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  • Gemma Bovery

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    Cela fait 7 ans que notre pote Martin Jourbert (Fabrice Lucchini) a quitté Paris pour s’installer en Normandie reprenant la boulangerie paternelle. Comme beaucoup d’autres citadins, il cherchait la paix et la tranquillité mais l’arrivée de nouveaux voisins allait tout bouleverser. C’est un couple d’anglais qui s’est installé en face de chez lui ; Charlie & Gemma Bovery (Jason Flemyng & Gemma Arterton) et immédiatement il a été subjugué par la jeune femme. Certes, elle est d’une beauté renversante mais surtout elle lui rappelle l’héroïne de sa jeunesse Madame de Bovary et pour Martin ce n’est certainement pas un hasard si elle s’est installée en Normandie là où même Flaubert a écrit son œuvre.

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    Si l’inspiration du titre de Flaubert est manifeste, il faut savoir qu’à la base il existe d’abord un roman graphique signé Posy Simmonds (à qui l’on doit déjà Tamara Drew) dont est adapté Gemma Bovery. Idée plutôt originale donc de donner une figure contemporaine à cette héroïne de romans du moins aux yeux d’un Fabrice Lucchini avec son éternel allure de pince-sans-rire. C’est donc un duo inattendu qu’il forme avec Gemma Arterton au charme dévastateur et le décalage entre ces deux personnages offre de beaux moments de réjouissances. Reste tout de même que la dernière demi-heure est moins enjouée malgré tout Anne Fontaine réussit à nous donner envie de découvrir ou redécouvrir le roman original à déguster avec un petit verre de Calva !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus utiliser de mort aux rats !

  • Obvious child

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    Lorsqu’elle monte sur scène pour faire son petit numéro de stand-up, Donna (Jenny Slate) proche énormément dans ses expériences personnelles. Elle aura encore beaucoup de choses à raconter au public puisqu’elle vient de se faire plaquer par Ryan (Paul Briganti) et qui plus est avec ce qui semblait être une pote d’enfance. Une rupture difficile à accepter si bien que Donna finit un soir par abuser un peu trop de l’alcool et termine la nuit avec un certain Max (Jake Lacy) qu’elle vient à peine de rencontrer. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais quelques semaines après, elle va avoir une énorme surprise !

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    On est bien loin des comédies américaines formatées avec Obvious child qui apporte assurément de la fraicheur. L’héroïne du film interprétée par la pétillante Jenny Slate y est aussi pour beaucoup et dès les premières lignes de dialogues, le ton est donné avec une jeune femme totalement décomplexée. Dans un premier temps, il est donc plutôt amusant de découvrir un tel personnage mais son histoire finit progressivement par tomber dans une certaine normalité voire banalité. Un premier long-métrage de la part de la réalisatrice Gillian Robespierre qui doit beaucoup à sa comédienne principale mais qui ne réussit à nous séduire que par à-coups.

     

    Il faut le voir pour : Essayer les Crocs pour vérifier si ils sont aussi confortables !

  • Avant-Première Magic in the moonlight avec les présences d'Emma Stone & Colin Firth

    Yo à tous !!

    Ce Jeudi 11 Septembre, nous avions rendez-vous à l'UGC Bercy afin d'accueillir Emma Stone & Colin Firth pour l'Avant-Première de Magic in the moonlight qui sortira le 22 Octobre prochain. Un film loin d'être anodin puisqu'il s'agit du dernier Woody Allen.

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    Il y avait donc du monde pour accueillir les 2 vedettes et si vous souhaitez découvrir en exclusivité et en vidéo leur arrivée, rendez-vous sur le Facebook de Ciné2909 à l'adresse suivante : https://www.facebook.com/cine2909

     

    Et un petit like pour le blog me ferait aussi bien plaisir !

  • Maintenant ou jamais

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    Ils ont réalisé leur rêve en faisant construire leur maison, bientôt Juliette & Charles Lesage (Leïla Bekhti & Arthur Dupont) ainsi que leurs deux enfants vont pouvoir quitter Paris. Malheureusement pour eux, Charles vient d’apprendre une terrible nouvelle puisqu’il est renvoyé durant sa période d’essai ce qui met cette famille dans une situation financière délicate. Ce n’est pas avec ses quelques cours de piano que Juliette parviendra à payer toutes les factures et comme si cela ne suffisait pas, elle se fait voler son sac à main en pleine rue. La Police parviendra à arrêter le suspect mais plutôt que de le faire condamner, la jeune femme va lui demander son aide afin d’organiser le braquage d’une banque.

