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science-fiction - Page 9

  • Retour vers le futur 2

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    A peine est-il revenu dans son présent - en 1985 si vous êtes perdus - notre pote Marty McFly (Michael J. Fox) doit déjà repartir pour un nouveau voyage dans le temps. Cette fois, Doc (Christopher Lloyd) va le conduire dans un lointain futur ; en 2015 (!?!) car à cette date précise la famille McFly connait un grand bouleversement. Marty apprend ainsi qu’il a épousé son amour de jeunesse Lorraine (Léa Thompson) avec qui il a eu des enfants et c’est justement pour sauver ces derniers qu’ils sont là. Alors qu’ils tentent de remettre un peu d’ordre, le vieux Biff Tannen (Thomas F. Wilson) découvre l’existence de la machine à remonter le temps et va complètement chambouler la réalité.

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    Le dénouement du 1er épisode annonçait clairement une suite mais il faut savoir qu’elle n’était pas vraiment prévue. C’est donc 4 ans après le succès de Retour vers le futur et avec la pression des fans qu’on voit apparaitre ce second épisode qui nous mène cette fois dans le futur. On sourit un peu puisqu’aujourd’hui nous sommes aux portes de 2015 et on attend toujours l’invention de l’Overboard ou des chaussures aux lacets automatiques. Retour vers le futur 2 ne bénéficie plus de l’effet de surprise mais on est heureux de retrouver tous les personnages et de voyager successivement dans le futur, un présent alternatif et dans le passé tout en distillant quelques détails pour l’ultime épisode qui a été tourné simultanément.

     

    La scène à ne pas louper : Le retour au bal de la féérie dansante des sirènes.


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  • Retour vers le futur

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    Marty McFly (Michael J. Fox) était venu rendre visite à son pote Emmet Brown (Christopher Lloyd) qu’il appelle plus communément Doc mais ce dernier était absent. Finalement après un coup de fil, ils se donnent rendez-vous sur le parking du centre commercial des deux pins plus tard dans la soirée où un évènement historique va avoir lieu. Doc a en effet inventé quelque chose d’unique et révolutionnaire : une machine à voyager dans le temps qu’il a matérialisée à travers une DeLorean. Seulement pour la faire fonctionner, il a besoin de plutonium ; un produit rare qu’il a dérobé à des terroristes libyens et ces derniers sont bien décidés à le lui faire payer !

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    On en a tous rêvé au moins une fois dans notre vie ; voyager dans le temps est un véritable fantasme et la saga Retour vers le futur a réellement marqué l’histoire du cinéma. Déjà que le scénario est fantastique dans tous les sens du terme, le film de Robert Zemeckis est riche de ses personnages atypiques (ah ce cher Doc et sa coiffure !) et de son vaste univers sans oublier bien sur la désormais célèbre DeLorean. Les années, les décennies ont beau défiler ; on se replonge toujours avec plaisir dans les aventures de Marty McFly et en ce sens on peut dire que le voyage dans le temps est réussi ! Espérons maintenant que les studios d’Hollywood ne toucheront pas à ce monument du cinéma en en faisant un remake.

     

    La scène à ne pas louper : Le retour de Marty grâce à la foudre qui va frapper l’horloge et fournir une puissance de 1,21 gigawatts !


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  • E.T. L’extra-terrestre

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    Au cœur d’une foret située à Los Angeles, d’étranges créatures ont posé le pied sur notre planète et lorsqu’un groupe d’hommes surgit brusquement, c’est l’affolement. Un engin spatial s’élève alors dans le ciel et disparait mais dans la précipitation, ils ont laissé derrière eux un des leurs ; celui-ci est totalement désorienté et va se retrouver dans un jardin. C’est Elliot (Henry Thomas) qui le premier entend des bruits étranges puis va découvrir et recueillir cet extraterrestre qu’il nommera E.T. Très vite, il confie son secret à son grand frère Michael (Robert MacNaughton) et à sa petite sœur Gertie (Drew Barrymore). Ils feront tout leur possible pour le dissimuler mais aussi pour l’aider à contacter les siens et lui permettre ainsi de retourner à sa "maison".

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    Steven Spielberg est à n’en pas douter l’un des plus grands cinéastes que l’on ait connu à ce jour et pour moi E.T. L’extra-terrestre restera son plus grand chef d’œuvre. Fantasme de toute une époque, la rencontre avec des extra-terrestres a souvent donné lieu à des films catastrophes et c’est l’une des premières fois qu’on nous présente un envahisseur pacifique. E.T. , c’était quand même le pote d’enfance qu’on rêvait tous d’avoir et ce film qui regorge de scènes inoubliables et, comme tout le monde le sait, a également a marqué les débuts de Drew Barrymore. Impossible de passer à coté de ce film culte qui a participé à l’éducation cinématographique de millions de spectateurs dans le monde et peut-être un jour dans l’univers !

