Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lena headey

  • 300 : La naissance d’un empire

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Guerrier  impitoyable et fin stratège, la réputation de notre pote Thémistocle (Sullivan Stapleton) s’est notamment construite après la splendide bataille qu’il a menée à Marathon. Darius (Yigal Naor), Roi des Perses fut alors abattu d’une flèche mais son fils allait reprendre sa succession poussé par la perfide Artémise (Eva Green) ; c’est ainsi que commence la légende du Dieu-Roi Xerxès (Rodrigo Santoro) ! C’est toute la Grèce qui est désormais menacée et Thémistocle va de nouveau se battre et tente de rallier à sa cause les Spartiates. Il apprend alors que Leonidas accompagné de 300 guerriers sont partis se battre aux Thermopyles et les athéniens seront donc livrés à eux-mêmes pour mener la Bataille de Salamine.

    01.jpg

    Le premier épisode n’était pas un trésor de subtilités, soyez rassurés ce nouvel épisode respecte la tradition. S’il est toujours présent à la Production et au scénario (toujours inspiré de l’œuvre de Frank Miller), Zack Snyder a délaissé la réalisation au profit du méconnu Noam Murro qui s’en tire parfaitement bien. Les scènes d’action débordent de violence, ce sont des hectolitres d’hémoglobine qui sont versées et puis on abuse du slow motion. 300 : La naissance d’un empire bénéficie aussi d’un scénario plutôt habile en s’inscrivant dans la continuité du précédent film. A noter aussi que pour une fois, les femmes ont leur mot à dire et Eva Green semble vraiment s’éclater dans le rôle d’Artémise. Bourrin à souhait et moins excessif en patriotisme, une belle récréation !

     

    Il faut le voir pour : Se faire un bon petit grec !

  • The mortal instruments : La cité des ténèbres

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Alors qu’elle vient de fêter ses 15 ans, Clary (Lily Collins) est victime de drôles d’hallucinations ces derniers temps. Il y a d’abord cet étrange symbole qu’elle voit partout et puis lorsqu’elle était dans cette boite de nuit avec son pote d’enfance Simon (Robert Sheehan) ; elle est persuadée d’avoir assisté à un meurtre. Tout porte à croire qu’elle est devenue folle mais la vérité est qu’elle n’est pas humaine puisque sa mère Jocelyn (Lena Headey) est ce qu’on appelle une chasseuse d’ombres. D’ailleurs, cette dernière disparait après avoir été attaquée par les hommes d’un certain Valentin (Jonathan Rhys Meyers) à la recherche d’une précieuse coupe. Avec l’aide de Jace (Jamie Campbell Bower) lui aussi chasseur d’ombres, Clary va tenter de la retrouver.

    01.jpg

    Toujours en quête d’une saga qui pourrait succéder à Twilight, se présente cette fois devant nous The mortal instruments : La cité des ténèbres adapté du roman de Cassandra Clare. Ici, il y aura également vampires et loups-garous mais ils joueront un rôle plus secondaire face aux chasseurs d’ombres et les démons pouvant prendre n’importe quelle apparence. Là aussi se forme un triangle amoureux sauf qu’une sacrée révélation va tout chambouler, il y a un peu plus d’action qu’à l’accoutumée mais la réalisation est assez confuse et le tout finit par être insipide. Et puis quelle déception de voir Robert Sheehan (le Nathan de Misfits) dans ce rôle de seconde zone ! A réserver aux lecteurs du roman et encore …

     

    Il faut le voir pour : Ecouter plus souvent du Jean-Sébastien Bach, on ne sait jamais !

  • American nightmare

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    2022. La violence a baissé de façon drastique aux Etats-Unis grâce aux nouveaux Pères fondateurs qui ont instauré la Purge. Chaque 21 Mars et durant 12 heures, l’Etat légalise les crimes incitant ainsi chaque américain à libérer sa bestialité accumulée pour cette soirée particulière et le pays baigne ainsi dans le sang. Pour notre pote James Sandin (Ethan Hawke), la Purge lui a permis de faire fortune puisqu’il vend des systèmes de sécurité et a notamment su convaincre tout son voisinage de s’équiper. Une nouvelle nuit sanglante s’annonce ; James et sa famille vont se barricader chez eux mais un évènement inattendu va remettre en cause leur sécurité.

    01.jpg

    On part donc sur un principe fort et simple : pendant une nuit nos cousins américains ont le droit de laisser libre court à leurs plus vils instincts. Un scénario aussi extrême aurait donc pu donner l’occasion d’une réflexion approfondie sur l’Homme et son rapport avec la violence mais ce serait trop en demander à American nightmare. Il faudra juste se contenter d’un banal film d’épouvante-horreur où une famille cherche à survivre dans une maison où les dangers peuvent surgir de tous les cotés et qui va se transformer en champs de bataille. Ethan Hawke joue les bons pères de famille et dézingue ses assaillants mais rien d’extraordinaire à signaler pour le spectateur.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de rester aux Etats-Unis le 21 Mars.

