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comédie - Page 44

  • 40 ans mode d’emploi

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    Ca y est désormais le cap des 40 ans est passé pour nos potes Debbie & Pete (Leslie Mann & Paul Rudd) et il leur faut reprendre leur vie en mains ! Un jour, ils pourraient bien ouvrir leurs yeux et se retrouver à l’âge de 90 ans sans s’en rendre compte alors des changements radicaux s’imposent. Fini les cupcakes, les cigarettes place à la nourriture saine, la vie en famille avec leurs 2 filles Sadie & Charlotte (Maude & Iris Apatow) mais le couple doit aussi faire face à de graves problèmes financiers. Alors que Debbie accuse une perte de 12 000 $, Pete a fait un pari audacieux avec sa maison de disques en voulant relancer la carrière de Graham Parker.

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    Après nous avoir fait la présentation d’un puceau de 40 ans, fait partager les joies de la grossesse (par ailleurs il s’agit ici d’un spin-off d’En cloque, mode d’emploi); Judd Apatow s’empare désormais de la crise de la quarantaine pour sa nouvelle comédie. C’est un portrait de famille plutôt sympathique, le duo entre Leslie Mann & Paul Rudd fonctionne bien et sont aussi bien accompagnés par Maude & Iris Apatow qui ne sont autres que les propres filles du réalisateur. Ça roule mais il n’y pas non plus de quoi se rouler par terre ; les rires se font très discrets et finalement on oubliera 40 ans mode d’emploi assez vite. Oh et si vous n’avez pas encore vu le dernier épisode de Lost, mieux vaut passer votre chemin.

     

    Il faut le voir pour : Trouver un bon moyen de vérifier si vous avez des hémorroïdes.

  • 20 ans d’écart

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    Le départ de Vincent Khan (Gilles Cohen) laisse une place vacante à la tête de la rédaction du magazine de mode Rebelle et notre pote Alice Lantins (Virginie Efira) espérait bénéficier de cette promotion. Seulement cette femme à l’allure bourgeoise ne peut pas faire rêver le lectorat à moins qu’elle ne change son image. C’est ainsi qu’elle va se servir de Balthazar (Pierre Niney), un jeune étudiant qu’elle a rencontré dans l’avion qui les ramenait du Brésil. Alice attire désormais tous les regards et cela plait à Vincent et la revoilà dans la course pour une éventuelle promotion mais jouer avec les sentiments mène parfois à de terribles conséquences.

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    Cougar ou MILF, ce sont des termes qui sont aujourd’hui entrés dans le vocabulaire contemporain ; un phénomène pas si nouveau mais qu’on voit désormais partout et même au cinéma. Si on est plutôt surpris de voir le réalisateur David Moreau (Ils, The eye) se lancer dans une comédie romantique, on l’est beaucoup moins quand on se lance dans la découverte de 20 ans d’écart. Bien sur, le plaisir est quand même au rendez-vous en compagnie de la belle Virginie Efira et du candide Pierre Niney, c’est juste que ça ressemble trop à ce qui a été fait auparavant dans le genre et là l’écart est loin d’être aussi probant. Amusant mais toujours rien d’étonnant.

     

    Il faut le voir pour : Repeindre absolument votre mobylette rose !

  • Week-end royal

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    Il se murmure que l’état de Franklin Delano Roosevelt (Bill Murray) n’est pas au mieux de sa forme et c’est ainsi que Daisy (Laura Linney), une lointaine cousine se retrouve à ses cotés à la résidence d’Hyde Park. En réalité, c’est la mère du 32ème Président des Etats-Unis qui a tendance à trop dramatiser qui est à l’origine de la venue de Daisy et celle-ci va rapidement devenir une intime de Roosevelt. Elle va ainsi assister à un évènement historique ; c’est la première fois qu’un souverain anglais est invité sur le territoire américain. L’arrivée du roi George VI (Samuel West) et de la Reine Elizabeth (Olivia Colman) est une mission diplomatique ; il s’agit en effet de convaincre les Etats-Unis de rallier l’Angleterre qui s’apprête à entrer en guerre contre l’Allemagne d’Hitler.

