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fantastique - Page 3

  • Maléfique

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    Il était une fois deux royaumes qui vivaient côte à côte et qui étaient en conflit. Le premier est le pays des hommes gouvernés par le Roi Henri (Kenneth Cranham) tandis que dans le second appelé La Lande, la gardienne est la fée Maléfique (Ella Purnell / Angelina Jolie). Un jour, celle-ci va faire la connaissance d’un humain du nom de Stéphane (Jackson Bews / Sharlto Copley) et durant des années, c’est l’amour qui va les réunir. Par la suite, il s’est progressivement éloigné d’elle pour se rapprocher de ses pairs et du Roi Henri dont il s’estime prêt à prendre la succession. Pour cela, Stéphane va commettre un acte cruel qui marquera à tout jamais Maléfique.

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    C’était un projet assez ambitieux de la part de Disney de vouloir consacrer un long-métrage à une "méchante" de leur univers. Maléfique vous l’aurez reconnu, c’est la sorcière qui jeta un sort à La belle au bois dormant incarné par Angelina Jolie ; l’occasion de découvrir ses origines. Plus que ça, ce film ira jusqu’à revisiter l’histoire de Charles Perrault ce qui pourrait tout de même faire grincer quelques dents. Visuellement on est véritablement séduit par un univers riche et coloré ainsi que par cette relation particulière qui se noue entre la fée de La Lande & la jeune Aurore, projection de son innocence perdue. Le grand regret vient tout de même d’un dénouement trop sage ce qui n’empêchera pas petits et grands de passer un excellent moment.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire au mythe du baiser du prince charmant !

  • Bird People

    Notre pote Josh Charles devait embarquer sur un avion pour se rendre à Dubaï mais décide finalement de rester dans sa chambre d'hotel près de Roissy. C'est d'ailleurs là que travaille notre pote Anaïs Demoustier qui pourrait elle aussi voir sa vie basculer dans Bird People.

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • Maléfique

    Chouette un film Disney, il y aura forcément une belle princesse et son prince charmant et ba non ! C'est Angelina Jolie qui incarnera Maléfique qui était autrefois une femme bienveillante jusqu'à ce qu'un évènement change son destin à jamais.

    Date de sortie : 28 Mai 2014.


     

  • The amazing Spider-Man : Le destin d’un héros

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    Qui aurait cru que la vie de Spider-Man soit si compliqué ! Enfin, on parle surtout de l’homme qui se trouve derrière le masque à savoir Peter Parker (Andrew Garfield), hanté par les derniers mots prononcés par le Capitaine George Stacy (Denis Leary). Il lui a juré de tout faire pour protéger sa fille Gwen (Emma Stone) et cela implique de la tenir éloignée de Spider-Man mais quand l’amour s’en mêle cela semble difficile. Pendant ce temps, il y a de l’animation chez Oscorp puisque Norman Osborn (Chris Cooper) est mort laissant à la tête de son empire son fils unique Harry (Dane DeHaan) qui apprend également qu’il est atteint d’une maladie héréditaire.

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    Retour plus qu’attendu pour nos potes Andrew Garfield, Emma Stone & Marc Webb avec un épisode qui constituera un tournant dans la vie du héros de Stan Lee. Il y a toujours un coté Comédie romantique qui trouve tout de même bien plus de légitimité ici et les fans devineront aisément de quoi je veux parler. Niveau action, on n’est pas déçu avec un Jamie Foxx / Electro qui assure le spectacle contrairement à Dane DeHaan / Bouffon vert très décevant (du moins dans sa transformation) sans parler du Rhino pas loin de faire de la figuration. S’il risque encore de diviser les fans, The amazing Spider-Man : Le destin d’un héros est bien le blockbuster annoncé avec un dénouement plein d’émotions bien qu’il me laisse encore sur ma faim.

     

    Il faut le voir pour : Couper l’électricité chez vous !

     

    En savoir plus sur The amazing Spider-Man ?

     

    En savoir plus sur Spider-man ?

    En savoir plus sur Spider-man 3 ?

     

  • 47 Ronin

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    Dans le Japon féodal. Le pays est divisé en provinces avec à leur tête des Seigneurs soumis à l’autorité du Shogun Lord Asano (Min Tanaka) est l’un d’entre eux. Il y a quelques années de cela, il n’a pas hésité à recueillir un jeune garçon appelé Kaï (Daniel Barber / Keanu Reeves) alors que beaucoup le considérait comme un démon. Les années passent et Kaï a grandi en compagnie de Mika (Arisa Maekawa / Kô Shibasaki), la fille d’Asano une relation laissant petit à petit place à l’amour mais du fait de son rang, ils ne peuvent laisser s’exprimer leur sentiment. La province d’Ako sera toutefois marquée par la disparition de Lord Asano qui a été victime d’un piège et Kuranosuke Oïshi (Hiroyuki Sanada) qui fut son samouraï se chargera de le venger !