     

    En savoir plus sur American nightmare 2 : Anarchy ?

  • Dredd

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Les Etats-Unis n’existent plus. C’est désormais un désert géant entourant une ville gigantesque de 80 millions d’habitants ; Mega-City One. La mégalopole est gangrenée par la criminalité au point qu’a été crée une unité spéciale qui s’abroge le droit de juger et d’exécuter. Dredd (Karl Urban) fait partie de ces juges et il est chargé aujourd’hui d’évaluer une recrue Cassandra Anderson (Olivia Thirlby), une mutante dont les pouvoirs psychiques pourraient représenter un atout majeur dans le combat contre le crime. Une première intervention les mène à la cité des pêchers où 3 corps viennent d’être balancés et alors qu’ils embarquaient un suspect, ils se retrouvent enfermés dans la cité avec une cohorte de criminels à leurs trousses.

    01.jpg

    Il faut remonter en 1995 pour voir apparaitre au cinéma la 1ère adaptation de Dredd et c’était Sylvester Stallone qui incarnait alors la loi ! 17 ans plus tard, c’est au moins connu Karl Urban à qui on a confié le casque et c’est justement parce qu’il passe tout le film avec la tête caché qu’on s’est dit qu’il ferait largement l’affaire. Reste plus qu’à faire la moue et d’avoir une voix grave et autoritaire en même temps, on ne lui demande pas non plus de composer mais seulement de distribuer les coups et de canarder tout ce qui bouge. Ça ne lésine pas en matière de violence et c’est donc plutôt plaisant pour les amateurs d’action qui retrouveront également un scénario incroyablement proche de The raid.

  • Tell tale

    aff.jpg

    Il y a 5 mois, lorsque notre pote Terry (Josh Lucas) a eu la transplantation de son nouveau cœur, il se disait qu’une autre vie allait commencer pour lui et sa fille Angela (Beatrice Miller). Cette dernière souffre également d’une maladie rare et est suivie avec beaucoup d’attention par le docteur Elizabeth Clemson (Lena Headey). Jusqu’à présent, Terry se sentait bien mais ces derniers temps il est pris de malaises accompagnés de visions qu’il n’explique pas. Il va alors comprendre que tous ces symptômes sont liés à son nouveau cœur, l’organe a été prélevé auprès d’un certain Vieillard qui a été sauvagement assassiné.

    01.jpg

    L’histoire nous rappelle un film comme The eye à la différence qu’ici on a préféré se tourner vers le genre thriller au lieu de l’épouvante. Le résultat n’est pas forcément bien meilleur, Tell tale se laisse voir il n’y aucun doute là-dessus malheureusement, il ne possède aucun atout valable pour tracer sa route au cinéma. Que ce soit au niveau de l’intrigue, de l’interprétation ou bien encore le rythme du film ; rien ne le fait émerger de l’océan de médiocrité. A voir puis à oublier ou alors à oublier tout de suite !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous faire implanter n’importe quel cœur !

  • The broken

    affa.jpg

    Après son accident de voiture, tout le monde s’accorde à dire que Gina (Lena Headey) a eu de la chance d’être toujours vivante. La jeune femme est encore marquée par cet évènement car le choc lui a fait perdre une partie de sa mémoire et bientôt d’autres troubles se révèlent. Elle a beaucoup de mal à reconnaitre son petit ami Stefan (Melvil Poupaud) ; physiquement il lui ressemble mais elle en est certaine ce n’est pas lui. De plus, elle se souvient d’une chose qui l’avait interpellé avant son accident, elle avait croisé et suivi une femme qui était son sosie parfait. En pénétrant chez elle, Gina est alors tombée sur une photo où apparait son père.

    02.jpg

    Objet du quotidien devenu complètement banal, le miroir continue pourtant d’intriguer les réalisateurs qui y voient la frontière vers un monde parallèle. Si le remake d’Alexandre Aja Mirrors lorgnait beaucoup plus vers le film d’épouvante, Sean Ellis (Cashback) préfère lui jouer la carte du mystère avec ce thriller fantastique. Pourquoi pas sauf qu’au final en tant que spectateur on se sent abandonné et on se contente de se tourner les doigts en attendant que The broken se finisse au plus vite. Aussi excitant que de se voir pendant 1h30 dans le miroir (enfin peut-être que vous vous y prendrez du plaisir) !