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fantastique - Page 4

  • Le secret de l’étoile du Nord

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    Il était une fois une petite princesse appelée Boucle d’or (Vilde Zeiner) qui était fascinée par l’étoile du Nord et qui souhaitait plus que tout l’accrocher en haut de son sapin. Le Comte (Stig Werner Moe) qui convoite le trône profite de la naïveté de la petite fille pour lui tendre un odieux piège avec la complicité de la Sorcière (Agnes Kittelsen). Boucle d’or disparut alors dans la foret. Sans nouvelles de celle-ci, sa mère la Reine finit par mourir de chagrin tandis que le Roi (Anders Baasmo Christiansen) maudit l’étoile du Nord plongeant ainsi le royaume dans l’obscurité. 10 ans ont passé et selon la prophétie, il y a une dernière chance pour retrouver la princesse et dans le même temps la précieuse étoile.

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    A l’occasion des fêtes de fin d’année, il faut faire plaisir aux enfants et c’est bien à eux qu’est destiné Le secret de l’étoile du Nord. Il s’agit d’un petit conte sans prétentions qui nous vient tout droit de Norvège et qui ne brille ni par son scénario simpliste ni par une réalisation tout aussi sommaire. Reste que les aventures de la petite Sonia sont faites de rencontres avec des lutins, d’un ours un peu grognon et surtout de la star : le Père Noel en personne ! La petite héroïne finit même par se prendre pour Superman. Vous comprendrez donc que ce film est là pour préserver l’esprit de Noel avec des dialogues sirupeux à souhait et c’est dingue tout ce qu’on peut trouver dans notre cœur.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une assiette de Porridge pour les lutins.

  • Thor : Le monde des ténèbres

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    Les Avengers ont triomphé de la folie de Loki (Tom Hiddleston) et celui-ci est condamné par Odin (Anthony Hopkins) à être enfermé dans les cachots d’Asgard. Pendant ce temps, notre pote Thor (Chris Hemsworth) s’échine à ramener la paix sur les 9 royaumes mais découvre qu’il se passe quelque chose d’étrange en rapport avec Jane Foster (Natalie Portman). Pendant quelques heures, celle-ci a en effet disparu de la Terre et est entrée en contact avec l’Ether réveillant au même moment le terrible Malekith (Christopher Eccleston). Autrefois, avec son armée d’elfes noirs il voulait plonger nos mondes dans les ténèbres mais il fut arrêté par les asgardiens mais cette fois il est déterminé à atteindre son but.

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    C’est donc au tour du Dieu du tonnerre de faire son retour et le premier changement à noter se situe au niveau de la réalisation. Kenneth Branagh laisse en effet place à Alan Taylor débutant au cinéma mais habitué aux plateaux de séries télévisées (dont le succès Game of thrones). On n’y perd pas au change car ce Thor : Le monde des ténèbres est une suite de grande qualité même plus sympa que son prédécesseur. On y retrouve une atmosphère Heroïc fantasy qui sied à merveille assorti de bonnes scènes d’action et d’une petite dose d’humour ; le succès devrait une nouvelle fois être au rendez-vous pour ce Coup de cœur Ciné2909. Un regret toutefois, un scénario peu excitant et des personnages secondaires comme Sif, Volstagg ou Fandral qui mériteraient plus de présences à l’écran.

     

    Il faut le voir pour : Soulever des voitures à la main pour votre vidange, ce n’est pas si lourd !



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  • The mortal instruments : La cité des ténèbres

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    Alors qu’elle vient de fêter ses 15 ans, Clary (Lily Collins) est victime de drôles d’hallucinations ces derniers temps. Il y a d’abord cet étrange symbole qu’elle voit partout et puis lorsqu’elle était dans cette boite de nuit avec son pote d’enfance Simon (Robert Sheehan) ; elle est persuadée d’avoir assisté à un meurtre. Tout porte à croire qu’elle est devenue folle mais la vérité est qu’elle n’est pas humaine puisque sa mère Jocelyn (Lena Headey) est ce qu’on appelle une chasseuse d’ombres. D’ailleurs, cette dernière disparait après avoir été attaquée par les hommes d’un certain Valentin (Jonathan Rhys Meyers) à la recherche d’une précieuse coupe. Avec l’aide de Jace (Jamie Campbell Bower) lui aussi chasseur d’ombres, Clary va tenter de la retrouver.