     

    La scène à ne pas louper : La connexion entre E.T. & Elliot

  • Real Steel

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    Nous sommes en 2020. Charlie Kenton (Hugh Jackman) est un ancien boxeur qui s’est reconverti bien malgré lui dans la boxe de robots, le must du divertissement. Malheureusement pour lui, le succès n’est pas au rendez-vous car après avoir perdu Ambush, sa récente acquisition Noisy Boy s’est également fait massacré.  Entre-temps, il a pris la garde de son fils Max (Dakota Goyo), 11 ans le temps d’un été en échange de 100 000 dollars. Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou mais leur passion commune pour les robots va les réunir et les conduire jusqu’au championnat du Real Steel. Ils trouvent en effet par hasard un vieux robot du nom d’Atom qui va s’imposer au fil du temps comme un sérieux challenger allant jusqu’à défier le champion incontesté Zeus.

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    C’est vrai que c’est un drôle de projet dans lequel s’est engagé Hugh Jackman avec des combats de robots boxeurs mais on se laisse vite entrainer dans l’histoire. La réussite de Real Steel tient d’abord au fait d’avoir réussi à créer un véritable univers particulièrement attractif (du moins pour la gente masculine, les femmes iront surtout voir Jackman). Pas de temps mort, des combats percutants et un Dakota Goyo qui n’a vraiment pas froid aux yeux font de ce film un agréable divertissement ! Une bonne surprise de la part du réalisateur Shawn Levy que l’on connaissait essentiellement pour des comédies (Crazy Night, La nuit au musée …).

     

    Il faut le voir pour : Continuer de jouer aux robots avec votre fils !

  • L’agence

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    David Norris (Matt Damon) est un politicien en devenir, il brigue le poste de sénateur de New-York mais échoue de peu à cause de son caractère parfois impulsif. Une défaite qu’il a surmontée bien aidé par sa rencontre atypique avec Elise Sellas (Emily Blunt) puisqu’ils se sont croisés dans les toilettes des hommes. Quelques temps après, David la croise de nouveau dans le bus or ces retrouvailles n’auraient jamais du avoir lieu car cela ne faisait pas parti du plan ! Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, il existe une organisation appelée L’agence qui supervise toutes nos actions et mène notre vie selon un plan défini.

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    Au début on se dit qu’il s’agit là d’un énième thriller et puis le temps d’installer son personnage principal et L’agence bascule dans le domaine de la science-fiction. Ce n’est pas peu dire qu’on est grandement déconcerté par cette intrigue improbable (un peu à la manière de The box) mais finalement avec sa petite touche d’humour, on rentre progressivement dans l’histoire. Le couple Emily Blunt / Matt Damon est plutôt quelconque et ne parvient pas à tirer vers le haut cet étrange thriller. Sans nous emballer, le premier film de George Nolfi réussit toutefois à nous distraire et puis si ça se trouve, aller le voir fait certainement partie du plan de votre vie !

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un chapeau.

  • Tron l’héritage

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    Depuis l’étrange disparition de son fondateur Kevin Flynn (Jeff Bridges), la société Encom est devenue une firme au succès colossal. Bien qu’il en soit l’héritier direct, Sam (Garrett Hedlund) s’est toujours refusé à prendre les rênes au grand regret d’Alan Bradley (Bruce Boxleitner), le pote d’enfance de son père. D’ailleurs, celui-ci est venu le voir pour lui faire part d’un évènement curieux ; il a reçu un message d’un bipper vieux de plus de 20 ans. Les clés de la salle de jeu en mains, Sam y et retrouve avec émotions quelques souvenirs d’enfance. Surtout, il découvre le bureau secret où son père effectuait toutes les recherches sur la Grille, ce monde numérique dont il avait tant entendu parler.

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    Séquence nostalgie et émotion pour certains spectateurs qui s’étaient extasié sur Tron, un film sorti en 1982 ! C’est un retour qu’on pourrait presque qualifier de logique au vu des progrès technologies de ces dernières décennies et cette suite est un véritable spectacle de son et lumière avec comme bémol une version 3D pas tout du tout convaincante. Que l’on soit adepte ou néophyte de l’univers de Tron, on est immédiatement happé par cette dimension parallèle si particulière ; on l’est moins par contre au niveau du scénario. Clairement on ira voir Tron l’héritage avant tout pour se faire plaisir aux yeux pour le reste on a jamais été aussi proche du domaine du virtuel.

