loup-garou laissent place à des enchanteurs plus ou moins bien intentionnés. A part ça, pas grand-chose de magique ; on a droit à une énième romance saupoudrée ici et là de quelques effets spéciaux si bien que ça ne devrait trouver grâce qu’aux yeux d’un public qui se délecte de ses histoires à l’eau de rose. Reste maintenant à attendre de savoir si le succès de Sublimes créatures sera au rendez-vous, le cas échéant apprêtez-vous à les retrouver prochainement sur le grand écran !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les repas de famille, ça risque de tourner au drame !

  • L’attaque des fourmis géantes

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    C’est un Samedi plutôt agité au Waldman Building. Après avoir vu passer Joan (Stella Stevens) et son assistante Sharon (Siri Baruc) venues travailler pour boucler leur magazine, il y a ensuite LE photographe Paolo (Chick Vennera) qui souhaite effectuer quelques clichés sur le toit. N’oublions pas Dennis (Brent Huff) qui a abandonné sa fille quelques instants pour une affaire importante mais il ne se doute pas qu’il ne la reverra jamais. En effet, tout ce beau monde va se retrouver menacé par des monstres uniques en leur genre : des fourmis géantes ! Comment ont-elles fait leur apparition, tout le monde l’ignore mais ce qui est sur c’est que la priorité est de s’enfuir mais échapper à une armée de fourmis n’est pas une mince affaire.

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    Derrière ce qui s’apparente être un nanar, se cache en fait une subtile métaphore des maux de notre société. Les victimes pris au piège dans cet immeuble ne sont rien d’autre que des travailleurs acharnés assimilables à des fourmis ouvrières au cœur d’une fourmilière. Dérangeant, provocateur et avant-gardiste ; L’attaque des fourmis géantes est une vraie … daube ! Non mais franchement, vous ne m’aviez pas cru tout de même ? C’est juste un beau navet avec des comédiens de bas-étage affrontant des monstres aux allures de jouets en plastique et puis le ridicule ne fait pas peur à l’image de l’intervention du Colonel qui veut tout péter. Dans le genre pourri c’est vrai qu’on a là du bon travail de fourmi.

  • La malédiction de Komodo

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    Le projet Cathalyse est devenu incontrôlable et il faut désormais effacer toutes traces de ce désastre. C’est la mission qu’il confie aux Docteur Porter & Professeur Phipps (Gail Harris & William Langlois) qui ont participé aux recherches pensant que la finalité était de faire pousser de la nourriture mais ils découvrent en fait les véritables desseins de ce projet. L’objectif était donc de créer une nouvelle arme avec de puissantes créatures et il est plutôt bien rempli puisque l’ile où ont été menées les expériences est désormais infestées de Komodos géants !  Pendant ce temps, Drake (Paul Logan) et ses potes d’enfance viennent de braquer un casino et parviennent à prendre la fuite dans un hélicoptère qui va manquer de s’écraser. Ils atterrissent sur une ile et je vous laisse deviner laquelle !

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    On n’y pense pas forcément mais c’est vrai que le Dragon de Komodo est l’un des animaux les plus sauvages et impressionnants que l’on connaisse aujourd’hui encore. Quelques expériences plus tard et nous voilà donc confronté à La malédiction de Komodo pour un nanar réalisé dans la plus pure tradition. Ce qui est terrible c’est qu’on n’a même pas cherché à faire d’efforts particuliers pour faire vivre le film. Il n’y a qu’à voir ces grotesques scènes d’action où les protagonistes restent plantés devant le monstre à le canarder jusqu’à ce que l’un d’eux fasse très justement remarquer que cela n’a aucuns effets sur lui. On sait déjà que le ridicule ne tue pas mais là il fait quand même bien mal et vous pourriez éprouver quelques difficultés à vous remettre d’un tel niveau de nullité.