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    Toujours en quête d’une saga qui pourrait succéder à Twilight, se présente cette fois devant nous The mortal instruments : La cité des ténèbres adapté du roman de Cassandra Clare. Ici, il y aura également vampires et loups-garous mais ils joueront un rôle plus secondaire face aux chasseurs d’ombres et les démons pouvant prendre n’importe quelle apparence. Là aussi se forme un triangle amoureux sauf qu’une sacrée révélation va tout chambouler, il y a un peu plus d’action qu’à l’accoutumée mais la réalisation est assez confuse et le tout finit par être insipide. Et puis quelle déception de voir Robert Sheehan (le Nathan de Misfits) dans ce rôle de seconde zone ! A réserver aux lecteurs du roman et encore …

     

    Il faut le voir pour : Ecouter plus souvent du Jean-Sébastien Bach, on ne sait jamais !

  • Le magicien d’oz

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    Dans une ferme au Kansas, notre pote Dorothée (Judy Garland) est dans tous ses états après que Mme Gulch (Margaret Hamilton) ait tenté de s’en prendre à son chien Toto. Ce dernier est même capturé sur ordre du shérif mais parvient à s’enfuir pour retrouver aussitôt sa maitresse qui décide alors de quitter la ferme. Elle reviendra vite sur sa décision afin de ne pas causer trop de peine à sa Tante Olympe (Clara Blandick) mais Dorothée va être coincée dans une terrible tornade qui emporte la maison. A son réveil, elle se rend compte qu’elle n’est plus au Kansas mais dans un drôle de pays appelé Oz ; elle est chaleureusement accueillie par les Microsiens et la Fée Glinda (Billie Burke) jusqu’à l’apparition d’une méchante sorcière.

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    Retour en 1939 avec cette adaptation du célèbre roman de L. Frank Baum devenu depuis un petit classique du 7ème art. Il est évident que les effets spéciaux de l’époque feront naitre quelques sourires comme ce tourbillon qui emporte tout et n’importe quoi ou les costumes bien kitsch de certains personnages. Malgré cela, le charme opère encore avec cette fable qui prend par moments la forme d’une comédie musicale et bien entendu comment ne pas évoquer cette célèbre chanson qu’est Over the rainbow ! Ceux qui connaissaient déjà Le magicien d’oz continueront de se délecter des aventures de Dorothée qui ne manqueront pas de le faire découvrir aux nouvelles générations.

     

    Il faut le voir pour : Continuer à suivre le chemin de briques jaunes !

  • La Belle et la Bête (1946)

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    La famille de Belle (Josette Day) traverse une mauvaise passe confrontée à des difficultés financières. Son Père (Marcel André) pensait avoir trouvé une solution mais celle-ci est remise en cause et sur le chemin du retour à la maison d’autres problèmes apparaissent. Plongé en pleine nuit, il finit par se perdre dans une foret jusqu’à parvenir à un somptueux château où vit une étrange créature la Bête (Jean Marais) ! Ce père commet alors un sacrilège en cueillant une rose qu’il avait promis à Belle, la bête accepte de le laisser partir temporairement retrouver sa famille mais il devra payer son geste de sa vie ! Si ce n’est pas lui, ce sera une de ses filles qui sera obligé d’épouser la bête !

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    Réalisé en 1946 par Jean Cocteau, le poids des années se traduisent par le noir et blanc et quelques effets spéciaux aujourd’hui clairement dépassés. En revanche, l’œuvre tout comme Josette Day reste magnifique avec notamment cet incroyable château qui prend soudainement vie à travers les bras qui surgissent des murs. De même, l’apparence de la Bête reste encore bluffante avec un Jean Marais totalement méconnaissable ; élément tout de même indispensable pour ne pas tomber dans le ridicule. La Belle et la Bête est un classique du cinéma français qui n’a finalement pris aucunes rides et que tout amateur de contes de fée doit découvrir.

     

    Il faut le voir pour : Demander la permission avant de cueillir une rose, on ne sait jamais !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (2014) ?

