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dermot mulroney

  • Dirty papy

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    Alors qu'il s’apprête prochainement à célébrer son mariage avec Meredith (Julianne Hough), Jason (Zac Efron) a eu la douleur de perdre sa grand-mère. Bien qu'il soit surchargé de travail, ce jeune avocat a la responsabilité de conduire son grand-père Dick (Robert De Niro) jusqu'à Boca mais c'est un voyage qui réserve son lot de surprises. Après un parcours de golf expéditif, ils vont en effet prendre la direction de Daytona afin de rejoindre Shadia (Zoey Deutch) et ses potes Lenore & Bradley (Aubrey Plaza & Jeffrey Bowyer-Chapman) qu'ils ont rencontré un peu plus tôt. Depuis la mort de sa femme, Dick n'a en effet qu'une envie et il est certainement inutile d'entrer dans les détails !

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    Un jeune avocat propre sur lui accompagné d'un grand-père qui ne pense qu'à s'éclater ; voilà le pitch peu raffiné de ce Dirty papy. Afin de bien marquer le décalage entre ces deux personnages, le scénario s'invite au Spring break de Daytona avec son lot de filles sexy et ses litres d'alcool. Pour les adeptes d'humour graveleux ils en auront pour leur argent mais la lassitude va elle aussi finir par s'inviter à la fête. On a quand même un peu de mal à comprendre ce que vient faire Robert De Niro (besoin d'argent ? Pari perdu?) dans ce joyeux foutoir où, au contraire, Zac Efron semble être comme un poisson dans l'eau ! Une comédie sur laquelle il vaut mieux faire l'impasse.

     

    Il faut le voir pour : Sortir plus souvent avec votre grand-père !

  • Insidious : Chapitre 3

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    Cela fait 18 mois que notre pote Quinn Brenner (Stefanie Scott) a perdu sa mère ; une absence qui la fait énormément souffrir. Parfois, lorsqu'elle se retrouve dans sa chambre, elle a l'impression de ressentir une présence comme si sa mère tentait d'entrer en communication. Quinn décide alors de rendre visite à Mme Rainier (Lin Shaye), réputée pour être une médium qui aurait le don de parler aux disparus. Malheureusement, l'expérience est un échec car la vieille dame a ressenti une présence maléfique et met en garde la jeune fille. Quelques semaines plus tard, elle est en effet victime d'un accident duquel elle s'en tire avec une jambe dans le plâtre et ses malheurs ne font que commencer !

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    Après avoir torturé la famille Lambert sur 2 volets, voilà que la saga se transforme en une trilogie mais nous offre ici un prequel. On dit au revoir à Rose Byrne & Patrick Wilson mais on retrouvera tout de même les personnages d'Elise Rainier ainsi que ses acolytes Specs & Tucker (oui je sais difficile de cacher notre joie). Précisons aussi que le réalisateur James Wan ne participe pas non plus à l'aventure ce qui offre à Leigh Whannell - qui n'est autre que l'interprète de Tucker - de signer sa première réalisation. Un scénario convenu, quelques jumps scares disséminés Insidious : Chapitre 3 devient vite insignifiant au point qu'on le confondrait aisément avec d'autres films du même genre tout aussi anecdotiques.

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos parents à changer de chambre !

     

    En savoir plus sur Insidious ?

    En savoir plus sur Insidious : Chapitre 2 ?

  • Jobs

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    Original, Steve Jobs (Ashton Kutcher) l’est assurément mais au milieu des années 1970, on ignore encore l’influence que va avoir ce génie qui fera d’Apple une compagnie rayonnante dans le monde entier. Armé de sa grande détermination, il conçoit avec son pote d’enfance Steve Wozniak (Josh Gad) un premier circuit de ce qui sera l’Apple I et qui sera le point de départ d’une véritable aventure, de l’émergence d’un énorme empire. Comme tous les créateurs, Steve a une vision particulière des choses et s’investit sans compter pour son travail mais tout cela a un cout ce qui ne plait pas forcément aux décisionnaires.

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    Si je vous dis Steve Jobs, vous me sortirez forcément votre Ipod ; oui il s’agit bien du génial fondateur d’Apple qui a (peut-être) révolutionné votre quotidien. Bien sur, l’homme a apporté de belles innovations technologiques mais est-ce que cela justifiait qu’on lui consacre ce biopic qui reprend sans enthousiasme les moments les plus marquants de sa vie. Un portrait qui évoque également ses cotés plus controversés mais qui sont malheureusement trop vite balayés. Trop politiquement correct, avec Jobs on a pendant 2H07 une belle promotion pour la célèbre marque à la pomme tout simplement !

