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doona bae

  • Jupiter : Le destin de l'univers

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    Notre pote Jupiter Jones (Mila Kunis) mène une vie plutôt banale à Chicago où elle travaille comme femme de ménage. Comment croire alors qu'elle possède du sang royal extraterrestre ! C'est pourtant ce qui va lui être révélé lorsqu'elle est sauvée par Caine Wise (Channing Tatum) et commence alors pour Jupiter une incroyable aventure qui va la conduire jusqu'aux confins de l'univers. Non seulement elle apprend que nous ne sommes pas seuls dans l'univers mais en plus de cela, la galaxie appartient à une dynastie ancestrale aujourd'hui représentée par Kalique, Titus & Balem Abrasax (Tuppence Middleton, Douglas Booth & Eddie Redmayne).

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    Après l'ambitieux Cloud Atlas, Lana & Andy Wachowsky se lancent encore dans un grand projet avec ce space-opera. On a mis les petits plats dans les grands avec Jupiter : Le destin de l'univers ; c'est un véritable spectacle visuel qui se dévoile avec un écran souvent inondé d'effets spéciaux. Là où on s'interrogeait un peu plus c'est au niveau de l'histoire faussement complexe qui hélas ne se montre pas à la hauteur. On est content pour Mila Kunis qui a le loisir d'essayer de belles robes et Channing Tatum se montre efficace quand il faut passer à l'action (même torse nue) mais on ne retiendra pas beaucoup plus de ce pop-corn movie qui fait passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Vous dire que vous avez certainement du sang royal si vous ne vous êtes jamais fait piquer par une abeille.

  • Cloud atlas

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    2144, Sonmi-351 (Doona Bae) n’est qu’un simple clone mais son avènement en tant que déesse est proche. 1936, Robert Frobisher (Ben Whishaw) a la chance de pouvoir travailler avec le célèbre compositeur Vyvyan Ayrs (Jim Broadbent) et ils vont créer une mélodie qui traversera le temps. 2012, les mésaventures de Timothy Cavendish (Jim Broadbent) vont le conduire jusque dans une maison de retraite dont il cherchera à s’échapper par tous les moyens. 1849, c’est en traversant le Pacifique que notre pote Adam Ewing (Jim Sturgess) va ouvrir les yeux sur la question de l’esclavagisme. 2321, Zachry (Tom Hanks), indigène sur une ile menacée par des barbares est sur le point de faire une rencontre décisive. 1973, l’enquête de la journaliste Luisa Rey (Halle Berry) concernant une centrale nucléaire dérange et elle met ainsi sa vie en danger.

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    C’est déjà un véritable défi que d’essayer de vous résumer ce long-métrage d’Andy & Lana Wachowski et de Tom Tykwer car il s’agit d’un gigantesque film choral se décomposant en 6 histoires. On saute ainsi d’une intrigue à l’autre plongeant le spectateur aussi bien dans le drame, la comédie, le thriller que dans la science-fiction. L’adaptation du roman de David Mitchell trainait depuis quelques années mais sa complexité réfrénait nombre de producteurs. Ambitieux, Cloud atlas l’est assurément mais dans le même temps à vouloir trop en faire ça donne de curieux résultats comme certains personnages au look improbable (la palme allant à Hugo Weaving en infirmière). Si on s’amusera des déboires de Jim Broadbent et qu’on s’émerveillera devant la magnifique Néo Séoul, le reste est bien moins excitant. Une expérience qui nous laisse plutôt sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous attendre à vivre beaucoup d’autres vies !