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    Le Ronin, c’est le Samouraï qui se retrouve soudainement sans maitre et ce film s’inspire d’une ancienne histoire japonaise ; c’est la minute culturelle car en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à tirer du film de Carl Erik Rinsch. Pour sa première réalisation, il a bénéficié d’une enveloppe incroyable de 175 millions de dollars et on se demande où est passé ce budget. Trop long à démarrer, des personnages transparents, des effets spéciaux perfectibles et des scènes d’action qui manquent de folie font que 47 Ronin se révèle bien loin d’être aussi fun qu’on ne l’aurait imaginé. Il aura beau se déplacer comme un fantôme ou manier les sabres avec habileté, ce n’est vraiment pas avec ce genre de rôle que notre pote Keanu Reeves signera son come-back. A oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la légende des 47 Ronin.

  • Real

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    Elle semblait heureuse que ce soit dans son travail de Mangaka ou dans sa vie en couple avec Koichi (Takeru Sato) mais Atsumi (Haruka Ayase) a tenté de se suicider. Cela fait maintenant un an qu’elle est plongée dans un profond coma et pour la faire revenir, une expérience va être tentée. Son mari se voit en effet proposé d’entrer dans son esprit via une toute nouvelle technologie. C’est ainsi que Koichi parvient à retrouver Atsumi mais il est troublé par certaines visions d’horreur qui semblent tout droit sortir des pages de mangas dessinés par sa femme. Cette dernière va également lui demander de retrouver un dessin de Plésiosaure qui aura un rôle très important.

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    Après son diptyque Shokuzai, le réalisateur japonais Kiyoshi Kurosawa revient cette fois avec une histoire qui s’inspire un peu d’Inception. On nous réserve ici un voyage dans l’esprit d’un mangaka ce qui peut donner de drôles de surprises comme cette apparition quand même bizarre dans la conclusion du film. Est-ce d’ailleurs à cause de cela toujours est-il que Real laisse une impression assez amère ; on est loin d’être emballé par la quête menée par Takeru Sato il n’y a bien qu’un incroyable retournement de situation qui vient apporter un peu d’animation à un ensemble plutôt moyen.

     

    Il faut le voir pour : Conserver les dessins de vos enfants !

  • Vampire academy

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    Après s’être cachées pendant plus d’un an, nos potes Rose & Lissa (Zoey Deutch & Lucy Fry) ont été retrouvées et immédiatement reconduites à la Vampire Academy. Vous l’aurez certainement deviné, elles ne sont pas des étudiantes ordinaires ; Lissa est en fait une Moroï et jeune princesse issue de la prestigieuse famille Dragomir tandis que Rose est son gardien comme tous les Dhampyr. Il existe également une 3ème race de vampire, les Strigoï totalement incontrôlables et qui ne pensent qu’à épancher leur soif de sang. D’ailleurs, à peine sont elles arrivées qu’elles assistent déjà à une attaque mais heureusement que Dimitri (Danila Kozlovsky) est là pour surveiller leurs arrières !

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    C’est de nouveau l’adaptation d’une série de romans (de Richelle Mead)  auquel on a droit avec Vampire academy, un mélange plus ou moins subtil entre Harry Potter plongé dans l’univers des suceurs de sang, pourquoi pas. Le problème c’est qu’au bout d’à peine 15 minutes, on est totalement submergé avec la présentation des Moroï, Strigoï et Dhampir sans oublier les pensionnaires de cet établissement scolaire atypique. Résultat, on passe totalement à coté du scénario et on doit alors subir le film de Mark Waters pendant plus d’une heure avant d’avoir quelques éclaircissements. Même si Zoey Deutch est assez charmante, il en faudra plus pour s’éclater peut-être pour l’éventuelle suite ?

     

    Il faut le voir pour : Ne plus accepter les colliers qu'on vous offre !

