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juliet stevenson

  • Diana

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    1995. Diana Spencer (Naomi Watts) vit désormais séparé du Prince Charles et les tabloïds ne manquent pas une occasion d’évoquer un divorce qui ferait mauvais effet à la cour d’Angleterre. En se rendant à l’hôpital elle rencontre Hasnat Khan (Naveen Andrews), un brillant chirurgien dont elle va tomber amoureuse mais leur relation est-elle seulement possible ? Pourchassée continuellement par les paparazzis, tout ce qui concerne la vie privée de Diana est immédiatement déballé au grand public et Hasnat ne peut concevoir une vie aussi médiatisée. La Princesse de Galles rêve d’une autre vie à l’étranger et fera son possible pour le réaliser mais le 31 Aout 1997, le monde pleurera sa disparition tragique.

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    Jouissant d’une incroyable popularité, il était inévitable de voir un jour la vie de la Princesse Diana déballée sur le grand écran. Le film d’Oliver Hirschbiegel n’est pas ce qu’on pourrait considérer comme un véritable biopic puisqu’il s’intéresse essentiellement à la vie amoureuse de la femme et plus particulièrement à sa rencontre avec Hasnat Khan. Un aspect de la vie de Diana qu’on ne cherchait pas forcément à découvrir là où on attendait plutôt l’incroyable destin qui l’a conduit à devenir la reine des cœurs des anglais. On a donc rien de plus qu’une vulgaire tragédie romantique qui se repose sur l’aura de la Princesse de Galles.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les rues, il y a peut-être des princesses cachées sous une perruque !

  • Eyes of war

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    Nous sommes en 1988, Mark & David (Colin Farrell &Jamie Sives) sont deux potes d’enfance qui travaillent ensemble en tant que photographes de guerre. Cela fait déjà un mois qu’ils couvrent le conflit entre le Kurdistan et l’Irak et pour David, l’heure du retour à la maison a sonné. En effet, il n’en peut plus de rester éloigné de sa femme Diane (Kelly Reilly) d’autant plus que celle-ci est enceinte et devrait très bientôt accoucher. Les évènements font que les deux photographes se retrouvent séparés et après avoir échappé de peu à la mort, Mark retourne lui aussi en Angleterre. A son retour il est étonné de ne pas voir David et commence à se poser des questions.

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    Beaucoup de films ont souligné l’impact psychologique que pouvait revêtir une guerre sur les soldats mais on se rend moins compte des dommages collatéraux que cela peut provoquer sur des acteurs plus secondaires. Eyes of war s’intéresse ainsi aux reporters de guerre, spectateurs privilégiés mais néanmoins témoins directs des atrocités qui définissent ces conflits. Thème intéressant mais l’intrigue du film ne tient pas très longtemps, on devine rapidement de quoi sera fait le film et ce qui hante le personnage de Mark. Reconnaissons tout de même au film le mérite de nous faire découvrir le point de vue de ces photographes de l’extrême.

     

    Il faut le voir pour : Se contenter de prendre des photos de la nature.

  • Le secret de Moonacre

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    Alors qu’elle vient d’assister aux funérailles de son père, la pauvre Maria Merryweather (Dakota Blue Richards) doit quitter sa maison pour s’installer dans la demeure de son oncle Sir Benjamin (Ioan Gruffudd). Une pénible épreuve qu’elle traverse avec le soutien de sa nounou Miss Heliotrope (Juliet Stevenson) qui est venue l’accompagner dans cette nouvelle vie. L’ambiance est assez froide entre l’oncle et la nièce aussi cette dernière se plonge dans l’ouvrage que lui a légué son père, le seul souvenir qu’il lui a laissé. Elle y découvre la légende d’une princesse, une histoire beaucoup plus proche de la réalité qu’elle ne le pense !

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    Malgré les apparitions furtives d’une licorne, d’un lion noir ou la présence d’une princesse possédant un collier aux pouvoirs magiques ; Le secret de Moonacre ne fait pas longtemps illusion. Il faut dire qu’on s’attendait à plonger dans un univers façon Le monde de Narnia et qu’on se retrouve plutôt devant un mauvais téléfilm de Walt Disney. Les enfants pourront au moins se consoler avec les personnages de Miss Heliotrope & Marmaduke Scarlet qui viennent apporter un peu d’humour potache, maigre lot de consolation. Le roman d’Elizabeth Goudge aurait du mieux fait de ne rester qu’une œuvre littéraire car au cinéma il ne fait pas le poids face aux films du même genre.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas inviter de femmes si vous voulez profiter du silence.