Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

cinema - Page 151

  • Une journée à New York

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Parce qu’elles sont sœurs jumelles, nos potes Jane & Roxy (Ashley & Mary-Kate Olsen) sont très différentes. La première est une étudiante modèle et qui a un peu pris la place d’une mère trop vite disparue tandis que la seconde préfère s’éclater avec son groupe de rock. C’est une journée importante pour Jane qui doit prononcer un discours qui pourrait lui permettre de décrocher la bourse McGill et lui ouvrir les portes de l’université d’Oxford. Roxie va l’accompagner à New York, elle prévoit plutôt d’assister à un enregistrement du groupe Simple Plan cependant rien ne va se passer comme prévu pour ces 2 sœurs.

    01.jpg

    Vous êtes fans des sœurs Olsen ? Alors dans ce cas, vous prendrez au moins un peu de plaisir devant Une journée à New York. C’est dingue comment un simple trajet dans la Grosse Pomme peut se transformer en une incroyable aventure où interviennent un ersatz de flic et un gangster aussi charismatique que Casimir. L’histoire est donc très tirée par les cheveux, l’essentiel étant de mettre en avant les jumelles découvertes dans La fête à la maison (On appréciera d’ailleurs le caméo de Bob Saget, leur papa dans la série). Une comédie pour le moins anecdotique mais qui marque toutefois la fin du duo au cinéma, qui a dit que ce n’est pas une grande perte ?

  • Les sorties du 03 Octobre

    aff.jpg

    Pour tout vous dire, à l’heure où vous lirez ces lignes, je me promènerais dans les rues de New York. D’ailleurs, peut-être avez-vous remarqué que La séance de rattrapage s’est mis à la page depuis Lundi ? Pendant 2 semaines, la Grosse Pomme sera à l’honneur mais revenons au cinéma qui vous intéresse avec d’abord Do not disturb. C’est l’histoire de 2 potes que sont Yvan Attal & François Cluzet qui décident un jour de se lancer dans un projet fou : un film porno ! Oh une autre précision ; ils seront également acteurs de ce film et pour que cela soit original, ces 2 hétéro vont juste coucher ensemble.

    Lire la suite

  • Jason Bourne : L’héritage

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Un homme vient d’être abattu à la gare de Waterloo en Angleterre et c’est loin d’être un hasard car ce journaliste du Guardian s’apprêtait à dévoiler des informations secrètes liées à Jason Bourne. C’est le début d’une grande vague de nettoyage, on cherche à effacer toute trace du Programme et notre pote Aaron Cross (Jeremy Renner) va vite s’en rendre compte. Alors qu’on tente de l’éliminer, il parvient à faire croire à sa mort avant de réapparaitre dans le Maryland où une fusillade dans un laboratoire fait la une des journaux. A la recherche des médicaments dispensés par le Programme, Aaron se rend chez Marta Shearing (Rachel Weisz), la seule rescapée de ce massacre avec l’espoir qu’elle pourra l’aider.

    01.jpg

    Au revoir Jason Bourne et bonjour Aaron Cross ! La saga tente un nouveau départ en remplaçant Matt Damon par le non moins charismatique et actuellement très demandé Jeremy Renner avec l’espoir de convaincre les fans de la première heure. Bien entendu, Jason Bourne : L’héritage nous ramène à un univers que l’on connait que trop bien et justement ceci amène au constat implacable qu’on ne s’est pas beaucoup foulé pour cet énième film d’action. Ce nouvel agent secret assure à peine le spectacle avec une tonitruante poursuite dans les rues de Manille mais le personnage manque cruellement de caractère. Il en est de même pour Edward Norton tout simplement transparent dans son rôle et au final on se dit que cet héritage va vite se dilapider !

     

    Il faut le voir pour : Vous persuader de l’utilité d’une moto durant les heures de pointe.

  • Ombline

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Son copain était impliqué dans des trafics de drogues et un jour les policiers ont débarqué chez eux. Une arrestation qui s’est mal passée et notre pote Ombline (Mélanie Thierry) a perdu ses nerfs en poignardant à la cuisse un des policiers. Elle a écopé d’une peine de 3 ans et appris que son compagnon était décédé mais surtout durant sa détention, elle apprend qu’elle va prochainement avoir un bébé. Comme toutes les détenues enceintes, elle est d’abord mis à l’écart avant de donner naissance à Lucas mais débute alors un long combat pour la jeune femme pour garder son enfant auprès d’elle. Lorsqu’Ombline se voit arracher son fils de ses bras, elle garde au fond d’elle l’espoir d’échapper un jour à cet enfer et récupérer ainsi Lucas.

