Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gore verbinski

  • Lone Ranger - Naissance d’un héros

    star 03.jpg

    aff.jpg

    1869. L’avenir s’annonce radieux à Colby au Texas ; la révolution des chemins de fer est en marche et on s’apprête à faire une belle démonstration de la force de la justice en faisant pendre le criminel Butch Cavendish (Wiliam Fichtner). Le seul problème c’est que la locomotive qui l’amenait à Colby a été attaqué et qu’il a réussit à s’enfuir mais les Rangers se lancent aussitôt à sa poursuite. Cela se termine tragiquement puisqu’ils tombent dans un piège duquel seul réchappera John Reid (Armie Hammer) qui aura vu Butch dévorer le cœur de son frère Dan (James Badge Dale). Il sera secouru par Tonto (Johnny Depp), un indien avec lequel il va s’allier pour réclamer vengeance et rétablir la justice !

    01.jpg

    Jack Sparrow est de retour … ah non pardon ici il s’appelle Tonto et les pirates ont laissé place aux cow-boys. La comparaison avec la saga Pirate des Caraïbes est incontournable puisqu’on retrouve Gore Verbinski, réalisateur des 3 premiers volets et évidemment la tête d’affiche Johnny Depp. On a donc tout simplement transposé une recette qui a fait ses preuves à l’univers du Western à travers un scénario reprenant sans originalité l’avidité des visages pales face aux indiens. La mission du Lone Ranger - Naissance d’un héros est de nous amuser et ça fonctionne plutôt bien même si on trouve parfois le temps long (comme ces passages bien inutiles entre le garçon et le vieux Tonto) mais les pitreries de Johnny deviennent de plus en plus lassantes…

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais enlever votre masque !

  • Rango

    aff.jpg

    Il vient de débarquer à Poussière et plus rien ne sera comme avant ! Il se fait appeler Rango et a la gâchette facile et d’ailleurs avec une seule balle, il est parvenu à terrasser le faucon qui terrorisait toute la ville. Pourtant, il y a encore quelques heures, Rango n’était qu’un simple caméléon perdu en plein désert Mojave après un accident de la route qui l’a séparé de ses propriétaires. Pour se fondre dans le décor, il s’est donc fait passer pour un redoutable cow-boy et cette réputation lui vaut d’être nommé shérif. Sa première tache sera de résoudre l’énigme concernant l’eau qui n’arrive plus jusqu’à Poussière et qui pousse chaque habitant à quitter la ville.

    01.jpg

    Après nous avoir fait voyager en compagnie de Jack Sparrow et de ses hommes du Black Pearl, Gore Verbinski nous offre une belle récréation avec Rango, un caméléon qui va vous en faire voir de toutes les couleurs. Premier point frappant, les graphismes sont d’une beauté et d’une finesse exceptionnelle à l’image du clone de Clint Eastwood. A cela s’ajoute un panel de personnages d’une grande diversité avec évidemment comme point d’attache un héros peu conventionnel. Belle aventure qui promet aux spectateurs de toutes les générations de passer un très bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à apprécier l’eau courante !