Death Race : Inferno
C’est un coup de tonnerre médiatique : les industries Weyland viennent de céder les droits de la Course de la mort au milliardaire Niles York (Dougray Scott). Un concept que celui-ci a l’intention d’exporter dans le monde entier mais son succès dépend également d’un homme : Frankenstein. Derrière ce masque se cache Carl Lucas (Luke Goss) que beaucoup croyait mort et il a déjà remporté 4 courses. S’il parvenait à remporter une 5ème et dernière course, il obtiendrait alors la liberté qu’on lui avait promise mais York n’entend pas laisser filer sa poule aux œufs d’or. Pour la première fois, la course aura lieu en dehors de Terminal Island et c’est en Afrique que tout va se jouer !
L’aventure avait commencé chez nous au cinéma pour se poursuivre dans nos salons et c’est plutôt frustrant car cette saga ne démérite pas. Nous sommes dans la continuité de l’épisode précédent qui rappelons-le est un prequel du remake (vous suivez ?) et cette fois de nouveaux paysages s’offrent à nous puisque nous partons en Afrique. La cour de récréation est donc plus vaste dans Death Race : Inferno et le spectacle est toujours au rendez-vous à coups de missiles téléguidés et d’explosions. Bien entendu, le scénario n’a lui rien de transcendant mais le constat est là, c’est un bon amusement et on ne cracherait pas sur de nouvelles courses à venir.