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    Après le Lincoln de Steven Spielberg, c’est maintenant au tour du vieux Roosevelt d’envahir nos écrans avec Week-end royal. Le film de Roger Michell s’intéresse surtout à cette rencontre historique avec le couple souverain anglais de l’époque et en marge de cela il y a également une petite romance (quand même pas loin de l’inceste !) qui nous laissera complètement indifférent. Quant à cette réunion au sommet, on n’est guère plus emballé même si on ne peut rien reprocher aux différents comédiens, c’est juste que ça n’a rien de passionnant. Tout un film pour apprendre qu’un roi peut manger un hot dog ça a de quoi nous rester en travers de la gorge.

     

    Il faut le voir pour : Inviter les femmes à jeter un œil à votre collection de timbres !

  • Ouf

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    Notre pote François (Eric Elmosnino) a comme qui dirait pété un plomb devenant particulièrement agressif envers sa femme Anna (Sophie Quinton). Il est même allé jusqu’à tenter de mettre le feu à l’immeuble où il habitait et c’est pour cette raison qu’il s’est retrouvé soigné dans un hôpital psychiatrique. Le temps a passé, il est désormais libre et va chercher à retrouver sa vie d’avant et pour ça il tente de convaincre Anna que tout va bien se passer pour eux. Son obsession va une nouvelle fois le conduire à être interné puisqu’il n’a rien trouvé de mieux que d’escalader la façade de son immeuble pour faire une surprise à son ex-femme. Le voilà encore enfermé mais tout espoir n’est pas perdu !

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    A quelques semaines d’intervalle de la sortie d’Happiness Therapy, débarque Ouf qui partage avec la comédie américaine quelques points communs. Les 2 films partent avec une base scénaristique identique mais ici on est bien moins gâté même si le tandem Sophie Quinton / Eric Elmosnino est assez séduisant. Ce qui est moins brillant c’est ce qui les entoure, une histoire inexistante et qui va trouver son apothéose dans ce champ de patates. Bien que le personnage de François parvient à nous faire décrocher tout au plus 2-3 sourires et qu’on a plaisir à voir Valeria Golino ou Luis Rego, on ne tarde pas à regretter que ce film manque paradoxalement d’une véritable folie.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vomir sur les pigeons !

  • Boule & Bill

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    En ce beau Dimanche après-midi, Boule (Charles Crombez) se promenait avec ses Parents (Marina Foïs & Franck Dubosc) et au hasard des routes ils sont arrivés jusqu’aux portes de la SPA. Le petit garçon tombe alors sous le charme d’un cocker qu’il va adopter et baptiser Bill, son nouveau pote d’enfance mais un évènement va bouleverser la vie de cette famille. Le père de Boule souhaitait leur faire la surprise ; il a fait une demande de mutation qui a été acceptée et ils vont donc prochainement déménager à Paris ! Ils abandonnent leur belle maison pour un appartement au 11ème étage d’un immeuble et inutile de vous dire que ce n’est pas vraiment l’environnement idéal pour un chien !

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    On a tous un jour ou l’autre lu les aventures de ce célèbre duo puisque la bande-dessinée crée par Jean Roba existe tout de même depuis plus de 50 ans ! Elle ne pouvait donc pas échapper plus longtemps à la vague d’adaptation cinématographique mais on le sait, les expériences en la matière n’ont pas toujours été couronnées de succès. Boule & Bill ne sera pas l’exception qui confirme la règle car si on ne peut pas reprocher grand-chose au casting, c’est l’histoire ultra-conventionnelle et le manque d’idées qui rendent le film sans saveur. En plus de ça à l’écran c’est d’une tristesse ; ça manque de couleurs et tout simplement de vie le film est loin d’être wouf et ne risque pas de faire de vieux os.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de déranger vos voisins dépressifs !

