Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dougray scott

  • Les dossiers secrets du Vatican

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Ça devait être une journée de fête pour notre pote Angela (Olivia Taylor Dudley) qui célébrait son 25ème anniversaire mais elle a terminé à l’hôpital à cause d'une coupure au doigt. A partir de là, son père Roger (Dougray Scott) et son petit-ami Pete (John Patrick Amedori) vont constater un comportement étrange de la part de la jeune femme. On la retrouve d'abord inconsciente avant qu'elle ne soit plongée dans un profond coma à la suite d'un accident de la route qu'elle a provoqué. Ces différentes visites à l’hôpital ont attisé la curiosité du Père Lozano (Michael Peña) d'autant plus que d'étranges phénomènes se manifestent en présence d'Angela. Des événements qui vont aussi alerter des cardinaux du Vatican.

    01.jpg

    On le sait qu'il se passe de drôles de choses au Vatican, on avait déjà eu droit à Devil Inside et voilà qu'on nous remet le couvert. Bon déjà bonne nouvelle, on n'a pas un énième found-footage (enfin un petit peu quand même), Mark Neveldine - qui a co-réalisé Ghost Rider : L'Esprit de Vengeance, non mais partez pas ! - opte pour une mise en scène plus classique. A part ça, rien d'autre à dire si ce n'est que pour un film d'épouvante-horreur on n'a pas vraiment l'occasion de se faire peur et puis Michael Peña en prêtre ça le fait vraiment pas. Finalement, la seule chose qui pourrait vous faire trembler c'est le prix de la place que vous avez payé pour regarder Les dossiers secrets du Vatican.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre copine si elle boit beaucoup d'eau !

  • Taken 3

    star 01.5.jpg

    AFF.jpg

    Alors que sa relation avec Stuart (Dougray Scott) bat sérieusement de l’aile, notre pote Lenore (Famke Janssen) sait qu’elle peut toujours compter sur le soutien de son ex-mari. D’ailleurs entre eux, l’étincelle semble renaitre mais Bryan Mills (Liam Neeson) est dévasté lorsqu’il découvre le corps sans vie de Lenore chez lui et qu’on lui a tendu un piège. Alors que la police s’apprêtait à l’arrêter, il prend la fuite afin de découvrir la vérité et Bryan prévient immédiatement sa fille Kim (Maggie Grace). Avec les flics aux trousses, il va devoir se montrer discret tout en menant sa propre enquête et il risque d’avoir des surprises !

    01.jpg

    Après Paris & Istanbul, on retrouve donc notre pote Liam Neeson a.k.a Bryan Mills chez lui aux États-Unis où il semble avoir repris une vie normale mais ça ne saurait durer. Cette fois notre héros va devoir traquer l’assassin de sa femme, un scénario aussi sommaire qu’invraisemblable l’essentiel étant de nous refourguer un énième film d’action. Olivier Megaton rempile mais ne se montre pas plus prolifique que précédemment si bien que Taken 3 n’offre pas de scènes dignes de ce nom. On attendait un second souffle avec l’apparition de Forest Whitaker au casting mais en dehors de résoudre ses enquêtes en mangeant un bagel tout en triturant sa pièce de jeu d’échecs, il n’a aucune influence.

     

    Il faut le voir pour : Prendre la boisson de la 4ème rangée du frigo !

     

    En savoir plus sur Taken ?

    En savoir plus sur Taken 2 ?

  • Death Race : Inferno

    star 03.jpg

    aff.jpg

    C’est un coup de tonnerre médiatique : les industries Weyland viennent de céder les droits de la Course de la mort au milliardaire Niles York (Dougray Scott). Un concept que celui-ci a l’intention d’exporter dans le monde entier mais son succès dépend également d’un homme : Frankenstein. Derrière ce masque se cache Carl Lucas (Luke Goss) que beaucoup croyait mort et il a déjà remporté 4 courses. S’il parvenait à remporter une 5ème et dernière course, il obtiendrait alors la liberté qu’on lui avait promise mais York n’entend pas laisser filer sa poule aux œufs d’or. Pour la première fois, la course aura lieu en dehors de Terminal Island et c’est en Afrique que tout va se jouer !

