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science-fiction - Page 6

  • Death Race : Inferno

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    C’est un coup de tonnerre médiatique : les industries Weyland viennent de céder les droits de la Course de la mort au milliardaire Niles York (Dougray Scott). Un concept que celui-ci a l’intention d’exporter dans le monde entier mais son succès dépend également d’un homme : Frankenstein. Derrière ce masque se cache Carl Lucas (Luke Goss) que beaucoup croyait mort et il a déjà remporté 4 courses. S’il parvenait à remporter une 5ème et dernière course, il obtiendrait alors la liberté qu’on lui avait promise mais York n’entend pas laisser filer sa poule aux œufs d’or. Pour la première fois, la course aura lieu en dehors de Terminal Island et c’est en Afrique que tout va se jouer !

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    L’aventure avait commencé chez nous au cinéma pour se poursuivre dans nos salons et c’est plutôt frustrant car cette saga ne démérite pas. Nous sommes dans la continuité de l’épisode précédent qui rappelons-le est un prequel du remake (vous suivez ?) et cette fois de nouveaux paysages s’offrent à nous puisque nous partons en Afrique. La cour de récréation est donc plus vaste dans Death Race : Inferno et le spectacle est toujours au rendez-vous à coups de missiles téléguidés et d’explosions. Bien entendu, le scénario n’a lui rien de transcendant mais le constat est là, c’est un bon amusement et on ne cracherait pas sur de nouvelles courses à venir.

  • G.I.Joe : Conspiration

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    Les G.I. Joe n’existent plus. C’est par cette déclaration officielle que le Président des Etats-Unis (Jonathan Pryce) a annoncé cette nouvelle qui a bouleversé le monde entier. Cette unité de super soldats aurait en effet trahi les siens en assassinant le Président pakistanais et orchestrant le vol d’ogives nucléaires. En fait, la réalité est bien plus inquiétante car celui qui prétend être le Président des Etats-Unis est en fait un imposteur ; il s’agit de Zartan (Arnold Vosloo), l’un des hommes de main du Cobra Commander (Luke Bracey). Ils pensaient avoir anéanti les G.I.Joe mais Lady Jaye, Roadblock, & Flint (Adrianne Palicki, Dwayne Johnson & D.J. Cotrona) sont parvenus à s’en tirer et organisent la contre-attaque.

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    Attendu initialement pour l’été 2012, il aura fallu presque 1 année supplémentaire pour découvrir les nouvelles aventures des personnages d’Hasbro. Un retard qui serait justifié pour mettre en valeur la participation de Channing Tatum et au vu du film je crois qu’on s’est bien foutu de nous ! Avec G.I.Joe : Conspiration, il y a un sentiment immense de gâchis ; Bruce Willis joue juste les guest-stars de 10 minutes et puis quelle idée de se priver d’un personnage comme Duke alors qu’à coté un gars comme Flint ne sert à rien. Bien sur le casting ne fait pas tout mais la réalisation de Jon M. Chu, jusque là cantonné à des films de danse, manque cruellement de punch et on a plus vite fait de retourner chercher nos figurines pour réellement s’amuser.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on peut en planquer des armes dans une maison !

  • Cloud atlas

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    2144, Sonmi-351 (Doona Bae) n’est qu’un simple clone mais son avènement en tant que déesse est proche. 1936, Robert Frobisher (Ben Whishaw) a la chance de pouvoir travailler avec le célèbre compositeur Vyvyan Ayrs (Jim Broadbent) et ils vont créer une mélodie qui traversera le temps. 2012, les mésaventures de Timothy Cavendish (Jim Broadbent) vont le conduire jusque dans une maison de retraite dont il cherchera à s’échapper par tous les moyens. 1849, c’est en traversant le Pacifique que notre pote Adam Ewing (Jim Sturgess) va ouvrir les yeux sur la question de l’esclavagisme. 2321, Zachry (Tom Hanks), indigène sur une ile menacée par des barbares est sur le point de faire une rencontre décisive. 1973, l’enquête de la journaliste Luisa Rey (Halle Berry) concernant une centrale nucléaire dérange et elle met ainsi sa vie en danger.

