Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Le casse de Central Park

    aff.jpg

    The Tower, une résidence d’appartements luxueux où habite le gratin de New-York et c’est là que travaille notre pote Josh Kovacs (Ben Stiller). Il supervise tout de A à Z, toujours disponible pour répondre aux besoins des locataires et notamment d’Arthur Shaw (Alan Alda), magnat financier qui va bientôt faire la une des journaux. On le soupçonne en effet d’avoir organisé une immense fraude financière mais ce qui est encore plus inquiétant pour Josh, c’est qu’il lui avait confié les fonds de pension des retraites de l’ensemble des employés de la tour. La vérité est difficile à encaisser : ils se sont tous fait escroquer ! Se sentant responsable et parce qu’il a entendu dire que Shaw cacherait plus de 20 millions de dollars dans son appartement, il compte rétablir un semblant de justice.

    01.jpg

    Ce n’est pas pour jouer les chauvins mais le pitch de ce film rappelle un peu celui de La très très grande entreprise. Les similitudes ne vont pas plus loin puisque Le casse de Central Park joue dans une toute autre dimension et on attendait beaucoup du duo inédit Ben Stiller / Eddie Murphy. Le résultat ne sera pas à la hauteur car si cette comédie surfant sur la vague des scandales financiers et des investisseurs sans scrupules n’est pas déplaisante, elle peine par contre vraiment pour nous faire rire. On retiendra seulement la scène où la Ferrari de Steve McQueen fait un voyage mémorable dans cet immeuble sinon pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. On est loin du casse de l’année !

     

    Il faut le voir pour : Monter votre voiture dans votre appartement comme ça vous êtes sur de pas vous la faire piquer !

  • Happy Feet 2

    aff.jpg

    C’est la fête sur la terre des Empereurs où tous les manchots dansent en harmonie, tous sauf le petit Erik fils de Mumble. D’abord intimidé, il se laisse ensuite entrainer par le rythme mais finit par faire un faux pas ce qui provoque immédiatement l’hilarité des autres. Honteux, il se cache dans son trou bientôt rejoint par ses potes d’enfance Bo & Atticus avant de discrètement s’enfuir en compagnie de Ramon. Mumble finit par les retrouver non loin de là et ils vont faire la connaissance de Sven, un manchot exceptionnel qui a la particularité de pouvoir voler ! Pour Erik, il devient un vrai héros à ses yeux et tandis que cette troupe s’apprête à regagner leurs terres, un iceberg va venir tout bouleverser.

    01.jpg

    Il avait fait monter la température avec ses pieds magiques et notre pote Mumble est enfin de retour avec toujours autant de danses et de chants (avec des reprises allant de Queen à Wham en passant par O-Zone !). Si ce n’est pas du coté du scénario qu’on sera ébloui, on en prend vraiment plein les yeux avec cette neige scintillante, la déferlante des krills ou encore les milliers de manchots présents sur la banquise. Au niveau des nouveautés, on notera l’apparition du duo Will & Bill les 2 krills échappés de leur banc dont les aventures ne sont pas sans nous rappeler celles d’un certain Scratch dans la saga L’âge de glace. Pas de surprises bonnes ou mauvaises, Happy Feet 2 est vraiment oki doki et séduira à coup sur les spectateurs friands d’animation quel que soit leur âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vouloir avant de pouvoir !


    En savoir plus sur Happy Feet ?

  • En quarantaine 2

    aff1.jpg

    Potes d’enfance mais également collègues de travail, Jenny & Paula (Mercedes Masöhn & Bre Blair) sont hôtesses de l’air et sont sur le point de décoller de l’aéroport de Los Angeles. A bord de l’appareil, une dizaine de passagers s’apprêtent à rejoindre Nashville mais ce vol va connaitre de nombreuses turbulences à commencer par la présence d’un passager malade. Pris de vomissements, il ne tarde pas à manifester un comportement extrêmement agressif au point qu’il a fallu l’attacher et faire atterrir l’avion en toute urgence. Alors qu’ils pensaient leur calvaire terminé, les passagers découvrent qu’ils sont maintenus en quarantaine car ils sont potentiellement porteurs du virus de la rage !

    01.jpg

    Petit rappel, En quarantaine est le remake made in Hollywood du succès espagnol [Rec] et cette suite américaine propose sa propre version puisque l’action se déroule d’abord dans un avion puis dans un aéroport. Le principe quant à lui n’a pas changé ; des victimes contaminées qui se transforment soudainement en créatures assoiffés de chair et de sang. Alors que Rec 2 faisait planer une atmosphère mystique, En quarantaine 2 lorgne lui plutôt du coté des films de survival, si on avait planté des zombies dans l’avion le résultat aurait été le même ! Au même titre que son prédécesseur, vous pouvez totalement vous passer de ce second volet inintéressant et vraiment sans inspirations.

     

    En savoir plus sur En quarantaine ?

