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elodie navarre

  • L’art d’aimer

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    L’amour, il n’y a certainement pas de sentiment plus fort que celui-ci et chacun de nous s’est déjà laissé enivrer par cette douce sensation. On sait également que cela mène parfois à de drôles de situations, ce que l’on pensait simple devient soudainement très compliqué. Ce n’est pas notre pote Achille (François Cluzet) qui nous dira le contraire, lui qui vient de faire la connaissance de sa nouvelle et très charmante voisine (Frédérique Bel). Il y a aussi Isabelle (Julie Depardieu) qui n’a pas eu de relations sexuelles depuis 1 an mais qui fait de drôles de rêves. Ce ne sont donc pas les histoires qui manquent et on arrive toujours à la même conclusion : aimer est un véritable art !

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    En matière de vaudeville romantique, il n’y a pas meilleur réalisateur français que notre pote Emmanuel Mouret même s’il faut concéder que son cinéma peut laisser certains spectateurs totalement hermétiques. Plutôt qu’un film, L’art d’aimer prend la forme de différentes histoires présentées de manière disparate en de courtes séquences. Une bonne initiative pour maintenir un rythme même si on peut déplorer l’histoire entourant le personnage d’Ariane Ascaride un peu trop sommaire. Comme à son habitude, Mouret s’entoure d’un magnifique casting où il retrouve Frédérique Bel, Judith Godrèche mais aussi Julie Depardieu, François Cluzet ou Gaspard Ulliel en compagnie desquels on passe un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Garder la lumière allumée pour certaines choses …

  • Philibert

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    Il n’y a encore pas si longtemps, Philibert (Jérémie Rénier) était fils d’un cultivateur d’artichauts mais son monde s’écroule lorsqu’il apprend que son père n’était pas vraiment son père. Il est en fait fils de Fulgence Bérendourt de Saint-Avoise qui fut tué par l’infâme Clotindre (Alexandre Astier) et maintenant qu’il connait la vérité, il doit accomplir sa vengeance. Sur sa route, il croise tout d’abord Martin (Manu Payet) qui deviendra son valet mais surtout il va faire la rencontre de sa vie ; la belle Inès (Elodie Navarre). Il en est convaincu elle est la femme pour laquelle il s’est préservé durant toutes ces années et le destin va les réunir à Nevers.

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    Avec Philibert, on ne se prend pas au sérieux et donc il faut savoir apprécier le second degré pour s’offrir quelques tranches de rigolades. A titre de comparaison, on pourrait l’assimiler à un espèce de OSS 117 médiéval (pas étonnant puisque Jean-François Halin signe les scénarios des 2 films) si ce n’est qu’avec son collant moule-b…., notre héros n’a vraiment pas peur du ridicule. Il y a d’excellentes idées (le discours de la libération des galériens, les accolades très masculines …) mais la comédie de Sylvain Fusée offre un rythme inégal pour réellement nous emballer et c’est bien dommage. On passe toute de même du bon temps et Philibert mériterait qu’on le revoie dans de nouvelles aventures.

     

    Il faut le voir pour : Vous préparer une bonne salade de groin et réserver du croupion pour votre gente dame.