Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

rossy de palma

  • Une heure de tranquillité

    star 02.jpg

    AFF.jpg

    C’était jusqu’à présent une journée totalement ordinaire et puis un heureux hasard va permettre à Michel Leproux (Christian Clavier) de dénicher un disque qu’il cherchait depuis longtemps. Dans l’excitation du moment, il ne pense maintenant qu’à une chose : rentrer chez lui et écouter cet album seulement il va y avoir quelques imprévus. Ça a d’abord commencé avec Elsa (Valérie Bonneton) avec qui il a une liaison et qui se trouve être la pote d’enfance de sa femme Nathalie (Carole Bouquet). En plus de ça, les travaux dans l’appartement ont déjà commencé et dans l’immeuble il va y avoir aussi de l’animation puisque c’est la fête des voisins !

    01.jpg

    Après la pièce de théâtre, l’évolution naturelle a porté Une heure de tranquillité à s’inviter au cinéma sous la direction de Patrice Leconte. Dans la peau de notre mélomane en quête de sérénité, on retrouve un Christian Clavier qui comme souvent fait dans l’excès. Accompagné de Carole Bouquet, Valérie Bonneton et Rossy De Palma, on regrette que ces actrices n’aient pas réellement le loisir de s’exprimer ce qui aurait pu égayer davantage cette comédie. Au lieu de ça, on a droit à une galerie de personnages bâtis sur des clichés (Maria, Sébastien, Léo, …) et donc sans saveur. Même la conclusion qui est censée être un beau moment d’émotions ne réussit pas à faire son effet, un film mené trop tranquillement.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de rentre chez vous pour être tranquille !

  • Jack et la mécanique du cœur

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Jack est né le jour le plus froid du monde si bien que son cœur fut gelé lorsqu’il est sorti du ventre de sa mère. C’est grâce à Madeleine qu’il devra sa survie, elle lui a en effet installé une horloge mécanique qui fait office de cœur. C’est elle également qui va l’élever puisque sa mère l’abandonnera en plein milieu de la nuit. Ce n’est qu’à l’âge de 10 ans que Jack aura le droit de se promener dans les rues animées d’Edimbourg puisque Madeleine a toujours cherché à le protéger car son cœur mécanique est extrêmement fragile. C’est à ce moment-là qu’il va faire la connaissance de la belle Miss Acacia et il commence alors à ressentir un sentiment incroyable qu’on appelle l’amour.

    01.jpg

    Adapté du livre de Mathias Malzieu qui se trouve aussi être le chanteur du groupe Dionysos qui se trouve pleinement impliqué dans ce projet, Jack et la mécanique du cœur se distingue déjà par son graphisme et son atmosphère. D’un point de vue personnel, on ne peut pas dire que le visuel soit franchement attrayant contrairement et cet environnement panaché d’univers à la Tim Burton, de steampunk et de freak show. La bande originale est soignée mais les quelques chansons en anglais et en espagnol ne parleront pas aux plus jeunes tout comme le personnage de George Méliès ou encore la prestation peu convaincante de Grand Corps Malade. Le charme n’a donc pas vraiment opéré en dépit de cette poétique conclusion, pas de coup de cœur cette fois !

     

    Il faut le voir pour : Oublier les bouquets de lunettes, ça n’a pas beaucoup de succès !

  • Double Zéro

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Le monde vit peut-être ses derniers instants ; un missile nucléaire vient d’être dérobé et la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) est en pleine ébullition. Il faut agir vite et bien, afin de ne pas éveiller les soupçons du Mâle (Edouard Baer), une équipe improbable d’espions est constituée ; Ben & Will (Eric Judor & Ramzy Bedia) vont devoir sauver le monde. Ce que tous deux ignorent c’est qu’ils doivent simplement servir de diversion pour laisser agir les véritables héros. Convaincus que le sort du monde repose sur leurs épaules et équipés des derniers gadgets, ils trouveront sur leur chemin la terrible Natty Dreads (Georgianna Robertson) !

    01.jpg

    Après avoir détourné La tour infernale, le célèbre duo comique s’attaque maintenant au film d’espionnage en nous proposant leur version de James Bond avec leur style si particulier. Inutile de s’attendre à du changement de leur part, on retrouve toujours cet humour propre au tandem qui peut aussi bien laisser indifférent certains que faire rire aux éclats les autres. Si on ne rechigne pas à jeter un œil (voire les deux) à Double Zéro, cette comédie de Gérard Pirès perd rapidement son souffle et il ne reste plus qu’à se contenter des gesticulations d’Eric & Ramzy et de quelques jeux de mot peu subtils.