  • Percy Jackson : La mer des monstres

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    Il y a des années de cela, la jeune Thalia (Katelyn Mager) s’est sacrifiée pour permettre à ses potes d’atteindre le camp des sang-mêlés. La mort de la fille de Zeus n’a pas été sans conséquences, son corps a donné vie à un arbre et à l’instauration d’une précieuse barrière protectrice. Aujourd’hui cette barrière vient de voler en éclat car l’arbre a été empoisonné et pour le sauver il faut absolument mettre la main sur la Toison d’or. Même si le sang-mêlé Percy Jackson (Logan Lerman) n’a pas été désigné pour cette quête, il part malgré tout à l’aventure accompagné d’Annabeth & de Grover (Alexandra Daddario & Brandon T. Jackson) sans oublier Tyson (Douglas Smith), un frère qu’il vient de découvrir et qu’il faudra tenir à l’œil !

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    On  avait fait connaissance avec Percy Jackson : Le voleur de foudre en 2010 à travers des aventures plutôt réussis, le héros du romancier Rick Riordan revient au cinéma avec cette fois la quête de la Toison d’or. Créatures et pouvoirs extraordinaires, combats, amitié et même fraternité, un zest d’humour tout cela sur fond de mythologie grecque ; la recette est immuable et reste efficace. On peut toutefois regretter que le point d’orgue à savoir la résurrection de Cronos n’ait pas donné lieu à une scène plus spectaculaire (ATTENTION SUPER SPOILER) au lieu de ce combat remporté en 2 coups d’épée. Percy Jackson : La mer des monstres n’apporte ni plus ni moins que ce qu’il nous promettait sans être un divertissement divin.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de fixer les gens dans l’œil … enfin dans les yeux !


    En savoir plus sur Percy Jackson : Le voleur de foudre ?

  • Wolverine - Le combat de l’immortel

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    Depuis la mort de Jean (Famke Janssen), notre pote Logan (Hugh Jackman) erre tel un animal sauvage jusqu’au jour où Yukio (Rila Fukushima) se présente face à lui. Cela fait un an qu’elle est à sa recherche ; une mission que lui a confié M. Yashida (Hal Yamanouchi), un vieux pote d’enfance que Logan a connu lors de la Seconde Guerre Mondiale à Nagasaki. Cet homme se meurt et tient absolument à revoir une dernière fois celui qui, à l’époque, lui a sauvé la vie mais en arrivant au Japon, celui qu’on appelle Wolverine découvre le véritable but de son voyage. Si Yashida l’a fait venir ce n’est pas pour d’émouvants adieux mais pour lui demander rien moins que son immortalité ! Le mutant a-t-il encore l’envie de vivre ou ne serait-il pas mieux aux cotés de Jean ?

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    Après des premières aventures solos qui furent clairement un échec, on attendait beaucoup de ce nouveau volet censé repartir sur de nouvelles bases. C’est donc au pays du soleil levant que Wolverine - Le combat de l’immortel nous emmène mais les motifs de satisfaction vont se compter sur les griffes d’une main. Si Jackman est toujours aussi impeccable dans la peau du célèbre mutant griffu, il est hélas toujours aussi peu mis en valeur par une réalisation qui manque clairement de panache pour satisfaire les fans. Personnages insignifiants, des scènes d’action loin d’être éblouissantes ; James Mangold fait à peine mieux que son prédécesseur mais la déception est réelle et on attend toujours le véritable film qui fera honneur au héros de Marvel.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais planter vos baguettes !

  • World war Z

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    Une nouvelle journée commence pour Gerry (Brad Pitt), sa femme Karen (Mireille Enos) et leurs 2 filles Rachel & Constance (Abigail Hargrove & Sterling Jerins). Alors qu’ils se retrouvent coincés dans les rues de Philadelphie, ils vont être les témoins d’une émeute provoquée par des gens qui semblent comme enragés. Ils parviennent à prendre la fuite et à rejoindre Newark mais vont découvrir rapidement que c’est le monde entier qui est touché par ce phénomène et l’on évoque l’émergence de zombies. Habitué à évoluer dans des environnements hostiles, Gerry va devoir accompagner le Docteur Andrew Fassbach (Elyes Gabel) jusqu’en Corée afin de trouver un remède capable d’éradiquer cette épidémie.

