Frankenweenie
Notre pote Victor Frankenstein est un enfant assez solitaire ; la seule compagnie qu’il accepte c’est celle de son chien Sparky. Inséparables jusqu’au jour où un grand malheur frappe le jeune maitre ; son chien se lance à la poursuite d’une balle de baseball et va mourir heurté par une voiture. Pour Victor, c’est une disparition déchirante dont il a du mal à se remettre et il va alors envisager une idée insensée : le ressusciter ! New Holland est une ville où la foudre frappe en abondance et c’est en mettant en application quelques cours qu’il souhaite utiliser l’incroyable énergie déployée pour redonner vie à Sparky et le plus beau dans tout ça c’est que ça marche. Il est vivant, il est vivant !!
Retour à l’animation pour notre pote Tim Burton 8 ans après Les noces funèbres et il s’intéresse cette fois à la jeunesse d’un certain Victor Frankenstein. Dans l’esprit, ça rappelle un peu le récent L’étrange pouvoir de Norman sur la forme aussi puisqu’on est devant du stop-motion mais ce Frankenweenie tire davantage son inspiration des films des années 1930 d’où le choix audacieux du noir et blanc. On ne s’y trompe pas lorsqu’on voit débarquer cette belle galerie de monstres qui nous rappellent les plus grandes œuvres de l’époque. On retrouve enfin le génie du réalisateur américain qui nous embarque pour une excellente récréation et le coup de foudre n’est pas loin.
Il faut le voir pour : Être plus attentif aux cours de science !