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bokeem woodbine

  • Riddick

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    Il voulait retourner sur Furya mais au lieu de ça, notre pote Riddick (Vin Diesel) a été pris au piège de Vaako (Karl Urban). Il s’est ainsi retrouvé gravement blessé sur une planète inconnue et hostile, chaque journée est un combat pour tromper la mort. Un jour, Riddick parvient à trouver un camp à partir duquel il lance un appel de détresse mais sa tête est mise à prix avec une prime doublée s’il est ramené mort. Un premier vaisseau atterrit, Santana (Jordi Mollá) et ses hommes entendent bien empocher le magot mais on dirait bien qu’il va y avoir de la concurrence puisque Boss Johns (Matt Nable) et son équipe débarquent à son tour.

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    On le croyait mort et enterré, c’est donc plutôt une surprise que de voir de nouveau notre pote Vin Diesel après le succès controversé des Chroniques de Riddick en 2004. Faire revenir Riddick pourquoi pas mais ce 3ème volet pourrait bien être considéré comme une trahison à l’univers qui nous avait tant séduit auparavant. Le film se contentant ici d’une simple chasse à l’homme parsemée de quelques scènes qui font davantage penser à un Starship Troopers qu’aux aventures du furien. Si on tient un film d’action au scénario succinct mais plutôt potable, ça risque de rester en travers de la gorge de nombreux fans de la saga.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que Riddick a aussi des dons de voyance !

  • Total Recall Mémoires programmées

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    La fin du 21ème siècle aura été marquée par une grave crise chimique qui a rendu la vie sur Terre impossible. Si vous avez de la chance, vous vivez dans l’Union Fédérale Britannique ou alors vous êtes comme notre pote Douglas Quaid (Colin Farrell) et vous habitez dans la Colonie. C’est sur que ce n’est pas la vie dont il rêvait même s’il peut au moins se consoler d’avoir une femme aussi merveilleuse que Lorie (Kate Beckinsale). Il a envie de vivre autre chose et pourquoi pas devenir un agent secret ; c’est dans cette optique qu’il se rend chez Rekall. D’après leur publicité, ils sont capables d’implémenter dans le cerveau des souvenirs aussi vrais que nature mais cela va réveiller chez Doug des choses inattendues.

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    Avant d’évoquer un quelconque lien avec l’œuvre de Paul Verhoeven et de s’adonner au jeu des comparaisons, considérons le film de Len Wiseman pour ce qu’il est à savoir une adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick. Le réalisateur a déployé les grands moyens pour un film de science-fiction assez réussi et pas avare en action mais dans le même temps sans véritable âme. S’il réussit à tromper notre ennui, ce Total Recall Mémoires programmées n’est pas calibré pour marquer les esprits. Difficile de dire si les réminiscences du film des années 1990 n’y sont pas pour quelque chose toujours est-il que cette version est moins exotique et que s’il fallait choisir, cette version ne ferait pas le poids.

     

    Il faut le voir pour : Penser à investir dans l’immobilier britannique au cas où ...


    En savoir plus sur Total Recall ?

  • Devil

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    Un homme a été retrouvé écrasé sur le toit d’une camionnette et au vu de la violence du choc, le Détective Bowden (Chris Messina) a vu supposé qu’il s’est jeté du haut d’un des immeubles alentours. Il lui a suffit de retrouver les débris de verre pour identifier l’immeuble en question mais il n’est pas au bout de ses surprises. En effet, un groupe de personnes sont actuellement bloqués dans un ascenseur et il se passe de drôles de choses dans cet espace clos, la panique s’installe. Alors que l’on cherche une explication logique à ces évènements, un des gardiens pense avoir trouvé l’origine de ces drames ; c’est le diable en personne qui serait apparu parmi eux.

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    Bon déjà, l’idée de l’ascenseur bloqué ce n’est pas d’une grande originalité puisque les cinéphiles avertis se remémoreront le récent Blackout. La principale différence c’est qu’avec Devil, il y a une pointe (mais alors une petite) de fantastique en faisant intervenir le diable qui doit vraiment s’ennuyer dans son royaume pour s’inviter dans ce film. Une histoire légère que l’on doit pourtant à un certain Night Shyamalan qui prouve, s’il le fallait encore, qu’il n’est plus vraiment dans le coup. Trop anodin pour s’y intéresser, sauf si vous vous retrouvez totalement bloqué dans un ascenseur.

     

    Il faut le voir pour : Emprunter les escaliers, ça ne vous fera pas de mal !