     

    Il faut le voir pour : Vous promener pieds-nus si vous en avez envie !

  • Miracle en Alaska

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    1988. Journaliste local en Alaska, notre pote Adam Carlson (John Krasinski) rêve de devenir un jour un grand présentateur télévisé mais en attendant, il devra se contenter d’une série de reportages sur le quotidien de la ville de Barrow. Après s’être intéressé à la gastronomie mexicaine, il va trouver un sujet autrement plus intéressant : le sort de 2 baleines grises et de leur enfant pris dans la glace et qui semblent condamnés si personne ne leur vient en aide. Cette histoire va connaitre un rebondissement incroyable lorsque le reportage d’Adam est relayé sur une chaine nationale. Commence alors une mobilisation des amoureux des animaux à commencer par Rachel Kramer (Drew Barrymore) qui se bat depuis de nombreuses années déjà avec Greenpeace.

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    Il n’y a rien dans ce film inspiré d’une histoire vraie qui pourra réellement nous surprendre : 3 baleines pris au piège vont être secourus par la formidable mobilisation des hommes. Un scénario à la Sauvez Willy totalement convenu auquel viennent tout de même prendre part Drew Barrymore & Kristen Bell à la tête d’un riche casting. Evidemment il y a beaucoup de bons sentiments dans Miracle en Alaska, c’en est parfois même mielleux mais ce genre de film est clairement destiné aux jeunes spectateurs et à leurs parents forcés (ou non) de les accompagner. A moins de vouloir faire plaisir à vos enfants, on ne peut que difficilement se motiver pour se rendre dans les salles obscures afin de voir un tel film qui utilisent toutes les ficelles du genre.

     

    Il faut le voir pour : Avoir avec vous un carton si vous devez aller en Alaska sinon vous risquez de le payer cher !

  • Le territoire des loups

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    Notre pote John Ottway (Liam Neeson) se sent seul depuis qu’il a perdu sa femme et il n’y a pas une seule journée où il ne pense pas à elle. Dès que ses yeux se ferment, son visage revient à sa mémoire mais cette image est brusquement interrompue car l’avion dans lequel il a pris place est en train de s’écraser. L’appareil transportait les employés d’une compagnie pétrolière et seuls 7 survivants se relèvent des décombres, 7 hommes au cœur d’un environnement hostile. Le froid est leur première préoccupation mais une autre menace apparait ; des loups rodent dans le secteur et ils n’épargneront personne sur leur chemin le vieux Hernandez (Ben Bray) n’est d’ailleurs plus de ce monde pour en témoigner.

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    Parce qu’il ne faut pas oublier que l’homme reste un redoutable animal, Liam Neeson et ses potes d’enfance décident de se la jouer Man Vs Wild et affrontent ainsi le grand froid mais surtout des loups affamés et qui sont loin d’être végétariens ! Si au niveau de l’histoire ça ne va guère plus loin, ce n’est pas pour autant qu’on s’ennuie ; Le territoire des loups propose suffisamment d’action pour nous tenir en haleine. Totalement absorbé dans ces immenses paysages blancs, il y a de quoi nous faire frissonner. On est par contre nettement moins sensible par les démons intérieurs qui rongent Ottway, ça passe vraiment au second plan par rapport au reste.

     

    Il faut le voir pour : Prendre soin de votre portefeuille.

  • Gracie

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    Son frère Johnny Bowen (Jesse Lee Soffer) était un virtuose du ballon rond, un des plus grands espoirs du football. La passion de ce sport coule dans les veines de la famille Bowen puisque son père était lui aussi un talentueux joueur et même notre pote Gracie (Carly Schroeder) adore le contact du cuir. Lorsque Johnny meurt dans un accident de la route, c’est un véritable drame familial mais pour lui rendre un dernier hommage, Gracie se lance un pari fou : intégrer l’équipe de foot. Parce qu’elle est une fille, on pense d’abord qu’il s’agit d’une plaisanterie mais au fur et à mesure de son entrainement et de sa détermination ; elle réussira à intégrer l’équipe de Columbia.

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    Une fille qui joue au football, c’est aussi probable que le PSG décroche la ligue des champions. Oh oui, j’en vois déjà qui se marre derrière leur écran et pourtant quand on passe cet à-priori teinté d’un machisme évident ; on peut alors laisser sa chance à Gracie. Pas de surprises, le scénario est on ne peut plus classique puisqu’on retrouve une héroïne qui va devoir batailler pour imposer son talent et qui bien sur y parviendra au prix de nombreux efforts. Pas évident quand personne ne croit en elle ni même son père mais avec de la volonté tout est possible ! Dans le même genre on préférera quand même Joue la comme Beckham beaucoup plus intéressant et moins convenu.