  • Vive la France

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    Savez-vous qui a inventé la recette du taboulé ? Non, ce n’est certainement pas le Liban mais un petit pays d’Asie centrale appelé le Taboulistan. Personne n’en a jamais entendu parler et c’est pourquoi ce pays a décidé de se faire connaitre aux yeux du monde entier en planifiant un attentat contre la Tour Eiffel. Ce sont Feruz & Muzafar (Michaël Youn & José Garcia) qui ont été choisi pour accomplir cette mission divine et ils s’apprêtaient à détourner leur avion lorsqu’une grève des contrôleurs aériens est venu perturber leur plan. Ils se retrouvent ainsi à Figari, en Corse et cherchent à rejoindre Paris mais le chemin jusqu’à la capitale est long et leur réserve pas mal de surprises !

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    Michaël Youn s’est inspiré d’un véritable fait-divers où 2 terroristes ont atterri sans le couloir en Italie pour pondre son 2nd film. Pour l’occasion, il occupe la double casquette de réalisateur et de comédien en partageant l’affiche avec José Garcia ; un tandem qui s’annonçait explosif mais qui nous laisse clairement sur notre faim. Vive la France, c’est d’abord un road-trip de la Corse à Paris en passant par Marseille, l’occasion de proclamer l’amour de Youn envers son pays. Reste que si le voyage est plutôt plaisant, il manque franchement de folie pour prétendre nous éclater ; le trublion qu’on avait tant aimé à la télévision semble vraiment devenir tristement raisonnable avec le poids des années.

     

    Il faut le voir pour : Demander à faire le ménage à trois chez vous !

  • Turf

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    Potes d’enfance depuis plus de 20 ans Freddy, Nikos, Fortuné & Fifi (Edouard Baer, Alain Chabat, Lucien Jean-Baptiste & Philippe Duquesne) se retrouvent régulièrement au bar Le Balto. Autour d’un verre, ils parient sur les courses de chevaux en espérant un jour décrocher le gros lot mais jusqu’à présent ils n’ont pas eu beaucoup de chance. La roue va peut-être tourner puisqu’on leur propose une affaire en or : l’acquisition d’un cheval, une vraie flèche du moins c’est comme ça que le vend Monsieur Paul (Gérard Depardieu). En réalité, Torpille est un cheval qui n’intéresse personne et c’est donc avec beaucoup de naïveté que notre quatuor va en devenir les propriétaires. Un beau projet mais cela n’est pas donné et il va donc falloir le faire courir rapidement et les premiers résultats sont loin d’être encourageants.

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    Sachez déjà que je fais partie de ceux qui apprécient le cinéma de Fabien Onteniente donc il n’y avait vraiment aucun à-priori avant de fouler l’hippodrome de Turf. Les courses de chevaux étant en plus pour moi aussi passionnant qu’un tournoi de curling, on ne peut pas dire que cette comédie m’emballait particulièrement et ce n’est pas près de changer ! En dehors d’une bande assez sympathique et le fait que le réalisateur ait réussi à convier de nombreux guests, l’histoire avance au petit trot et on se demande bien où est passé l’humour dans tout ça. Si vous avez vu la bande-annonce avec la blague sur Banette, j’ai envie de vous dire que vous avez déjà eu droit au meilleur donc si vous souhaitez parier sur le bon cheval évitez ce film !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de laisser trainer votre mec au PMU du coin !

  • La vraie vie des profs

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    Profanation au collège Emile Zola de Marseille ! Bon, le mot est un peu fort mais une statue a été taguée et le Directeur (Lucien Jean-Baptiste) n’a pas eu de mal à trouver les coupables ! Albert & Jean-Mohamed (Emir Seghir & Sami Bouzid). Niant être les auteurs de ce méfait et réclamant un peu plus de liberté d’expression, les 2 compères se retrouvent propulsés dans l’équipe du journal du collège composée de Sissi, Juju (Victoire Poupon, Maëva Arnoux) et de Mousse (Enzo Vallejos-Celotto) qui n’est autre que le petit frère d’Albert. Après un léger incident et 4 heures de colle, ils découvrent que Mme De Grémont (Catherine Hosmalin) cache bien son jeu et vient alors l’idée d’enquêter sur la vraie vie des profs !