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    Adaptation du roman de Max Brooks, World war Z confronte les spectateurs à une nouvelle invasion de zombies dans une ambiance de fin du monde. L’histoire proposée est somme toute assez classique mais la réalisation de Marc Forster fait preuve d’efficacité grâce notamment à ces zombies bien plus affutés qu’à l’accoutumée. Ça donne ainsi de belles scènes d’action avec notamment cette impressionnante escalade du mur en Israël ou un voyage en avion assez mouvementé. Bien sur, la présence de Brad Pitt (également producteur) donne aussi un peu plus de relief à un film sans conteste réussi mais handicapé par un manque cruel de véritables idées.

     

    Il faut le voir pour : Prouver à votre femme pourquoi elle ne doit pas appeler à n’importe quel moment !

  • Dark skies

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    Lacey (Keri Russell), Daniel (Josh Hamilton) et leurs 2 enfants Jesse & Sam (Dakota Goyo & Kadan Rockett) forment une famille tout ce qu’il y a de plus ordinaire et rien ne les avait préparé à ce qu’ils vont vivre. Tout a commencé avec un frigo pillé et des photos volées, ils pensaient alors qu’un intrus avait pénétré chez eux mais rapidement cette hypothèse est écartée. Au même moment, le petit Sam fait de curieux cauchemars où il voit apparaitre l’Ogre des sables et cela pourrait bien avoir un lien avec les derniers évènements. Les choses deviennent encore plus inquiétantes car chaque membre de la famille est victime de comportements étranges et ils finiront par comprendre que l’origine de leurs problèmes pourrait bien être des extraterrestres !

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    Une maison où il se passe des évènements inexpliqués et une famille impuissante, c’est moi ou ce scénario sent le réchauffé ? Oui Dark skies reprend la bonne vieille recette des films d’épouvante-horreur avec toutefois une différence de taille puisque l’origine de tous leurs maux vient de l’espace. Pourquoi pas mais ça aurait quand même été sympa d’essayer d’effrayer un peu le spectateur qui doit ici se contenter d’ombres et de lumières ou encore de nous proposer autre chose que les sempiternels enlèvements inexpliqués. Un scénario qui aurait pu sortir 20 ans avant (déjà !) lorsque le phénomène X-Files battait son plein mais là… Rien de nouveau et encore moins d’intéressant au final pour un film qui ne vole pas bien haut.

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil sur les dessins de vos enfants !

  • Man of steel

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    La planète Krypton se meurt et la fin est proche. Jor-El (Russel Crowe) le sait que trop bien et c’est pourquoi il a pris cette décision difficile d’envoyer son fils, à peine sorti du ventre de sa mère, vers une autre planète. C’est sur Terre qu’atterrira ce vaisseau, l’enfant sera alors recueilli par un couple de fermiers du Kansas Martha & Jonathan Kent (Diane Lane & Kevin Costner). C’est ainsi que débute l’histoire de Clark (Dylan Sprayberry / Cooper Timberline / Henry Cavill) mais ses origines extraterrestres combinées à l’influence du soleil lui confèrent des pouvoirs extraordinaires. Ce don il le mettra au service de l’humanité, un sauveur que tout le monde connaitra sous le nom de Superman !

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    Après l’essai de Bryan Singer qui sonnait comme un hommage aux aventures de feu Christopher Reeve, c’est Zack Snyder qui est maintenant chargé de redorer le blason de Superman. Visuellement, le lifting est incontestablement réussi, Man of steel délivre une vraie version modernisée de l’icône de DC mais sur le fonds il manque quelque chose. Le spectacle est là (Smallville & Metropolis en prennent un coup !) mais il y a une certaine froideur qui se dégage de ce héros; Henry Cavill a une belle carrure et c’est à peu près tout. En plus de ça la comparaison avec un certain Jésus-Christ est amusante au début mais devient vite gonflant pour ne pas dire gênant. Un bon divertissement mais qui manque vraiment d’humilité pour réellement mériter le titre de Super.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le blason de Superman n’est pas un S !