  • L’art d’aimer

    aff.jpg

    L’amour, il n’y a certainement pas de sentiment plus fort que celui-ci et chacun de nous s’est déjà laissé enivrer par cette douce sensation. On sait également que cela mène parfois à de drôles de situations, ce que l’on pensait simple devient soudainement très compliqué. Ce n’est pas notre pote Achille (François Cluzet) qui nous dira le contraire, lui qui vient de faire la connaissance de sa nouvelle et très charmante voisine (Frédérique Bel). Il y a aussi Isabelle (Julie Depardieu) qui n’a pas eu de relations sexuelles depuis 1 an mais qui fait de drôles de rêves. Ce ne sont donc pas les histoires qui manquent et on arrive toujours à la même conclusion : aimer est un véritable art !

    01.jpg

    En matière de vaudeville romantique, il n’y a pas meilleur réalisateur français que notre pote Emmanuel Mouret même s’il faut concéder que son cinéma peut laisser certains spectateurs totalement hermétiques. Plutôt qu’un film, L’art d’aimer prend la forme de différentes histoires présentées de manière disparate en de courtes séquences. Une bonne initiative pour maintenir un rythme même si on peut déplorer l’histoire entourant le personnage d’Ariane Ascaride un peu trop sommaire. Comme à son habitude, Mouret s’entoure d’un magnifique casting où il retrouve Frédérique Bel, Judith Godrèche mais aussi Julie Depardieu, François Cluzet ou Gaspard Ulliel en compagnie desquels on passe un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Garder la lumière allumée pour certaines choses …

  • Hubert - La Haine

    a.jpg

    Hubert : C'est l'histoire d'une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien. L'important c'est pas la chute. C'est l'atterrissage.



    En savoir plus sur La Haine ?

  • Les adoptés

    aff.jpg

    Qui a réellement d’un homme à ses cotés ? Certainement pas nos potes Millie (Clémentine Célarié) et ses 2 filles Lisa & Marine (Mélanie Laurent & Marie Denarnaud), une famille vraiment pas comme les autres qui a traversé pas mal d’épreuves. Le seul homme dans leur vie c’est le jeune Léo (Théodore Maquet-Foucher), fils de Lisa qui ne manque pas d’amour. La vie de cette famille va être chamboulée tout d’abord par la rencontre entre Alexandre (Denis Ménochet) & Marine mais cette dernière va hélas être victime d’un terrible accident. Plongée dans un profond coma, son état ne rassure pas ses proches et puis il y avait cette nouvelle importante qu’elle s’apprêtait à dévoiler à sa sœur.

    01.jpg

    A côtoyer des réalisateurs comme Jacques Audiard, Philippe Lioret et même le grand Quentin Tarantino ; l’inspiration ne manque pas à la belle Mélanie Laurent qui ajoute une nouvelle corde à son arc à savoir la réalisation. Les adoptés est à l’image de cette artiste plurielle, l’émotion se mêle aux rires à travers un premier film singulier et plus qu’honorable bien aidé aussi par une distribution parfaitement homogène avec une splendide Marie Denarnaud ! On découvre également sous une autre facette le comédien Denis Ménochet ; bref les surprises ne manquent pas et les débuts de cette néo-réalisatrice sont plus que prometteurs.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des masques pour vos prochaines disputes en couple !

  • Le stratège

    aff.jpg
    Le baseball fait partie de la vie de notre pote Billy Beane (Brad Pitt) et on lui prédisait un bel avenir en tant que joueur hélas il n’a jamais su confirmer les espoirs qu’on plaçait en lui. Nous sommes en 2001 et il est désormais manager de l’équipe des Athletics d’Oakland avec laquelle il a frôlé l’exploit. Une nouvelle saison démarre mais ses meilleurs éléments ont été vendus aux autres grandes équipes et il manque de financement pour son recrutement. Au cours de ses nombreux démarchages, il croise alors Peter Brand (Jonah Hill), un jeune homme qui l’intrigue puisque celui-ci dresse d’impressionnantes statistiques qui révèlent qu’il y a beaucoup de joueurs sous-estimés dans le championnat.

    01.jpg

    Ce n’est certainement pas le sport le plus médiatisé chez nous alors qu’Outre-Atlantique il s’agit d’une véritable institution ; il vaut donc mieux s’intéresser un minimum au baseball pour apprécier Le stratège. La présence du beau Brad Pitt incitera également peut-être quelques demoiselles à tenter l’expérience dont le scénario s’inspire, comme de nombreuses belles histoires, de faits réels. Une fois plongé dans le film, on n’en décroche jamais et on prendra d’autant plus de plaisir qu’on ne connait pas forcément l’exploit historique réalisé par cette belle équipe. Même si ce n’est pas un home run, c’est un joli coup qui devrait toucher sans mal les spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Croire encore qu’une victoire sportive ne s’achète pas toujours !