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    "Ba quoi, ça te fait pas marrer ?" Il s’agit là d’une ligne de dialogue de cette soi-disant comédie et la réponse sera bien claire : NON !! Soulignons que les profs vont en prendre pour leur grade cette année puisqu’en avril prochain suivra aussi l’adaptation de la bande dessinée par Pierre-François Martin Laval. La vraie vie des profs a donc l’avantage de lancer les hostilités sous la supervision du duo Emmanuel Klotz / Albert Pereira Lazaro que l’on connait pour avoir adapté Les lascars au cinéma. Sur le papier c’était prometteur mais au final c’est surjoué, on cherche vainement les gags et l’ensemble vaut guère mieux qu’une copie blanche. C’est quoi le plan ? Ils voulaient tout balancer et bien je crois que c’est le film qu’on va balancer !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de sortir les poubelles plutôt que de les ramener !

  • Gambit, Arnaque à l’anglaise

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    Notre pote Harry Deane (Colin Firth) est conservateur d’art et si son métier le passionne toujours autant, il ne supporte plus son patron Lionel Shahbandar (Alan Rickman). Ce dernier est un puissant homme d’affaires qui s’est notamment offert un célèbre tableau de Claude Monet de la série des Meules. Une série qui compte de nombreuses peintures et l’une d’elles se déroulant au coucher du soleil n’a jamais pu être localisée jusqu’à maintenant. Et c’est là que jaillit un plan pour Harry qui, avec l’aide du Major (Tom Courtenay), va créer une copie parfaite de ce tableau. Ne lui reste plus qu’à mettre la main sur une certaine P. J. Puznowski (Cameron Diaz) et c’est au Texas qu’il va la trouver et dans la tête d’Harry tout son plan est en place mais seulement dans sa tête !

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    Si la réalisation a été confiée à Michael Hoffman ; derrière Gambit, Arnaque à l’anglaise se cache un script des frères Cohen qui n’ont pas cherché leur inspiration bien loin puisqu’il s’agit d’un remake d’Un hold-up extraordinaire. Après un début en fanfare où l’on peut par ailleurs admirer des chimpanzés faire du rodéo, le charme de cette comédie se met à agir grâce à son excellent duo d’acteurs. Colin Firth d’habitude assez flegmatique se mue ici en un gaffeur hors-pair et puis il est merveilleusement secondé par une Cameron Diaz à l’accent certes forcé mais irrésistible. Je ne saurais d’ailleurs que vous conseiller de le voir en V.O. car je doute que la version française donne autant de charme à cette sympathique comédie.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous faire des films dans votre tête !

  • La malédiction de Komodo

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    Le projet Cathalyse est devenu incontrôlable et il faut désormais effacer toutes traces de ce désastre. C’est la mission qu’il confie aux Docteur Porter & Professeur Phipps (Gail Harris & William Langlois) qui ont participé aux recherches pensant que la finalité était de faire pousser de la nourriture mais ils découvrent en fait les véritables desseins de ce projet. L’objectif était donc de créer une nouvelle arme avec de puissantes créatures et il est plutôt bien rempli puisque l’ile où ont été menées les expériences est désormais infestées de Komodos géants !  Pendant ce temps, Drake (Paul Logan) et ses potes d’enfance viennent de braquer un casino et parviennent à prendre la fuite dans un hélicoptère qui va manquer de s’écraser. Ils atterrissent sur une ile et je vous laisse deviner laquelle !

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    On n’y pense pas forcément mais c’est vrai que le Dragon de Komodo est l’un des animaux les plus sauvages et impressionnants que l’on connaisse aujourd’hui encore. Quelques expériences plus tard et nous voilà donc confronté à La malédiction de Komodo pour un nanar réalisé dans la plus pure tradition. Ce qui est terrible c’est qu’on n’a même pas cherché à faire d’efforts particuliers pour faire vivre le film. Il n’y a qu’à voir ces grotesques scènes d’action où les protagonistes restent plantés devant le monstre à le canarder jusqu’à ce que l’un d’eux fasse très justement remarquer que cela n’a aucuns effets sur lui. On sait déjà que le ridicule ne tue pas mais là il fait quand même bien mal et vous pourriez éprouver quelques difficultés à vous remettre d’un tel niveau de nullité.