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Nicolas Duvauchelle

  • Maintenant ou jamais

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    Ils ont réalisé leur rêve en faisant construire leur maison, bientôt Juliette & Charles Lesage (Leïla Bekhti & Arthur Dupont) ainsi que leurs deux enfants vont pouvoir quitter Paris. Malheureusement pour eux, Charles vient d’apprendre une terrible nouvelle puisqu’il est renvoyé durant sa période d’essai ce qui met cette famille dans une situation financière délicate. Ce n’est pas avec ses quelques cours de piano que Juliette parviendra à payer toutes les factures et comme si cela ne suffisait pas, elle se fait voler son sac à main en pleine rue. La Police parviendra à arrêter le suspect mais plutôt que de le faire condamner, la jeune femme va lui demander son aide afin d’organiser le braquage d’une banque.

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    Une belle maison avec des enfants qui gambadent dans le jardin sans oublier le petit chien, voilà un idéal dont beaucoup rêvent. Retour brusque à la réalité avec Maintenant ou jamais où l’on assiste au braquage improbable organisé conjointement par une mère de famille désespérée et un délinquant débarqué de nulle part. S’il est difficile de reprocher quoi que ce soit au niveau de l’interprétation de Leïla Bekhti ou de Nicolas Duvauchelle, on ne peut pas en dire autant d’un scénario utilisant des raccourcis parfois invraisemblables. La réalisation de Serge Frydman manque également d’intensité pour nous tenir en haleine sur la longueur ; à découvrir surtout pour ses comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Toujours attendre d’avoir un CDI avant de faire une demande de crédit !

  • Maintenant ou jamais

    Dans Maintenant ou jamais, elle pensait réaliser son rêve en compagnie d'Arthur Dupont mais notre pote Leïla Bekhti va vite déchanter. Acculée par les dettes, elle en vient même à planifier un braquage et pour cela elle va avoir besoin de l'aide de Nicolas Duvauchelle.

    Date de sortie : 03 Septembre 2014.


     

     

     

  • Pour une femme

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    C’est dans un camp de concentration en France durant la Seconde Guerre mondiale que Lena & Michel (Mélanie Thierry & Benoit Magimel) se sont rencontrés. Comme ils le disent si bien, ils se sont sauvés mutuellement de cet enfer et désormais ils coulent des jours heureux à Lyon avec leur petite fille Tania (Ondine Barry / Julie Ferrier). Un jour, un homme se présente chez eux ; il s’agit de Jean (Nicolas Duvauchelle) qui n’est autre que le frère de Michel que tout le monde croyait mort. C’est un vrai miracle de le voir revenir ainsi mais l’arrivée de Jean cache en fait une autre vérité ce que comprendra rapidement Léna qui se rapproche chaque jour en peu plus de lui jusqu’à entretenir une liaison.

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    Sylvie Testud a beau porter un prénom différent dans ce film, il ne fait pas mystère qu’elle incarne ni plus ni moins qu’une version romancée de Diane Kurys. Le spectateur est ainsi invité à découvrir le passé mouvementé des parents de la réalisatrice française, un passé riche d’abord pour son arrière-plan historique et puis par cette passion amoureuse entourant le triangle Mélanie Thierry / Benoit Magimel / Nicolas Duvauchelle. S’il n’ira pas jusqu’à déchainer les passions, le trio est solide et trouve en Clotilde Hesme & Clément Sibony des partenaires de premier choix. Une belle distribution et une histoire plutôt prenante (du moins tout ce qui se rapporte au passé) font donc de Pour une femme un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de cuisiner le poisson avec la fenêtre ouverte !

  • Mariage à Mendoza

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    Marcus (Philippe Rebbot) et son petit frère Antoine (Nicolas Duvauchelle) viennent d’atterrir en Argentine car dans 4 jours se profile le mariage de leur cousin Xavier (Benjamin Biolay). Afin de profiter comme il se doit de ce superbe voyage, ils ont décidé de louer une voiture et de faire le trajet de Buenos Aires jusqu’à Mendoza en empruntant la route des vins et d’autres sites qu’ils tiennent à visiter. Un programme plutôt réjouissant cependant Antoine a le moral dans les chaussettes car sa vie de famille et surtout maritale se délite. Heureusement que Marcus est là pour tenter de lui changer les idées et ils vont même se trouver 2 autres potes d’enfance pour les accompagner dans leur voyage.

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    Road-trip à travers les beaux paysages argentins en compagnie de Nicolas Duvauchelle et de Philippe Rebbot, la révélation de ce film. Héros aux deux visages de ce Mariage à Mendoza, sa nonchalance combinée à son incroyable franglaispagnol rend rapidement le personnage attachant ce qui donne un voyage assez amusant. Pour sa première réalisation Edouard Deluc s’en tire donc plutôt bien et reprend en fait une histoire qu’il avait déjà proposée dans son court-métrage ¿ Dónde está Kim Basinger ? On pourra juste regretter que ça a un peu de mal à se renouveler sur la durée malgré l’arrivée de nouveaux personnages qui n’apportent pas le même dynamisme que les héros principaux.

