Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hiroyuki sanada

  • Les voies du destin

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Eric Lomax (Colin Firth / Jeremy Irvine) est un passionné de trains alors lorsque ceux-ci ont du retard, lui pense immédiatement aux autres itinéraires qu’il peut emprunter. C’est ainsi qu’il croisera la belle Patti (Nicole Kidman) dont il tombe instantanément amoureux et de cette relation découle un joli mariage. S’ils ont tout pour être heureux, Patti va découvrir une part d’ombre que son mari tentait de dissimuler. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Eric a été constitué prisonnier par l’armée japonaise et a en outre participé à la construction du célèbre pont de la rivière Kwaï. Une époque dont le traumatisme ne s’est pas refermé malgré les années.

    01.jpg

    C’est une histoire forte et vraie qui unit le britannique Eric Lomax et le japonais Nagase Takashi néanmoins le réalisateur Jonathan Teplitzky ne parvient pas à donner à son film cette charge émotionnelle. Bien au contraire, on a cette désagréable sensation d’avoir quelque chose de très artificiel (à commencer par la prestation de Kidman) et qui cherche à tout prix à nous tirer la larme de l’œil. Même Colin Firth peine dans ce rôle de traumatisé de guerre ; il ne suffit pas de se rouler par terre et d’avoir le regard vide pour nous convaincre. Si on retiendra l’incroyable lien qui s’est tissé entre les deux personnages principaux, on oubliera tout aussi vite ce long-métrage qui s’est embarqué sur les rails de la mièvrerie.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de râler quand le train arrive en retard et essayer de chercher d’autres itinéraires !

  • 47 Ronin

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Dans le Japon féodal. Le pays est divisé en provinces avec à leur tête des Seigneurs soumis à l’autorité du Shogun Lord Asano (Min Tanaka) est l’un d’entre eux. Il y a quelques années de cela, il n’a pas hésité à recueillir un jeune garçon appelé Kaï (Daniel Barber / Keanu Reeves) alors que beaucoup le considérait comme un démon. Les années passent et Kaï a grandi en compagnie de Mika (Arisa Maekawa / Kô Shibasaki), la fille d’Asano une relation laissant petit à petit place à l’amour mais du fait de son rang, ils ne peuvent laisser s’exprimer leur sentiment. La province d’Ako sera toutefois marquée par la disparition de Lord Asano qui a été victime d’un piège et Kuranosuke Oïshi (Hiroyuki Sanada) qui fut son samouraï se chargera de le venger !

     01.jpg

    Le Ronin, c’est le Samouraï qui se retrouve soudainement sans maitre et ce film s’inspire d’une ancienne histoire japonaise ; c’est la minute culturelle car en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à tirer du film de Carl Erik Rinsch. Pour sa première réalisation, il a bénéficié d’une enveloppe incroyable de 175 millions de dollars et on se demande où est passé ce budget. Trop long à démarrer, des personnages transparents, des effets spéciaux perfectibles et des scènes d’action qui manquent de folie font que 47 Ronin se révèle bien loin d’être aussi fun qu’on ne l’aurait imaginé. Il aura beau se déplacer comme un fantôme ou manier les sabres avec habileté, ce n’est vraiment pas avec ce genre de rôle que notre pote Keanu Reeves signera son come-back. A oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la légende des 47 Ronin.

  • Wolverine - Le combat de l’immortel

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Depuis la mort de Jean (Famke Janssen), notre pote Logan (Hugh Jackman) erre tel un animal sauvage jusqu’au jour où Yukio (Rila Fukushima) se présente face à lui. Cela fait un an qu’elle est à sa recherche ; une mission que lui a confié M. Yashida (Hal Yamanouchi), un vieux pote d’enfance que Logan a connu lors de la Seconde Guerre Mondiale à Nagasaki. Cet homme se meurt et tient absolument à revoir une dernière fois celui qui, à l’époque, lui a sauvé la vie mais en arrivant au Japon, celui qu’on appelle Wolverine découvre le véritable but de son voyage. Si Yashida l’a fait venir ce n’est pas pour d’émouvants adieux mais pour lui demander rien moins que son immortalité ! Le mutant a-t-il encore l’envie de vivre ou ne serait-il pas mieux aux cotés de Jean ?

    01.jpg

    Après des premières aventures solos qui furent clairement un échec, on attendait beaucoup de ce nouveau volet censé repartir sur de nouvelles bases. C’est donc au pays du soleil levant que Wolverine - Le combat de l’immortel nous emmène mais les motifs de satisfaction vont se compter sur les griffes d’une main. Si Jackman est toujours aussi impeccable dans la peau du célèbre mutant griffu, il est hélas toujours aussi peu mis en valeur par une réalisation qui manque clairement de panache pour satisfaire les fans. Personnages insignifiants, des scènes d’action loin d’être éblouissantes ; James Mangold fait à peine mieux que son prédécesseur mais la déception est réelle et on attend toujours le véritable film qui fera honneur au héros de Marvel.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais planter vos baguettes !

  • Le Samouraï du crépuscule

    Dans des temps reculés du Japon, nous retrouvons Seibei Iguchi (Hiroyuki Sanada), un samouraï qui vient de perdre sa femme emportée par une tuberculose. Désormais, il doit veiller sur ses 2 filles Kayano & Ito (Miki Ito & Erina Hashiguchi) mais tout le monde ne voit pas d’un bon œil son nouveau mode de vie. Ainsi, son oncle tente par tous les moyens de le remarier afin de redorer le blason de la famille mais rien n’y fait jusqu’au jour où il retrouve une pote d’enfance Tomoe Linuma (Rie Miyazawa).
    Chouette un film de samouraïs ! On se dit qu’on va avoir droit à une succession de combats au sabre et tous ces petits trucs qui coupent, des giclées de sang mais point du tout ! Pour les amateurs d’action, sachez que les scènes de combat se comptent sur les doigts d’une main. Le film se centre davantage sur la vie familiale de ce samouraï pas comme les autres, une particularité intéressante malgré tout on s’ennuie devant ce manque de rythme.