    01.jpg

    Des films dans le milieu carcéral, on en a vu passé et certains auront encore en mémoire Le prophète d’Audiard mais peu ou pas se sont intéressés au sort des femmes et encore moins des mères. Ombline répare donc cette injustice et plutôt de belle manière à travers l’interprétation de Mélanie Thierry. On est moins emballé par le reste à savoir une histoire assez commune avec ce qu’on a pu voir jusqu’à présent. Lieu gangrené par une violence perpétuelle ; avec la prison reviennent les éternels thèmes de la promiscuité, de l’espoir de réhabilitation le tout orchestré de façon assez commune. S’il ne tient pas les promesses d’une grande évasion, on apprécie l’initiative du film et la prestation remarquable de son actrice principale.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier que vos enfants restent votre plus grande évasion !

  • Un automne à New York

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Même s’il approche de la cinquantaine, Will (Richard Gere) ne ressent pas le besoin de fonder une famille. Mieux encore, il enchaine les conquêtes comme un vrai Don Juan ce qui parfois amène à briser quelques cœurs. A peine vient-il de retrouver son célibat qu’il tombe sous le charme de Charlotte (Winona Ryder), une jolie jeune femme venue célébrer son 22ème anniversaire dans son restaurant. Plus charmeur que jamais, il réussit très vite à la séduire et le voilà de nouveau en couple mais leur relation ne sera pas éternelle. Si Will tient à garder sa liberté c’est surtout le triste sort de Charlotte qui condamne leur amour puisqu’elle est atteinte d’une grave maladie du cœur.

    01.jpg

    Certains mettront peut-être ça sur le compte de la jalousie (et c’est même pas vrai !), il n’empêche que Richard Gere n’est plus le playboy d’antan ! Il a davantage les allures de grand-père (ce qui est d’ailleurs confirmé dans le film) que du tombeur qui sa soudainement prendre conscience du vide qui comble sa vie. Heureusement pour nous, la fraicheur de Winona Ryder vient un peu équilibrer les choses mais Un automne à New York reste un drame sentimentale très sirupeux qui ne trouvera un public que parmi les amateurs du genre. Si votre trip est de passer une soirée dans votre canapé avec une petite boite de mouchoirs alors vous avez trouvé de quoi faire votre bonheur.

  • The we and the I

    star 03.jpg

    aff.jpg

    L’école est fini ! Enfin, les cours ne sont plus qu’un mauvais souvenir et tout le monde se précipite dans le bus pour rentrer à la maison. Comme d’habitude, Michael (Michael Brodie) et ses potes se prennent pour les rois du monde et délogent sans vergogne une dame âgée et des enfants pour s’installer au fond. Il y a aussi de l’agitation devant puisque Laidychen (Lady Chen Carrasco) est en train d’organiser une fête pour son anniversaire et qu’elle se désespère de ne pouvoir trouver un garçon potable à inviter. Et puis vient le moment où Teresa (Teresa Lynn) monte dans le bus ; elle qu’on n’avait pas vu au bahut depuis au moins 1 mois et qui est affublée d’une horrible perruque blonde. C’est un long trajet qui commence.

    01.jpg

    Après un Green Hornet assez conventionnel dirons-nous, on retrouve ce qui a fait la réputation de Michel Gondry à savoir un réalisateur avec un univers hors-normes. The we and the I se résume donc à un trajet en bus mais avec pas mal d’animation, une expérience qu’il a fait partager à de vrais lycéens du Bronx tous débutants au cinéma. Concentré d’anecdotes en tous genres, ce voyage en bus nous permet surtout de constater l’influence d’un groupe sur le comportement individuel et la personnalité au fur et à mesure que le véhicule se vide. Ça bouge dans tous les sens et pour une fois que le cinéma fait preuve d’originalité, on ne va pas s’en priver !

     

     

    Il faut le voir pour : Laisser tomber votre voiture, le bus c’est sympa !

  • Ce que le jour doit à la nuit

    star 03.jpg

    2860351406.4.jpg

    Algérie dans les années 1930. Avec sa prochaine récolte, notre pote Issa (Tayeb Belmihoub) pourra enfin régler toutes ses dettes malheureusement un incendie a consumé tous ses espoirs. Ruiné et obligé de vendre ses terres familiales, il part s’installer à Oran où il peine à faire vivre les siens. Malgré tous ses efforts, il se rend à l’évidence et décide de confier son fils Younès (Iyad Bouchi/ Fu'ad Ait Aattou) et à sa femme Madeleine (Anne Consigny). Rebaptisé Jonas, le jeune garçon découvre une toute autre vie mais n’en oublie pas pour autant ses parents et sa petite sœur. C’est à cette même époque qu’il rencontre pour la première fois Emilie (Nova-Louna Castano/ Nora Arnezeder), celle qui sera la femme de sa vie mais qu’il ne pourra jamais aimer librement.