     

    Il faut le voir pour :  Penser à ramener une météorite quand vous irez en Argentine !

  • Comme des frères

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    "Et si vous le faisiez quand même ce voyage ?", telles sont les dernières volontés de leur pote Charlie (Mélanie Thierry) et pour lui rendre hommage ils sont décidés à le faire immédiatement. Boris, Elie & Maxime (François-Xavier Demaison, Nicolas Duvauchelle & Pierre Niney) prennent ainsi la route pour la Corse avec l’espoir d’évacuer un peu de leur tristesse. Au fil de la route, des souvenirs remontent à la surface ; Charlie était pour eux plus qu’une amie et c’est d’ailleurs par son intermédiaire qu’ils se sont connus. Ils n’avaient rien en commun et l’entente n’était pas évidente au début mais au fil des années ils ont appris à se connaitre et sans vraiment s’en rendre compte ils sont devenus comme des frères !

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    Un road-movie croisé à un bon film de potes, voilà le cocktail préparé par Hugo Gélin pour sa toute première réalisation et dans l’ensemble c’est plutôt réussi ! On apprécie d’abord la bande qu’il a formé avec tout d’abord la rayonnante Mélanie Thierry mais les vraies vedettes sont évidemment ces frères Demaison/ Niney / Duvauchelle. Trois personnalités totalement différentes et, c’est là le principal reproche, un peu trop formatées mais qui parviennent à dégager une vraie complicité. Comme des frères fonctionne également grâce à quelques dialogues qui font mouche ; rires et émotion sont donc au rendez-vous et le grand public devrait sans difficultés y trouver son compte.

     

    Il faut le voir pour : Oublier le costume de Charlot pour votre prochaine soirée costumée.

  • Parlez-moi de vous

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    C’est un rendez-vous immanquable pour de nombreux auditeurs, à 21 heures la radio s’allume pour assister à l’émission de Mélina (Karin Viard). C’est une libre-antenne où elle aborde bon nombre de sujets mais surtout où elle prodigue de précieux conseils, des conseils qu’elle devrait peut-être suivre. En effet, dans l’intimité elle s’appelle Claire Martin et souffre d’une profonde blessure : celle de n’avoir jamais connu sa mère. Aujourd’hui, après de nombreuses recherches, elle a enfin retrouvé sa trace en banlieue parisienne. Elle s’appelle Jaëlle (Nadia Barentin) et est à la tête d’une nouvelle famille ; de peur de révéler sa véritable identité, Claire va jouer les bénévoles pour approcher celle qui hante ses pensées.

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    Ça n’est peut-être qu’une impression personnelle mais au cours de ses dernières années, Karin Viard semble de plus en plus s’imposer comme une figure incontournable du cinéma français. Déjà savoureuse dans Ma part du gâteau, on la retrouve une nouvelle fois dans un rôle sur mesure où elle se glisse dans la peau d’une femme à la recherche d’une mère qu’elle n’a jamais connu. Animatrice populaire la nuit, elle se transforme ensuite en une femme solitaire à la vie complètement aseptisée et à l’affut du moindre microbe ce qui donne quelques jolis moments de rigolade. Si ce personnage sait nous séduire, on attendait davantage des retrouvailles avec cette mère qui auraient du être le point d’orgue du film. Parlez-moi de vous reste néanmoins un bon moment de cinéma.



    Il faut le voir pour : Toujours nettoyer avant de vous asseoir !

  • Polisse

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    Chaque jour en France, plus de 260 enfants sont victimes de violences et nos potes de la Brigade de la Protection des Mineurs (BPM) de Paris en ont vu de toutes les couleurs. Chaque nouvelle journée apporte son lot de surprises, d’incompréhension, de honte mais aussi de révolter et c’est ce quotidien peu ordinaire que Melissa (Maïwenn) a décidé d’étudier. Grace à ses relations, cette photographe a en effet l’autorisation de suivre ces policiers d’un genre bien particulier dans leur travail. Récupérer des enfants dans un camp, trouver un toit pour héberger une mère et son fils ou rechercher un bébé kidnappé sont autant d’épreuves qu’elle va découvrir au cours de son reportage.

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    Les années passent et plus que jamais, la réalisatrice Maïwenn s’impose comme une figure à part entière du cinéma français et Polisse est là pour nous rappeler combien il faut compter sur elle ! Tranche de vie dans la BPM de Paris où les affaires sordides succèdent à des faits-divers plus légers, il y a des scènes de Polisse qui sont parfois édifiantes. Impossible de se retenir de rire devant les répliques de ces policiers confrontés à des situations incroyables, une façon d’extérioriser leurs véritables sentiments. Soutenu par un casting impeccable qui a su recréer une authentique ambiance de groupe, l’objectif était de faire passer ce film pour un documentaire et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est réussi !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas faire n’importe quoi lorsqu’on vous pique votre portable !