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    C’est déjà un véritable défi que d’essayer de vous résumer ce long-métrage d’Andy & Lana Wachowski et de Tom Tykwer car il s’agit d’un gigantesque film choral se décomposant en 6 histoires. On saute ainsi d’une intrigue à l’autre plongeant le spectateur aussi bien dans le drame, la comédie, le thriller que dans la science-fiction. L’adaptation du roman de David Mitchell trainait depuis quelques années mais sa complexité réfrénait nombre de producteurs. Ambitieux, Cloud atlas l’est assurément mais dans le même temps à vouloir trop en faire ça donne de curieux résultats comme certains personnages au look improbable (la palme allant à Hugo Weaving en infirmière). Si on s’amusera des déboires de Jim Broadbent et qu’on s’émerveillera devant la magnifique Néo Séoul, le reste est bien moins excitant. Une expérience qui nous laisse plutôt sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous attendre à vivre beaucoup d’autres vies !

  • Antiviral

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    Glorifiés par leurs fans, certaines stars sont devenues de véritables icones au point qu’un nouveau marché s’est crée tout en soulevant de vives polémiques. Désormais, vous pouvez vous offrir les maladies contractées par n’importe quel acteur, mannequin ou chanteur et la Clinique Lucas profite de ce nouveau phénomène loin de s’essouffler. Preuve en est ce contrat d’exclusivité signé avec Hannah Geist (Sarah Gadon) et aujourd’hui encore notre pote Syd March (Caleb Landry Jones) est parvenu à vendre un de ses herpès ! Alors que ce nouveau business se trouve être hautement réglementé, Syd s’amuse à cultiver clandestinement ses virus en se les injectant directement dans le corps mais cela n’est pas sans risques.

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    Déjà, le sujet d'Antiviral ne peut qu’interpeller. On se retrouve dans un monde où le fan pousse sa passion jusqu’à partager la maladie de sa star ou encore à déguster un steak de cellules (après tout il y a bien des lasagnes fait de cheval …). Rendez-vous avec l’étrange donc et au générique, on retrouve un nom connu celui de Cronenberg mais attention il s’agit ici du fils Brandon qui signe sa première réalisation. Si dans un premier temps on est dans une phase de découverte dans cet environnement épuré, très vite c’est une bonne dose d’ennui qui nous est administré et qui se propage à vitesse grand V dans ce thriller au scénario peu élaboré.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de vendre vos maladies, c’est la crise après tout !

  • Dredd

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    Les Etats-Unis n’existent plus. C’est désormais un désert géant entourant une ville gigantesque de 80 millions d’habitants ; Mega-City One. La mégalopole est gangrenée par la criminalité au point qu’a été crée une unité spéciale qui s’abroge le droit de juger et d’exécuter. Dredd (Karl Urban) fait partie de ces juges et il est chargé aujourd’hui d’évaluer une recrue Cassandra Anderson (Olivia Thirlby), une mutante dont les pouvoirs psychiques pourraient représenter un atout majeur dans le combat contre le crime. Une première intervention les mène à la cité des pêchers où 3 corps viennent d’être balancés et alors qu’ils embarquaient un suspect, ils se retrouvent enfermés dans la cité avec une cohorte de criminels à leurs trousses.

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    Il faut remonter en 1995 pour voir apparaitre au cinéma la 1ère adaptation de Dredd et c’était Sylvester Stallone qui incarnait alors la loi ! 17 ans plus tard, c’est au moins connu Karl Urban à qui on a confié le casque et c’est justement parce qu’il passe tout le film avec la tête caché qu’on s’est dit qu’il ferait largement l’affaire. Reste plus qu’à faire la moue et d’avoir une voix grave et autoritaire en même temps, on ne lui demande pas non plus de composer mais seulement de distribuer les coups et de canarder tout ce qui bouge. Ça ne lésine pas en matière de violence et c’est donc plutôt plaisant pour les amateurs d’action qui retrouveront également un scénario incroyablement proche de The raid.

