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François Berléand

  • Entre amis

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    Après 1 an sans se voir, l’heure est aux retrouvailles ; Richard (Daniel Auteuil) retrouve ses potes d’enfance Astrid, Carole, Philippe & Gilles (Zabou Breitman, Isabelle Gélinas, François Berléand & Gérard Jugnot). Ils vont passer quelques jours de vacances ensemble et pour l’occasion Richard va leur présenter sa nouvelle compagne Daphné (Mélanie Doutey). Tout ce beau monde va monter à bord d"un magnifique voilier qui va naviguer 20 heures durant pour les emmener jusqu’en Corse. Au départ, cette croisière semblait s’amuser mais très vite les choses vont se gâter. Il y a d’abord une Astrid qui se montre particulièrement agressive envers Daphnée et pour ne rien arranger, voilà qu’une violente tempête s’annonce.

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    Après le mauvais On a marché sur Bangkok, notre pote Olivier Baroux ne pouvait que rebondir même si ce n’est pas pour aller bien haut. Il nous convie ainsi à une réunion Entre amis qui ne manque pas d’animation entre la gaffeuse Mélanie Doutey, une Isabelle Gélinas dévoreuse de Pépito et un Gérard Jugnot dont le visage semble avoir changé en cours de route. Qui dit vacances entre potes dit bonne bouffe (avec de la mayonnaise) mais aussi et surtout les inévitables engueulades qui vont progressivement transformer la croisière de rêve en galère. On ne peut pas dire qu’on s’étouffe de rires, on appréciera surtout le film pour la sympathie qu'on a pour les comédiens qui composent cette joyeuse bande.

     

    Il faut le voir pour : Annuler vos prochaines vacances avec vos potes d’enfance !

  • Les choristes

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    C’est le 15 Janvier 1919 que notre pote Clément Mathieu (Gérard Jugnot) a franchi pour la première fois les grilles du Fond de l’étang. C’est dans cette école qu’il va prendre ses nouvelles fonctions de surveillant mais ça ne sera pas de tout repos car il va avoir affaire à des élèves très agités. Si le Directeur Rachin (François Berléand) prône les vertus de l’action / réaction en envoyant les éléments perturbateurs au cachot, Clément va lui s’essayer à une méthode plus douce. Il parvient ainsi à fédérer ses élèves autour de sa passion : la musique ! Qui aurait cru qu’une chorale aurait pu se former avec ses jeunes garçons et comment deviner que le jeune Pierre Morhange (Jean-Baptiste Maunier) avait une voix aussi mélodieuse.

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    "Vois sur ton chemin, gamin oublié égaré donne leur la main pour les mener vers d’autres lendemains" Il fallait certainement être sourd en 2004, époque de la sortie en salles pour ne pas avoir entendu cette chanson qui venait couronner la première réalisation de Christophe Barratier et remake du film La cage aux rossignols. Les choristes nous ramène à la vie de l’après-guerre à travers le quotidien de cette école qui a su réveiller de jolis souvenirs chez des millions de spectateurs. Une nostalgie associée à une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres ce qui nous donne un beau moment d’émotion qu’on le découvre pour la première fois ou qu’on le revoit.

  • 12 ans d’âge

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    Après 30 ans de bons et loyaux services dans cette banque, l’heure de la préretraite a sonné pour Charles (François Berléand). Après des adieux mémorables à ses anciens collègues, il peut enfin profiter du temps qu’il lui reste pour … ne rien faire ! Trainer avec son pote d’enfance Pierrot (Patrick Chesnais), déguster un verre de vin ou encore se détendre à la pêche ; voilà le programme de ses journées. Et puis un jour jaillit une idée folle dans son esprit ; Charles veut faire un braquage en compagnie de Pierrot et pas n’importe où puisqu’il veut rendre visite à son ancienne banque mais on ne s’improvise pas bandits du jour au lendemain.

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    Pour nos potes François Berléand & Patrick Chesnais, la retraite a tout d’une seconde jeunesse et quand il s’agit de faire des blagues potaches, ils ne sont jamais les derniers. Dans un premier temps, il est donc plutôt amusant de voir ces 2 inséparables potes d’enfance essayer de se faire un plan à trois ou encore provoquer une baston mais tout ça manque de rythme. Le scénario est poussif à l’image de cette idée de braquage qui tombe un peu du ciel et qui n’est qu’un prétexte pour encanailler nos 2 retraités. On a même l’impression de revoir Paulette quand ces messieurs s’essaient au deal ; non vraiment 12 ans d’âge est bien parti pour mal vieillir !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre une bonne technique de pêche pour faire venir le poisson.

  • Dead man talking

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    Il est 20H et notre pote William (Patrick Ridremont) vit ses derniers instants. Reconnu coupable d’homicide, sa sentence est la mort ; on s’apprête ainsi à procéder à une injection létale cependant ce programme va être perturbé par un évènement inattendu. Comme tout condamné, William a droit à ses dernières paroles et il se trouve qu’il a pas mal de choses à raconter ce qui a tendance à énerver Karl Raven (François Berléand), le nouveau directeur de la prison. Selon la loi, il ne peut être exécuté tant qu’il a quelque chose à dire et passé minuit, l’exécution devra être reportée au lendemain. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, le condamné va ainsi devenir la vedette d’un show télévisé qui va tenir en haleine des milliers de spectateurs.