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    Une belle maison avec des enfants qui gambadent dans le jardin sans oublier le petit chien, voilà un idéal dont beaucoup rêvent. Retour brusque à la réalité avec Maintenant ou jamais où l’on assiste au braquage improbable organisé conjointement par une mère de famille désespérée et un délinquant débarqué de nulle part. S’il est difficile de reprocher quoi que ce soit au niveau de l’interprétation de Leïla Bekhti ou de Nicolas Duvauchelle, on ne peut pas en dire autant d’un scénario utilisant des raccourcis parfois invraisemblables. La réalisation de Serge Frydman manque également d’intensité pour nous tenir en haleine sur la longueur ; à découvrir surtout pour ses comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Toujours attendre d’avoir un CDI avant de faire une demande de crédit !

  • Délivre-nous du mal

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    Flics au sein d’une unité spéciale, Ralph (Eric Bana) et son pote d’enfance Butler (Joel McHale) ont souvent des nuits agitées. Après s’être occupé d’un mari violent, les voilà en plein cœur du zoo du Bronx plongé en pleine obscurité où ils recherchent une femme qui semble avoir perdu la raison. Celle-ci a en effet jeté son jeune enfant dans la fosse aux lions, un geste inexplicable mais qui va s’avérer être le fruit d’une possession démoniaque. Difficile d’y croire pourtant Ralph va être le témoin direct d’étranges phénomènes et sa rencontre avec le Père Mendoza (Edgar Ramírez) va finir de le convaincre que le Mal semble s’être invité parmi eux !

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    Tout porte à croire que Scott Derrickson aime faire frissonner les spectateurs puisqu’il a déjà signé L’exorcisme d’Emily Rose & Sinister. Coté scénario, on s’est basé sur la véritable expérience du policier Ralp Sarchie afin de tisser une histoire qui se montre finalement peu originale. On appréciera tout de même l’effort de Délivre-nous du mal de mettre un peu plus l’accent sur le côté thriller avec cette atmosphère étouffante pour s’affranchir du simple film d’horreur-épouvante. Coté casting, Eric Bana fait le job accompagné de Joël McHale (Community) qui vient désamorcer quelques moments de tension avec son humour. Pas un grand film mais qui fera l’affaire d’une soirée.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre femme aller au zoo !

  • Hippocrate

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    Un nouvel interne vient d’arriver et ce n’est pas n’importe qui ! Il se trouve en effet que notre pote Benjamin (Vincent Lacoste) est le fils du Professeur Barois (Jacques Gamblin) et qu’il a choisi de rejoindre le service de son père. Il sera suivi peu de temps après par Abdel (Reda Kateb) venu d’Algérie où il était médecin et qui cherche à obtenir son équivalence en France afin de devenir titulaire. Tous deux vont ainsi découvrir le quotidien toujours animé de cet hôpital entre les patients pas toujours très dociles et des conditions de travail qui font l’objet de nombreuses contestations.

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    Au-delà du simple film, le réalisateur Thomas Lilti nous propose ici une véritable plongée dans l’univers hospitalier. A travers les expériences vécues par Benjamin & Abdel, c’est un constat édifiant qui est dressé ; effectif réduit, matériel désuet, recherche perpétuelle de la rentabilité, c’est une lente déshumanisation d’un institut qui se dévoile sous nos yeux. Passionnant par son sujet, Hippocrate brille également par une interprétation sans failles où se distinguent incontestablement les excellents Vincent Lacoste et Reda Kateb. Que du tout bon pour ce film aux faux airs de documentaire qui mérite le coup d’œil !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous allonger sur le ventre quand on vous demande de vous mettre sur le dos.

  • The salvation

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    1871. Cela fait 7 ans que notre pote John (Mads Mikkelsen) et son frère Peter (Mikael Persbrandt) ont quitté le Danemark pour s’installer aux Etats-Unis où ils espèrent y trouver une vie meilleure. En quittant son pays, John a également laissé derrière lui sa femme Marie (Nanna Øland Fabricius) et leur fils Kresten (Toke Lars Bjarke) mais aujourd’hui l’heure des retrouvailles est arrivé. Le bonheur de cette famille réunie sera de courte durée puisque le trajet en diligence va se terminer de manière sanglante. Parmi les victimes se trouvait notamment le frère de Delarue (Jeffrey Dean Morgan) qui entend bien mettre la main sur l’homme responsable de cette exécution.

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    Voilà un western qui a de la gueule avec son casting hétéroclite où l’on retrouve Mads Mikkelsen, Jeffrey Dean Morgan, Eva Green et même notre cher Eric Cantona. Tout ce beau monde est réuni autour d’un scénario centré sur la vengeance et avec en toile de fonds les prémices de la Révolution industrielle à travers les découvertes des gisements de pétrole aux Etats-Unis. Le film de Kristian Levring se montre peu bavard à l’image du personnage de Madelaine, The salvation préfère en effet laisser les cliquetis des éperons ou les détonations des fusils faire leurs effets. A défaut de parvenir à nous surprendre, c’est efficace et on peut difficilement bouder son plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Utiliser vos bottes pour planquer votre argent mais ne le dites à personne !