    01.jpg

    L’aventure avait commencé chez nous au cinéma pour se poursuivre dans nos salons et c’est plutôt frustrant car cette saga ne démérite pas. Nous sommes dans la continuité de l’épisode précédent qui rappelons-le est un prequel du remake (vous suivez ?) et cette fois de nouveaux paysages s’offrent à nous puisque nous partons en Afrique. La cour de récréation est donc plus vaste dans Death Race : Inferno et le spectacle est toujours au rendez-vous à coups de missiles téléguidés et d’explosions. Bien entendu, le scénario n’a lui rien de transcendant mais le constat est là, c’est un bon amusement et on ne cracherait pas sur de nouvelles courses à venir.

  • My week with Marilyn

    star 03.jpg

    aff.jpg

    1956. Marilyn Monroe (Michelle Williams) est déjà une grande star à travers le monde lorsqu’elle arrive en Angleterre pour le tournage du prochain film de Sir Laurence Olivier (Kenneth Branagh) ; Le prince et la danseuse. Pour notre pote Colin Clark (Eddie Redmayne), cela restera un moment inoubliable de sa vie. Ce féru de cinéma était parvenu en effet à décrocher un poste d’assistant auprès du célèbre réalisateur ce qui allait lui permettre de côtoyer la légende qu’est Marilyn Monroe. Le tournage est au départ un peu mouvementé, la star hollywoodienne semble capricieuse mais Colin va découvrir en fait une femme en proie à ses démons intérieurs.

    01.jpg

    Il ne faut surtout pas s’attendre à un biopic consacré à la plus célèbre des blondes puisque My week with Marilyn s’intéresse bien plus à la rencontre exceptionnelle de Colin Clark avec cette star. Même s’il met en scène qu’une brève partie de la carrière de Monroe, cet épisode résume bien les épreuves qu’elle a traversées au cours de son existence. C’est une femme complètement perdue dans ses tourments et fragilisée qu’incarne Michelle Williams, une prestation honorable sans pour autant briller comme savait si bien le faire cette icône de l’Amérique. L’histoire manque également parfois de saveur mais ce film devrait en satisfaire plus d’un car on sait bien que Les hommes préfèrent les blondes !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir le lien de parenté entre Marilyn Monroe et Lincoln !

  • Hitman

    03c06bacec426435c53c889616242b9f.jpg

    Il n’a pas de nom, seulement un numéro, le 47 (Timothy Olyphant). Il est un tueur redoutable entrainé depuis sa plus tendre enfance à de multiples techniques de combat pour agir le plus efficacement et le plus discrètement possible. Certains disent qu’il n’est qu’un fantôme mais pour l’agent d’Interpol Mike Whitthier (Dougray Scott), c’est un assassin qu’il tente de neutraliser depuis des années. Un nouveau contrat court sur Mikhail Belicoff (Ulrich Thomsen), candidat favori à la course présidentielle en Russie, N°47 est sur les rangs mais l’exécution ne se passe pas comme prévue. On a essayé de le piéger et il a bien l’intention de régler ses comptes.

     

    c1e8107a6ff426baa8073fa2af2ec0a3.jpg

    Pour ceux qui’ s’y connaissent un tant soit peu en matière de jeux vidéos, vous savez déjà que Hitman est un jeu signé Eidos (à qui l’on doit notamment Tomb Raider). Le personnage de 47 manque un peu de charisme, la ravissante Olga Kurylenko tient parfaitement son rôle de potiche en nous dévoilant ses charmes et Hitman c’est donc du plaisir à l’état pur si on le considère comme un divertissement. Le réalisateur français Xavier Gens se glisse avec talent dans le moule hollywoodien et s’offre un joli joujou agrémenté de scènes aussi grotesques que jouissives. Il ne faut donc pas s’attendre à un film cérébral mais à un habile mélange entre l’explosivité de xXx, la classe de James Bond & l’intellect de Rambo.

     

    Il faut le voir pour : Adopter le style Costard-Cravate & crane rasé.

     

    En savoir plus sur Hitman : Agent 47 ?