Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tim blake nelson

  • Les 4 fantastiques (2015)

    star 02.jpg

    AFF.jpg

    Ses camarades de classe ont beau se moquer de lui, Reed Richards (Owen Judge / Miles Teller) sait qu'un jour on sera capable de téléporter l'homme. D'ailleurs, bien qu'il ne soit encore qu'un enfant, il travaille sur cette invention qui sera à coup sur révolutionnaire et c'est cela qui va lui permettre de se faire un pote d'enfance du nom de Ben Grimm (Evan Hannemann / Jamie Bell). C'était il y a 7 ans maintenant et aujourd'hui le génie créatif de Reed a encore du mal à être reconnu sauf peut-être par le Dr Franklin Storm (Reg E. Cathey). Ce dernier va en effet lui offrir les moyens de ses ambitions et c'est ainsi qu'une machine va parvenir à ouvrir la voie vers une nouvelle dimension qui réserve de fantastiques découvertes pour nos scientifiques !

    01.jpg

    Après une version un peu trop élémentaire proposée par le réalisateur Tim Story, Les 4 fantastiques reviennent sur le grand écran avec ce reboot confié à Josh Trank qui s'était révélé avec Chronicle. Pari osé d'autant plus que le casting s'est lui aussi beaucoup rajeuni au point qu'on a plus l'impression d'avoir une adaptation de l'univers Ultimate du comics que de la version classique. Des choix audacieux qui malheureusement s'évanouissent vite dans ce qu'on qualifiera comme un ratage. Nos personnages ont tous chopés le pouvoir de Sue et sont devenus invisibles rendant ainsi le film fantastiquement ennuyeux et il faut se montrer patient pour avoir un peu d'action. La famille de héros la plus célèbre semble être frappée d'une drôle de malédiction à notre grand regret !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller ce que votre fils fabrique dans la cave !

     

    En savoir plus sur Les 4 Fantastiques (2005) ?

    En savoir plus sur Les 4 Fantastiques et le Surfeur d'argent ?

  • The homesman

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    La solitude, notre pote Mary Bee Cuddy (Hilary Swank) a été obligée de s’y habituer elle qui vit dans une ferme du Nebraska. Difficile pour elle de trouver un mari, il n’y a donc rien qui la retient dans cette ville de Loup aussi semblait-elle être la personne idéale pour ce voyage. Trois femmes ont en effet perdues l’esprit et il a été convenu de les conduire jusqu’en Iowa où on saura prendre soin d’elles. Le hasard a désigné Mary Bee pour les accompagner mais ce voyage s’annonce dangereux et surtout éprouvant aussi cela requiert la présence d’un homme à ses cotés. C’est ainsi qu’un certain George Briggs (Tommy Lee Jones) va se retrouver lui aussi embarqué pour ce voyage.

    01.jpg

    Adaptation du roman Le charlot des damnés de Glendon Swarthout, The homesman est surtout un projet dans lequel s’est entièrement impliqué notre pote Tommy Lee Jones. A la fois producteur, scénariste, réalisateur et acteur ; il nous offre un western âpre où il partage l’affiche avec une Hilary Swank comme souvent impériale. D’ailleurs, il ne faut pas se le cacher ; ce duo constitue la seule véritable attraction d’un film à la mise en scène classique qui n’ose pas grand-chose ce qui finit par rendre le temps long. Un road-movie qu’on découvrira essentiellement pour le talent de ses interprètes mais qui risque d’en décourager beaucoup par sa lenteur.

     

    Il faut le voir pour : Penser à garder du fromage sur vous si vous voulez vous marier.

  • Miracle en Alaska

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    1988. Journaliste local en Alaska, notre pote Adam Carlson (John Krasinski) rêve de devenir un jour un grand présentateur télévisé mais en attendant, il devra se contenter d’une série de reportages sur le quotidien de la ville de Barrow. Après s’être intéressé à la gastronomie mexicaine, il va trouver un sujet autrement plus intéressant : le sort de 2 baleines grises et de leur enfant pris dans la glace et qui semblent condamnés si personne ne leur vient en aide. Cette histoire va connaitre un rebondissement incroyable lorsque le reportage d’Adam est relayé sur une chaine nationale. Commence alors une mobilisation des amoureux des animaux à commencer par Rachel Kramer (Drew Barrymore) qui se bat depuis de nombreuses années déjà avec Greenpeace.

    01.jpg

    Il n’y a rien dans ce film inspiré d’une histoire vraie qui pourra réellement nous surprendre : 3 baleines pris au piège vont être secourus par la formidable mobilisation des hommes. Un scénario à la Sauvez Willy totalement convenu auquel viennent tout de même prendre part Drew Barrymore & Kristen Bell à la tête d’un riche casting. Evidemment il y a beaucoup de bons sentiments dans Miracle en Alaska, c’en est parfois même mielleux mais ce genre de film est clairement destiné aux jeunes spectateurs et à leurs parents forcés (ou non) de les accompagner. A moins de vouloir faire plaisir à vos enfants, on ne peut que difficilement se motiver pour se rendre dans les salles obscures afin de voir un tel film qui utilisent toutes les ficelles du genre.

     

    Il faut le voir pour : Avoir avec vous un carton si vous devez aller en Alaska sinon vous risquez de le payer cher !