  • Looper

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    En 2074, le voyage dans le temps est devenu possible mais fut aussi immédiatement déclaré comme illégal compte tenu des menaces qu’il peut engendrer. Seules les mafias utilisent ses machines lorsqu’ils veulent se débarrasser de quelqu’un de gênant ; ils l’expédient 30 ans en arrière et c’est un looper qui est chargé de l’exécution. C’est justement le lot quotidien de notre pote Joe (Joseph-Gordon Levitt), un job qui lui permet de s’offrir pas de mal de bon temps mais il arrive un moment où un looper se retrouve face à lui-même. On appelle cela "Boucler sa boucle" et à partir de ce moment-là, il ne lui reste donc plus que 30 ans à vivre et c’est ce que le destin réserve à Joe.

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    Un scénario alléchant, le plaisir de revoir notre pote Bruce " Yipee-Ki-Yay" Willis et un nouveau monde futuriste qui s’ouvre à nous ; il y a avait effectivement de quoi nous donner l’eau à la bouche. Si le résultat final est plutôt convaincant, il y a quand même quelques zones d’ombre pour ne pas dire d’incohérences dans le scénario. Difficile de croire que seule la mafia puisse profiter de cette technologie aussi pointue qu’est le voyage dans le temps … Looper prend aussi le parti de ne pas s’abandonner dans un flot d’action, intention louable mais à double tranchant puisque vient un petit creux au milieu du film. Un univers riche qui ne demande qu’à être davantage exploré dans une éventuelle suite ?

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous mettre des gouttes dans les yeux !

  • Robot and Frank

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    Quelques années dans le futur. Il vous dira qu’il peut se débrouiller seul mais notre pote Frank (Frank Langella) a parfois besoin d’aide et souffre aussi de problèmes de mémoire. Jusqu’à présent, son fils Hunter (James Marsden) venait lui rendre visite chaque semaine mais cela ne peut plus durer. C’est pour cette raison qu’il lui a apporté un robot programmé pour faire le ménage, cuisiner bref pour faciliter la vie de Frank. Evidemment, ce dernier n’est pas aussi enthousiaste à l’idée d’accueillir une machine dans sa maison mais avec le temps il va lui découvrir une toute autre utilité. Derrière l’image d’un retraité un peu bougon se cache en fait un ancien cambrioleur autrefois condamné à la prison et qui compte bien reprendre du service !

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    Parce qu’on n’arrête pas les progrès technologiques, l’histoire de Robot and Frank pourrait bien devenir réalité dans quelques années et il vous suffira de jeter un œil au générique de fin pour vous en convaincre. Revenons tout de même sur le premier film de Jake Schreier qui fait preuve d’un scénario tout ce qu’il y a de prévisible car qui ne se douterait pas que notre héros va finir par s’attacher à son compagnon. Là où se fait la différence c’est dans un casting riche avec en tête le toujours charismatique Frank Langella et il est en bonne compagnie entre Susan Sarandon, Liv Tyler & James Marsden. S’il ne réserve aucune surprise, on passe malgré cela un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Vous mettre au jardinage, vous pouvez planter toutes sortes de choses !

  • Total Recall Mémoires programmées

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    La fin du 21ème siècle aura été marquée par une grave crise chimique qui a rendu la vie sur Terre impossible. Si vous avez de la chance, vous vivez dans l’Union Fédérale Britannique ou alors vous êtes comme notre pote Douglas Quaid (Colin Farrell) et vous habitez dans la Colonie. C’est sur que ce n’est pas la vie dont il rêvait même s’il peut au moins se consoler d’avoir une femme aussi merveilleuse que Lorie (Kate Beckinsale). Il a envie de vivre autre chose et pourquoi pas devenir un agent secret ; c’est dans cette optique qu’il se rend chez Rekall. D’après leur publicité, ils sont capables d’implémenter dans le cerveau des souvenirs aussi vrais que nature mais cela va réveiller chez Doug des choses inattendues.