  • La fille du puisatier

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    Patricia (Astrid Berges-Frisbey) est une charmante jeune femme de 18 ans mais c’est également une fille remarquable. Lorsqu’elle n’apporte pas le déjeuner à son père le Puisatier (Daniel Auteuil), elle s’occupe de la maison et de ses 5 sœurs. En ce jour du 21 Avril où on célèbre sa fête, elle a fait la rencontre d’un homme dont elle apprendra qu’il s’agit de Jacques Mazel (Nicolas Duvauchelle), fils du bazar et aviateur. Entre eux deux c’est le coup de foudre mais à peine se sont-ils connus qu’ils doivent déjà se séparer ; Jacques a été appelé pour partir en Afrique. Il n’a pas le temps de prévenir Patricia mais charge sa mère (Sabine Azéma) de l’avertir.

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    Evoquer Marcel Pagnol dans le cinéma français c’est forcément penser à des films comme La gloire de mon père et Le château de ma mère qui ont jalonné notre jeunesse. Daniel Auteuil fait donc parler la fibre nostalgique pour séduire le spectateur et effectue ses premiers pas en tant que réalisateur. Après la version de Pagnol datant des années 1940 avec Raimu & Fernandel, il dépoussière son œuvre avec passion, un film dans son ensemble plutôt agréable à voir. Auteuil & Merad sont excellents dans leurs rôles, on est moins convaincu par les premières scènes hésitantes d'Astrid Berges-Frisbey et d’un Nicolas Duvauchelle peu crédible. Pour qui a envie d’entendre à nouveau le chant des cigales, voici le film idéal à voir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser trainer vos filles avec des hommes en motocyclettes, ennuis garantis !

  • Happy Few

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    Rachel et Vincent (Marina Foïs & Nicolas Duvauchelle) se sont rencontrés dans le cadre de leur travail et comme le courant passait bien entre eux ; ils sont rapidement devenus potes d’enfance. Ils décident alors de faire une rencontre avec leurs conjoints respectifs Teri (Elodie Bouchez), la femme de Vincent et Franck (Roschdy Zem), le mari de Rachel Là encore, les affinités sont immédiates mais l’histoire de ces couples prend une tout autre tournure lorsque Franck embrasse Teri. N’ayant pas l’intention de garder un tel secret, il se confie immédiatement et la réaction est pour le moins étonnante. Rachel & Vincent forment à leur tour un couple et ces 4 adultes décident sans complexes d’échanger leurs partenaires lorsque l’envie se fait sentir.

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    Du désir à l’amour il n’y a parfois qu’un pas ! Le film d’Antony Cordier dévoile sans retenue aucune la vie sexuelle débridée de 2 couples à la recherche d’une nouvelle passion et qui va se muer en une véritable relation. Coté casting c’est un sans faute ; Marina Foïs, Elodie Bouchez, Roschdy Zem & Nicolas Duvauchelle se livrent corps et âme dans leur rôle sans que cela ne tombe une seule seconde dans la vulgarité. Le petit détail qui intervient à la fin de l’histoire ravive un peu l’intérêt que l’on porte à Happy Few malgré tout ça reste un film où il ne se passe strictement rien. C’est un peu comme le désir sexuel, une fois qu’on a eu ce qu’on voulait on s’en lasse très vite.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à donner une gifle.

  • La blonde aux seins nus

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    Alors que leur père se meurt à l'hôpital, Julien (Nicolas Duvauchelle) et son petit frère Louis (Steve Le Roi) se débrouillent comme ils peuvent pour survivre. Le seul lot de consolation c'est cette péniche sur laquelle ils vivent et dont ils aimeraient bien hériter si leur père daigne la leur léguer. Pour pallier à leur problème d'argent, Julien est sur un coup énorme ; il doit pour cela voler une peinture de Manet pour ensuite la revendre. C'est Louis qui va être chargé de récupérer l'œuvre d'art mais leur plan connait un accroc imprévu ; Rosalie (Vahina Giocante) surveillante au Musée d'Orsay surprend le jeune homme et le poursuit jusqu'à la péniche.

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    Avec un titre aussi évocateur, on se dit que ce film va vite conquérir le public masculin mais La blonde aux seins nus est surtout le nom donné à l'œuvre d'Edouard Manet (c'était la minute culturelle du blog !). On connaissait le principe du road trip et voilà que le réalisateur Manuel Pradal nous embarque sur une péniche remontant la Seine en compagnie de Duvauchelle, Giocante et le pétillant Steve Le Roi. L'intrigue posée au départ devient rapidement secondaire et laisse place à un triangle amoureux dans lequel la nonchalance de Giocante amuse mais sans nous séduire. Assez morne dans l'ensemble, le film ne laissera pas un souvenir impérissable.

     

    Il faut le voir pour : Aller vivre sur une péniche !