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    Pour son premier film comme réalisateur, notre pote Patrick Ridremont n’a pas ménagé ses efforts puisqu’outre le fait d’écrire le scénario, il incarne aussi l’un des rôles principaux. Il y a une excellente idée de départ avec Dead man talking, un thriller sombre éclairé de temps à autres par un humour belge de bon aloi. Assez prenant dans sa première partie, le film a beaucoup plus de mal à convaincre par la suite la faute principalement à un personnage qui ne provoque pas la moindre empathie. Difficile par conséquent de s’intéresser à son parcours jusqu’au couloir de la mort si bien que ce qui nourrit le film devient aussi ennuyeux qu’interminable.

     

    Il faut le voir pour : Préparer correctement vos dernières paroles.

  • Max

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    La petite Maxine (Shana Castera) n’a jamais eu le bonheur de connaitre sa mère et malgré tout l’amour que lui porte son père Tony (Joey Starr), ce manque se faire ressentir chaque jour un peu plus. Après avoir une fois de plus s’être enfuie de l’école, elle croise la route de Rose (Mathilde Seigner), une femme qui s’occupe des bons hommes. Le lendemain, la petite fille vient la retrouver avec une demande un peu spéciale : elle souhaiterait que Rose vienne s’occuper de son père jusqu’à Noël. D’abord surpris, Tony finit par conclure un arrangement afin de plaisir avec Max et qui sait si le miracle de Noël ne pourrait pas agir et former un nouveau couple.

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    Si on m’avait dit un jour que je verrais Joey Starr en héros de comédie romantique ! D’ailleurs en parlant du casting, c’est certainement le seul véritable attrait de Max qui réunit également Emmanuelle Seigner & Jean-Pierre Marielle. La petite Shana Castera est elle aussi attachante mais joue souvent avec excès. Ce qui est nettement moins mémorable, c’est ce scénario auquel a participé l’homme en noir Thierry Ardisson (officiant également en tant que coproducteur) qui ne fait preuve d’aucune originalité. On a bien sur le couple qui va se former, la petite fille qui s’attache à sa nouvelle pote avec qui elle fait des photos d’identité et tout ça dans une belle ambiance de fêtes de noël déguisé en indien.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi vous avez du poulet à chaque repas.

  • La stratégie de la poussette

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    Dès que leurs yeux se sont croisés, ça a été le coup de foudre entre Marie & Thomas (Charlotte Le Bon & Raphael Personnaz). Ils étaient heureux jusqu’au jour où est évoqué la question d’un enfant et il s’avère qu’ils ne partagent pas les mêmes perspectives d’avenir. Cela fait maintenant 1 an qu’ils se sont séparés et Thomas a bien du mal à se remettre de cette rupture et puis comme un miracle, un bébé lui tombe dans les bras. En fait, il s’agit de Léo (Loann & Timéo Foissac), le fils d’une de ses voisines qui a eu un accident et il doit désormais s’occuper de cet enfant en attendant le rétablissement de sa mère. Un sacré défi mais il va savoir tirer profit de cette situation en allant prendre des nouvelles de Marie et pourquoi pas essayer de la reconquérir.

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    Il n’y a rien de plus mignon qu’un bébé (enfin tant que ça ne braille pas, qu’il ne faut pas changer les couches ou donner le biberon à 03H29 du matin …) et il semble aussi que ça aide beaucoup pour la drague !  La stratégie de la poussette dispose de quelques bonnes idées comme cette montée vers l’appartement de Thomas où chaque étage représente les différentes étapes traversées par le couple. D’autres sont à relever mais ne sont pas forcément bien valorisées et il y a bien des chances que vous passiez à coté. De belles intentions donc de la part de Clément Michel pour son premier long-métrage qui accouche hélas d’une comédie qui manque d’entrain pour parvenir à nous séduire véritablement.

     

    Il faut le voir pour : Vous proposer comme baby-sitter !

  • Le Lorax

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    Rares sont ceux qui ont eu la chance de voir à quoi ressemblait un arbre et pour notre pote Audrey, c’est un rêve qu’elle aimerait un jour réaliser. Ce souhait elle va le confier à Ted, un jeune garçon fou amoureux d’elle et qui va ainsi tenter de trouver un arbre pour lui faire plaisir. Une mission loin d’être gagnée et c’est grâce aux conseils de sa mamie qu’il va pouvoir débuter sa recherche ; il doit trouver un certain Gash-pilleur qui vivrait en dehors de la ville. Prudence toutefois car il y a l’affreux O’hare qui voit d’un mauvais œil cette envie de faire revenir les arbres à Thneedville, cela mettrait en péril son commerce d’air pur !