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    Avant d’évoquer un quelconque lien avec l’œuvre de Paul Verhoeven et de s’adonner au jeu des comparaisons, considérons le film de Len Wiseman pour ce qu’il est à savoir une adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick. Le réalisateur a déployé les grands moyens pour un film de science-fiction assez réussi et pas avare en action mais dans le même temps sans véritable âme. S’il réussit à tromper notre ennui, ce Total Recall Mémoires programmées n’est pas calibré pour marquer les esprits. Difficile de dire si les réminiscences du film des années 1990 n’y sont pas pour quelque chose toujours est-il que cette version est moins exotique et que s’il fallait choisir, cette version ne ferait pas le poids.

     

    Il faut le voir pour : Penser à investir dans l’immobilier britannique au cas où ...


    En savoir plus sur Total Recall ?

  • Total Recall

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    2048. Obsédé par un voyage sur Mars, Douglas Quaid (Arnold Schwarzenegger) s’est laissé tenter par une publicité de la société Rekall. Celle-ci propose en effet d’implanter des souvenirs de vacances comme si vous étiez effectivement parti mais les choses ne se passent pas comme prévu. Lorsqu’il se réveille, Doug se retrouve dans un taxi avant d’être attaqué par des hommes mené par son ancien pote d’enfance Harry (Robert Costanzo). Il n’est pas au bout de ses surprises puisque celle qu’il pensait être sa femme depuis 8 ans Lori (Sharon Stone) lui révèle alors la vérité : toute son existence n’est qu’un mensonge, on lui a implanté tout cela dans sa tête !

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    Le film de Paul Verhoeven s’est vite imposé comme un classique du cinéma de science-fiction grâce à son ingénieux scénario qui trouve sa source d’après la nouvelle Souvenirs à vendre écrite par Philip K. Dick. Avec Total Recall, c’est un voyage inoubliable sur Mars qui nous est proposé et où on est particulièrement marqué par une population mutée avec entre autres une femme à 3 seins qui en aura fait fantasmer plus d’un ! Un succès qui doit aussi à la participation de notre pote Schwarzie au sommet de sa carrière et d’une réalisation qui ne se prive pas d’une certaine violence ce qui n’est pas pour nous déplaire. Sorti en 1990, le film aura même droit à son remake en 2012 avec Total Recall Mémoires Programmées.

     

    En savoir plus sur Total Recall Mémoires Programmées ?

  • Dinocroc Vs Supergator

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    C’est la panique la plus totale ; un centre de recherches située sur une ile vient d’être dévasté par 2 monstres qu’ils ont eux-mêmes crée. Le responsable s’appelle Jason Drake (David Carradine), c’est lui qui a ordonné ces expérimentations ce qui a eu pour conséquence de donner naissance à ces dangereux spécimens. Pour étouffer cette affaire, il envoie donc un groupe de mercenaires qui malheureusement se révèle inefficace et sa dernière chance est de faire appel au cajun Logan (Rib Hillis). Pendant ce temps, les 2 créatures continuent de faire des victimes et cela arrive jusqu’aux oreilles de Paul (Corey Landis) qui cherche justement le moyen de faire tomber Drake. Il a désormais la preuve vivante qu’il s’adonne à des expérimentations illégales.

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    Déjà qu’un crocodile ce n’est pas forcément une créature très sympathique, voilà qu’on les rend encore plus dangereux ! On se retrouve donc avec un crocodile croisé avec un T-rex et un alligator géant qui dévore tout sur son passage. On rentre tout de suite dans le vide … pardon le vif du sujet, les monstres vont avoir de quoi se rassasier en dévorant tout sur leur passage. J’ai rarement vu un film où des personnages à peine introduits se font si vite dévorés ! Le compte en banque du regretté David Carradine devait être sacrément dans le rouge pour qu’il accepte ce joli navet. Effets spéciaux désastreux et répétitifs et une consternation scénaristique, on retrouve la panoplie complète du nanar avec ce Dinocroc Vs Supergator.