  • Party Girl

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    Pendant des années, notre pote Angélique (Angélique Litzenburger) a travaillé dans les cabarets et elle s’apprête désormais à tourner une page de sa vie. Elle a en effet accepté de s’installer avec Joseph (Joseph Bour) qui fut un de ses fidèles clients et l’amour est apparu au cœur de leur relation. Ils vont prochainement se marier et c’est l’occasion pour Angélique de revoir tous ses enfants et plus particulièrement la jeune Cynthia (Cynthia Litzenburger) qui a été confié à une autre famille il y a des années de cela. Ces retrouvailles l’effraient un peu ignorant quelle sera la réaction de sa fille à cette nouvelle mais elle peut compter sur le soutien indéfectible de son entourage. Malgré tout cela, au fur et à mesure que la date du mariage approche, elle semble assaillie par le doute.

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    Il s’agit là de chroniques familiales assez particulières puisque l’histoire se base sur l’expérience réelle vécue par la comédienne non-professionnelle Angélique Litzenburger. Entourée par les véritables membres de sa famille, inutile de vous dire que l’authenticité prédomine dans Party Girl et c’est ce qui fait sa force. Le portrait d’Angélique est touchant ; on ne peut pas rester insensible face à cette femme malgré les chances qui lui sont offertes semblent se refuser au bonheur. Projet mené à trois mains ; Marie Amachoukeli, Claire Burger, Samuel Theis signent avec leur premier long-métrage un magnifique portrait qui décroche le Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois avant de dire "Oui"

  • Antboy

    cinéma, film, comédie, aventure, fantastique, Antboy,  	Oscar Dietz, Nicolas Bro, Samuel Ting Graf, Ask Hasselbalch, Amalie Kruse Jensen, Cecilie Alstrup Tarp, Laerke Winther Andersen, Marcuz Jess Petersen, Elsebeth Steentoft

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    Connaissez-vous Pelle Nøhrmann (Oscar Dietz) ? Probablement pas puisque ce petit garçon peu sur de lui est totalement invisible auprès de ses camarades de classe. Un jour, sa vie va changer puisqu’en se cachant dans les buissons de la propriété de Mme Gæmelkrå (Elsebeth Steentoft), il se fait piquer par une fourmi. Ce n’est que quelques temps plus tard qu’il comprend que cette fourmi n’est pas ordinaire et c’est ainsi que Pelle se découvre une grande force et la capacité d’adhérer aux murs. C’est avec l’aide de son nouveau pote d’enfance Willem (Samuel Ting Graf) qu’il prend conscience qu’il dispose d’incroyables pouvoirs qui ne donnent pas forcément de grandes responsabilités mais donnent naissance à un héros que tout le monde acclamera : Antboy !

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    Toute ressemblance avec un super-héros issu de l’écurie Marvel n’est peut-être pas fortuite ! Comment effectivement ne pas penser au Ant-man, membre des prestigieux Avengers. Evidemment, il s’agit ici d’un petit film danois et budget limité oblige même si le costume sauve un peu les apparences, quand vient l’heure de l’action ça devient flagrant. L’un des rares combats auquel vous assisterez confrontera notre héros à son nounours sinon la réalisation détourne ce manque de moyens par quelques subterfuges. Même si le petit Oscar Dietz a une bouille adorable, Antboy ne pourra amuser que les enfants qui trouveront avec Antboy un amusement suffisant pour faire passer le temps mais rien de plus.

  • 22 Jump Street

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    Après avoir squatté les bancs du lycée, nos deux potes d’enfance Jenko & Schmidt (Channing Tatum & Jonah Hill) viennent de se voir assigner une nouvelle mission. C’est désormais à la fac qu’ils vont devoir jouer les infiltrés et tenter de découvrir l’identité d’un dealer responsable de la distribution de WhyPhy. Cette drogue a déjà fait une victime et les choses pourraient empirer si les policiers ne font pas tomber ce réseau mais l’enquête s’annonce difficile. Ceci d’autant plus que Jenko semble s’éclater auprès de son nouveau pote d’enfance Zook (Wyatt Russell) et cela Schmidt a bien du mal à l’accepter.

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    Ils avaient annoncé la couleur avec le premier épisode, Channing Tatum & Jonah Hill persistent et signent avec cette suite toujours aussi loufoque. Après le lycée, place à la Fac où ils s’amusent avec les habituels clichés de la vie étudiante américaine jusqu’à s’incruster au sacro-saint Spring break. Une fois encore les fans de la série télévisée risquent de l’avoir en travers de la gorge ; 22 Jump Street est une comédie délurée (à l’image du générique de fin) qui perd clairement l’aspect policier qui faisait l’essence de la série. Vous voilà donc prévenus, rien d’autre qu’une petite récréation divertissante rien de plus.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre partenaire de cacher ses grenades ailleurs !

     

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