     

    Il faut le voir pour : Se payer un frisbee pour cet été !

  • Monsters

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    Il y a 6 ans, on a découvert des traces de vie extraterrestre au cœur du système solaire et rapidement on y a envoyé une sonde pour corroborer les faits. Hélas, lorsqu’elle revient sur Terre, l’appareil s’écrase au beau milieu des États-Unis & du Mexique devenant ainsi la zone infectée. De gigantesques créatures apparaissent et détruisent tout ce qui se présente sur leur passage ; il ne reste que chaos et désolation. Andrew Kaulder (Scoot McNairy) est photographe et il se trouve actuellement au Mexique où il est chargé d’une mission bien particulière ; il doit raccompagner Samantha Wynden (Whitney Able) qui n’est autre que la fille de son patron sur la cote américaine. Au départ, cela se présentait plutôt bien mais la jeune femme va manquer son ferry et se retrouve obligée de traverser la zone infectée pour rejoindre les États-Unis.

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    A première vue, c’est vrai qu’il peut nous faire penser à District 9, un film de science-fiction au scénario d’ailleurs pas très éloigné et puis il s’agit également d’une "petite" production sans stars. Cependant, là où le film de Neill Blomkamp nous proposait de l’action mêlé à une bonne dose de fun, Monsters prend lui la forme d’un road-movie étrange dans des décors ravagés. Curieux d’abord parce qu’on a du mal à prendre au sérieux ces pieuvres géantes comme étant des créatures extraterrestres. Le reste du voyage est assimilable à un long calvaire, il ne se passe strictement rien si ce n’est de voir les héros boire une Tequila et tripoter un arbre muté façon Avatar. Oui, il y avait de l’idée mais elle était mauvaise !

     

    Il faut le voir pour : Préparer du calmar au diner !

  • Eden log

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    C’est dans l’obscurité la plus totale que notre pote Tolbiac (Clovis Cornillac) s’est réveillé sans aucune idée du lieu où il se trouve. Il avance pas à pas dans ce sous-terrain jusqu’à ce qu’il fasse d’étranges découvertes. Des cadavres juchent son parcours mais aussi un nom qui revient fréquemment, celui d’Eden Log mais il faut être prudent car il entend au loin des cris. Des créatures rodent dans l’ombre et le seul moyen pour lui d’y échapper est de remonter à la surface, niveau par niveau. Au-delà de ces difficultés, il découvrira alors la grande vérité qui se cache derrière le nom d’Eden log.

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    En matière de science-fiction, on ne peut pas dire que le cinéma français soit vraiment bien loti. Avec un concept de départ rappelant vaguement Cube ; le réalisateur Franck Vestiel, qui signe là sa première réalisation au cinéma, tisse ensuite sa toile par ses images retranscrivant parfaitement l’univers glacial et déshumanisante modelant une société en perdition. Comme à son habitude, Clovis Cornillac est convaincant dans son rôle mais je n’ai pas vraiment accroché avec Eden Log. Si on est aspiré par l’esthétisme du film, au niveau de l’histoire on reste un peu dans l’expectative sans comprendre réellement toute l’ambition de l’auteur. A voir donc pour les plus curieux d’entre vous.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas planter d’arbre en ville.

  • Je suis une légende

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    En 2009, lorsque le Docteur Krippin (Emma Thompson) annonça avoir trouvé un remède pour éradiquer le cancer, on pensa assister à une fantastique avancée dans la médecine. Le principe était de modifier le code génétique des 10 009 patients qui s’étaient prêtés à l’expérience et chacun d’entre eux a vaincu le cancer qui les rongeait. 3 ans plus tard, le miracle s’est mué en une véritable catastrophe menant l’humanité entière au bord de l’extinction. A New York, Robert Neville (Will Smith) est le seul survivant face au virus qui s’est propagé. Un effet secondaire est apparu, les patients traités ont commencé à être envahi par une forme de rage et cela a contaminé la population mondiale.

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    Sacrée responsabilité pour le Men in black Will Smith d’incarner le dernier homme sur Terre, un rôle où il a l’occasion de dévoiler tout son registre de comédien. Aussi à l’aise dans les phases d’action que dans les scènes de pure émotion ; il porte à bout de bras ce film. Félicitations aussi pour la réalisation de Francis Lawrence pour nous offrir des images stupéfiantes de New York hanté par le silence de la mort. Adaptation d’un roman de Richard Matheson ; Je suis une légende fait parti de ces très bons films enrichissant encore un peu plus la carrière de Will Smith dont la légende est déjà écrite.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir New-York comme vous ne le verrez jamais.