  • 300 : La naissance d’un empire

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    Guerrier  impitoyable et fin stratège, la réputation de notre pote Thémistocle (Sullivan Stapleton) s’est notamment construite après la splendide bataille qu’il a menée à Marathon. Darius (Yigal Naor), Roi des Perses fut alors abattu d’une flèche mais son fils allait reprendre sa succession poussé par la perfide Artémise (Eva Green) ; c’est ainsi que commence la légende du Dieu-Roi Xerxès (Rodrigo Santoro) ! C’est toute la Grèce qui est désormais menacée et Thémistocle va de nouveau se battre et tente de rallier à sa cause les Spartiates. Il apprend alors que Leonidas accompagné de 300 guerriers sont partis se battre aux Thermopyles et les athéniens seront donc livrés à eux-mêmes pour mener la Bataille de Salamine.

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    Le premier épisode n’était pas un trésor de subtilités, soyez rassurés ce nouvel épisode respecte la tradition. S’il est toujours présent à la Production et au scénario (toujours inspiré de l’œuvre de Frank Miller), Zack Snyder a délaissé la réalisation au profit du méconnu Noam Murro qui s’en tire parfaitement bien. Les scènes d’action débordent de violence, ce sont des hectolitres d’hémoglobine qui sont versées et puis on abuse du slow motion. 300 : La naissance d’un empire bénéficie aussi d’un scénario plutôt habile en s’inscrivant dans la continuité du précédent film. A noter aussi que pour une fois, les femmes ont leur mot à dire et Eva Green semble vraiment s’éclater dans le rôle d’Artémise. Bourrin à souhait et moins excessif en patriotisme, une belle récréation !

     

    Il faut le voir pour : Se faire un bon petit grec !

  • La Belle et la Bête (2014)

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    Il était une fois un riche Marchand (André Dussolier) qui vivait avec ses 6 enfants et qui possédait 3 navires. Malheureusement, ces navires furent déclarés perdus en mer et du jour au lendemain cette famille a été obligée de s’installer à la campagne. Un mois plus tard, la famille apprend qu’un de leurs bateaux, la Sirène, a été retrouvé mais lorsque le marchand se rend en ville avec son fils Maxime (Nicolas Gob), il découvre que tout ce qui était à bord a été confisqué pour régler ses créances. Séparé de son fils, le marchand quittera la ville dans la précipitation en pleine soirée et au milieu de cette dense foret va se retrouver face à un somptueux château où vit une étrange Bête (Vincent Cassel) !

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    Depuis son adaptation de Crying Freeman, Christophe Gans n’a cessé de nous démontrer ses grandes ambitions cinématographiques. Il nous le prouve une fois encore en nous livrant sa version de La Belle et la Bête qui rappellera évidemment celle de Jean Cocteau réalisée en 1946 tout en proposant quelque chose de différent. On a devant nous une interprétation moderne et cela se traduit à l’écran par une surabondance d’effets spéciaux du château jusqu’à la Bête entièrement numérisée. On y trouve également les origines du Prince qui sont davantage développés à travers quelques scènes dispersées ça et là mais qui nous font aussi remarquer que Cassel est plus crédible en Bête qu’en prince charmant.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de tenir les promesses que vous faites à votre femme !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (1946) ?

  • Le hobbit : La désolation de Smaug

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    La quête continue pour Bilbon Sacquet (Martin Freeman), Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage) et leurs compagnons de route. Ils doivent se rendre à Erebor et pour cela ils vont devoir traverser la forêt noire où derrière chaque arbre se cache de terribles dangers. Pas de surprises donc à ce qu’ils soient attaqués par des araignées géantes qui veulent satisfaire leur faim et tous nos potes ne devront leur survie qu’à l’intervention des elfes menés par Legolas (Orlando Bloom). Ce n’est pas pour autant qu’ils seront considérés comme des alliés puisqu’ils se retrouvent aussitôt prisonniers et c’est là qu’entre en jeu Bilbon qui possède un précieux atout dans sa poche. Pendant ce temps, Gandalf (Ian McKellen) cherche à en savoir plus sur le fameux Nécromancien.

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    Et c’est reparti de plus belle avec ce 2nd volet des aventures de Bilbon et bien entendu, on est dans la parfaite continuité du précédent épisode. Il y a quand même un peu plus d’action avec Le hobbit : La désolation de Smaug notamment avec cette impressionnante évasion des nains de la citadelle des elfes. On peut s’attarder sur ces derniers car l’apparition d’Orlando "Legolas" Bloom et dans une moindre mesure d’Evangeline Lilly apportent un bon coup de boost à la saga. La déception du 1er épisode laisse place à du vrai plaisir avec pour conclure un beau remake de David contre Goliath à la sauce Tolkien par contre plus d’un sera frustré de devoir attendre le dernier volet pour l’apothéose.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de réveiller les dragons, ça les met en pétard !

     

    En savoir plus sur Le Hobbit : Un voyage inattendu ?

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