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rinko kikuchi

  • 47 Ronin

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    Dans le Japon féodal. Le pays est divisé en provinces avec à leur tête des Seigneurs soumis à l’autorité du Shogun Lord Asano (Min Tanaka) est l’un d’entre eux. Il y a quelques années de cela, il n’a pas hésité à recueillir un jeune garçon appelé Kaï (Daniel Barber / Keanu Reeves) alors que beaucoup le considérait comme un démon. Les années passent et Kaï a grandi en compagnie de Mika (Arisa Maekawa / Kô Shibasaki), la fille d’Asano une relation laissant petit à petit place à l’amour mais du fait de son rang, ils ne peuvent laisser s’exprimer leur sentiment. La province d’Ako sera toutefois marquée par la disparition de Lord Asano qui a été victime d’un piège et Kuranosuke Oïshi (Hiroyuki Sanada) qui fut son samouraï se chargera de le venger !

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    Le Ronin, c’est le Samouraï qui se retrouve soudainement sans maitre et ce film s’inspire d’une ancienne histoire japonaise ; c’est la minute culturelle car en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à tirer du film de Carl Erik Rinsch. Pour sa première réalisation, il a bénéficié d’une enveloppe incroyable de 175 millions de dollars et on se demande où est passé ce budget. Trop long à démarrer, des personnages transparents, des effets spéciaux perfectibles et des scènes d’action qui manquent de folie font que 47 Ronin se révèle bien loin d’être aussi fun qu’on ne l’aurait imaginé. Il aura beau se déplacer comme un fantôme ou manier les sabres avec habileté, ce n’est vraiment pas avec ce genre de rôle que notre pote Keanu Reeves signera son come-back. A oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la légende des 47 Ronin.

  • Pacific rim

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    2013. Une brèche est apparue dans les fonds sous-marins créant ainsi un passage entre notre planète et une autre dimension. C’est ainsi que des créatures aussi gigantesques que dévastatrices sont arrivés et les Kaiju devenaient ainsi la plus grande menace pour l’humanité. Pour les combattre, il fallait une armée adaptée et c’est ainsi que furent crées les Jaegers, des robots géants pilotés par 2 personnes mais leurs adversaires ont su s’adapter. En effet 15 ans plus tard, les Kaiju évoluent au point que les dirigeants du monde ont condamné le programme des Jaegers ce qui est une terrible erreur au gout de Stacker Pentecost (Idris Elba) qui va prouver que ses robots ont encore plein de ressources !

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    Des monstres cousins de Godzilla et des robots géants, tout ça orchestré par Guillermo del Toro ; c’est un programme qui s’annonce réjouissant ! On avait ainsi rendez-vous avec certainement le pop-corn movie de l’année et on en a effectivement pour notre argent puisque ce sont des villes entières qui sont ravagées et quand les Jaegers commencent à se battre, on se tait et on admire. Pacific rim repose donc exclusivement sur le spectacle et sacrifie pour cela des personnages au rayonnement proportionnellement inverse à la taille des robots qu’ils pilotent (hormis peut-être l’excellent Hannibal Chau !). Le scénario est très fantaisiste et ne plaira pas à tout le monde mais si c’est votre came alors faites-vous plaisir avec ce Coup de cœur Ciné2909 et il faut bien sur en profiter sur grand-écran.

     

    Il faut le voir pour : Les monstres et les robots géants !!

  • La ballade de l’impossible

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    Naoko & Kizuki (Rinko Kikuchi & Kengo Kora) ont grandi ensemble et naturellement une histoire d’amour est née entre eux, une relation dont a été témoin Watanabe (Kenichi Matsuyama), le pote d’enfance du jeune homme. Ce dernier semblait heureux et rien ne pouvait laisser présager qu’il mettrait brusquement fin à ses jours. Après ce drame, Watanabe est parti vivre à Tokyo afin d’oublier tout cela mais le hasard fait qu’il y rencontre Naoko encore très marquée par la disparition de son compagnon. Au fil du temps, ils deviennent de plus en plus intimes mais leur relation est perturbée par la fragilité de Naoko qui décide de s’isoler du jour au lendemain.

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    Si vous êtes du genre à ne pas supporter les films romantiques alors La ballade de l’impossible n’est décidément pas fait pour vous ! Le réalisateur vietnamien Tran Anh Hung fait son come-back 11 ans après A la verticale de l’été pour nous offrir l’adaptation du roman de Haruki Murakami, une romance complexe. Si on tombe sous le charme du trio Kenichi Matsuyama /Rinko Kikuchi / Kengo Kora sans oublier Kiko Mizuhara, on s’abandonne parfois à l’ennui dans ce film malgré de belles images et une caméra toujours en perpétuel mouvement pour donner de la vie à son histoire. Ceux qui apprécient les ambiances poétiques seront certainement aux anges !

     

    Il faut le voir pour : Se rappeler que les histoires d’amour font parfois mal.