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    En attendant le retour de Gru et de ses petites filles, les studios d’Illumination entertainment tentent de se trouver une petite place entre les Pixar, Blue Sky et autres Dreamworks. Projeté en plein cœur de Thneedville, cité futuriste tout en béton, Le Lorax donne l’occasion de sensibiliser les jeunes spectateurs de façon ludique à un message écologique issu d’une des œuvres du Dr. Seuss. Le film s’adressera prioritairement aux petits qui seront émerveillés par les graphismes colorés et des personnages mignons tout plein. Pour nous adultes, on sera certainement moins réceptif par un coté moralisateur un peu trop affirmé mais ça reste évidemment une bonne petite récréation.

     

    Il faut le voir pour : Protéger nos arbres !

  • Double Zéro

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    Le monde vit peut-être ses derniers instants ; un missile nucléaire vient d’être dérobé et la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) est en pleine ébullition. Il faut agir vite et bien, afin de ne pas éveiller les soupçons du Mâle (Edouard Baer), une équipe improbable d’espions est constituée ; Ben & Will (Eric Judor & Ramzy Bedia) vont devoir sauver le monde. Ce que tous deux ignorent c’est qu’ils doivent simplement servir de diversion pour laisser agir les véritables héros. Convaincus que le sort du monde repose sur leurs épaules et équipés des derniers gadgets, ils trouveront sur leur chemin la terrible Natty Dreads (Georgianna Robertson) !

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    Après avoir détourné La tour infernale, le célèbre duo comique s’attaque maintenant au film d’espionnage en nous proposant leur version de James Bond avec leur style si particulier. Inutile de s’attendre à du changement de leur part, on retrouve toujours cet humour propre au tandem qui peut aussi bien laisser indifférent certains que faire rire aux éclats les autres. Si on ne rechigne pas à jeter un œil (voire les deux) à Double Zéro, cette comédie de Gérard Pirès perd rapidement son souffle et il ne reste plus qu’à se contenter des gesticulations d’Eric & Ramzy et de quelques jeux de mot peu subtils.

  • Un bonheur n’arrive jamais seul

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    Même si sa mère souhaiterait plus que tout que son fils trouve la femme de sa vie, Sacha Keller (Gad Elmaleh) est ravi de profiter de son statut de célibataire. Fils de et pianiste lui-même, il a l’occasion de se produire dans un club quand ça lui plait et compose de temps à autre des mélodies publicitaires en attendant de monter son propre spectacle avec son pote d’enfance Laurent (Maurice Barthélémy). Et puis le hasard a fait qu’il a croisé le chemin de la superbe Charlotte (Sophie Marceau), un coup de foudre réciproque avec toutefois 2 détails qui vont avoir leur importance. D’une part, c’est la femme d’Alain Posche (François Berléand), l’actuel employeur de Sacha et d’autre part elle a 3 enfants !!

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    Nouvelle comédie romantique qui débarque sur nos écrans amené par James Huth à qui l’on doit Hellphone ou plus récemment l’adaptation de Lucky Luke. Au vu de ses réalisations, on s’attendait à ce qu’Un bonheur n’arrive jamais seul sorte un peu des sentiers battus mais c’est loin d’être une évidence. Bien au contraire, ce film semble simplement reprendre un chemin maintes fois utilisé et ce n’est pas Sophie Marceau tout aussi charmante que gaffeuse qui y changera quoi que ce soit. Il n’y a donc que la perspective de découvrir ce couple inédit complété par Gad Elmaleh qui pourra vous permettre de vous amuser un peu sinon c’est l’impression de déjà-vu qui va vite se faire ressentir.

     

    Il faut le voir pour : Faire appel à un vrai plombier, c’est plus sur pour vous !

  • La vie d’une autre

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    Notre pote Marie (Juliette Binoche) était chez les Speranski dans la perspective de décrocher un job et c’est là qu’elle a aperçu pour la première fois Paul (Mathieu Kassovitz). C’est ensuite sur la plage qu’elle a eu la joie de le revoir, les prémices d’une soirée magique et surprenante. En effet, lorsqu’elle se réveille, Marie se retrouve propulsée dans un appartement avec vue sur la Tour Eiffel et mère d’un petit Adam (Yvi Dachary-Le Beon). Elle est désormais en 2011 soit un saut de 15 ans depuis cette nuit passée avec Paul qui est devenu depuis son mari mais leur relation a quelque chose d’étrange. A la veille de ses 41 ans, elle se découvre une vie où elle est devenue une toute autre personne, quelqu’un qu’elle a du mal à reconnaitre.

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    Adaptation du roman de Frédérique Deghelt, c’est le genre de scénario que les américains raffoleraient pour nous en proposer une banale comédie. Pour son premier long-métrage, Sylvie Testud a en partie réussit à contourner ce piège facile en évitant de surjouer le coté burlesque de la situation et en conservant ce coté dramatique qui vient équilibrer l’ensemble. C’est un bonheur de voir évoluer cette Juliette Binoche rayonnante et spontanée malgré tout cela ne suffit pas nous emballer complètement à cause notamment d’un dénouement attendu. Pas forcément la sortie cinéma du mois mais on passe vraiment un bon moment devant La vie d’une autre.

     

    Il faut le voir pour : Préparer des tartines grillées pour vos enfants.