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philippe magnan

  • L’art d’aimer

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    L’amour, il n’y a certainement pas de sentiment plus fort que celui-ci et chacun de nous s’est déjà laissé enivrer par cette douce sensation. On sait également que cela mène parfois à de drôles de situations, ce que l’on pensait simple devient soudainement très compliqué. Ce n’est pas notre pote Achille (François Cluzet) qui nous dira le contraire, lui qui vient de faire la connaissance de sa nouvelle et très charmante voisine (Frédérique Bel). Il y a aussi Isabelle (Julie Depardieu) qui n’a pas eu de relations sexuelles depuis 1 an mais qui fait de drôles de rêves. Ce ne sont donc pas les histoires qui manquent et on arrive toujours à la même conclusion : aimer est un véritable art !

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    En matière de vaudeville romantique, il n’y a pas meilleur réalisateur français que notre pote Emmanuel Mouret même s’il faut concéder que son cinéma peut laisser certains spectateurs totalement hermétiques. Plutôt qu’un film, L’art d’aimer prend la forme de différentes histoires présentées de manière disparate en de courtes séquences. Une bonne initiative pour maintenir un rythme même si on peut déplorer l’histoire entourant le personnage d’Ariane Ascaride un peu trop sommaire. Comme à son habitude, Mouret s’entoure d’un magnifique casting où il retrouve Frédérique Bel, Judith Godrèche mais aussi Julie Depardieu, François Cluzet ou Gaspard Ulliel en compagnie desquels on passe un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Garder la lumière allumée pour certaines choses …

  • Libre échange

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    Le soir du 15ème anniversaire de son mariage, Jocelyne (Julie Depardieu) s’est vue mettre à la porte de la maison par son mari. Même si ce dernier la trompe ouvertement, elle est convaincue que leur couple peut retrouver sa passion d’antan mais pour ce soir elle va devoir se trouver un toit pour dormir. C’est ainsi qu’elle rencontre Marthe (Carole Bouquet), une prostituée qui aimerait bien tourner la page et pourquoi pas en empochant un joli pactole. C’est son frère Carl (Serge Gisquière) qui lui a soufflé une idée folle ; piéger Ménar (Philippe Magnan), Directeur du Conseil Européen. Leur plan est simple ; il faut mettre la main sur une femme capable de le charmer et de récupérer les preuves afin de le faire chanter. Cette femme ils l’on trouvé ce sera Jocelyne !

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    Même si j’apprécie énormément notre chère Carole Bouquet, il faut bien se rendre à l’évidence que ce Libre échange a tout le potentiel nécessaire pour concourir au titre de navet de l’année. Déjà le scénario a de quoi nous laisser quelque peu circonspect et malheureusement, les premiers ressentis s’avèrent exacts sur la durée, c’est bel et bien une comédie loupée ! L’interprétation est dans l’ensemble assez pauvre avec une mention toute particulière à Serge Gisquière (à l'image de sa réalisation); à partir de là, on ne peut plus que subir ce navet. Si vous êtes vraiment adepte de l’échange, commencez déjà par choisir un autre film si vous ne voulez pas gâcher votre journée.

     

    Il faut le voir pour : Inviter de jolies femmes dans votre chambre pour … qu’elles passent l’aspirateur !