    01.jpg

    C’est une grande épopée que nous propose Alexandre Arcady avec cette adaptation du roman de Yasmina Khadra. Au cœur de l’Algérie française, nait une belle histoire d’amour impossible mais avant cela, c’est un héros déchiré Younès dont la belle vie est néanmoins rythmée par de terribles tragédies, la plus grande étant cet amour impossible. Malgré sa durée (2H39), Ce que le jour doit à la nuit réussit à garder toute notre attention même si certains passages bien superficiels lorsqu’ils ne sont pas creux. Dans l’ensemble, l’interprétation est correcte mais la justesse n’est pas toujours au rendez-vous lorsqu’il s’agit du couple vedette Arnezeder / Fu'ad Ait Aattou. Notamment chez ce dernier, il y a peu de nuances dans son jeu tandis que la révélation de Faubourg 36 a la larme un peu facile.

     

    Il faut le voir pour : Demander à rencontrer la mère de votre copine avant de vous engager !

  • Voisins du troisième type

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Tout semble sourire pour Evan (Ben Stiller) ; dans sa vie privée comme professionnelle tout se passe merveilleusement bien. Une joie de vivre qu’il a envie de communiquer à travers les nombreux clubs qu’il a fondé et c’est un évènement dramatique qui va l’amener à créer un comité de surveillance de quartier. Tout a commencé par la mort de son pote d’enfance Antonio Guzman (Joe Nunez) retrouvé assassiné alors qu’il surveillait le magasin d’Evan, les forces de police étant impuissantes il faut agir ! Son appel à la communauté a été entendu certes peu mais entendu par Franklin, Bob & Jamarcus (Jonah Hill, Vince Vaughn & Richard Ayoade). Avec eux, le comté peut dormir sur ses deux oreilles jusqu’au moment où lors d’une patrouille ils percutent ce qui s’avère être un extraterrestre !

    01.jpg
    De la confrontation d’un simple comité de surveillance de quartier avec une créature extraterrestre, on s’attendait à une comédie plutôt déjantée. En plus de ça, les présences de Stiller, Hill & Vaughn semblaient être un gage de qualité mais Voisins du troisième type nous fait vite déchanter. Bien sur, il y a bien quelques passages sympathiques mais bien insuffisants et surtout bien loin des crises de rire qu’on espérait avoir si bien qu’on a parfois presque envie que tout ça se termine au plus vite. C’est bien beau d’avoir des créatures d’un autre-monde mais il aurait fallu penser à investir un peu plus dans un scénario où l’on a du mal à percevoir la patte de Seth Rogen. Une belle idée qui tourne en eau de boudin !  

     

    Il faut le voir pour : Créer un Comité de surveillance et ramener la paix dans votre quartier !

  • Camille redouble

    star 03.jpg

    2535282206.17.jpg

    Déjà que sa carrière d’actrice est loin d’être brillante, notre pote Camille Vaillant (Noémie Lvovsky) doit aussi s’habituer au départ de son compagnon Eric (Samir Guesmi). Avec autant de soucis en tete, la seule consolation qu’elle puisse trouver se trouve au fond d’une bonne bouteille de whisky ! Alors que l’année 2008 s’achève, c’est l’occasion ou jamais de se changer les idées avec ses potes d’enfance. Une soirée bien arrosée au point qu’elle se réveille avec l’esprit assez confus et pour cause, elle se retrouve propulsée dans le passé et plus exactement en 1985. Il s’agit d’une époque charnière de sa vie ; dans quelques jours Camille va en effet perdre sa mère (Yolande Moreau) et c’est aussi la première fois qu’elle rencontrera Eric.

    01.jpg

    Ça a beau se présenter comme une comédie, c’est avant tout l’aspect dramatique de Camille redouble qui m’a sauté aux yeux. Il y a d’abord une héroïne bien déprimée qui vous accueille et puis d’autres évènements comme cette pote d’enfance qui devient aveugle ou la disparition annoncée de Yolande Moreau qui font que ça ne respire pas la joie de vivre. Les échanges entre Noémie Lvovsky & Samir Guesmi conduisent forcément à adopter un ton plus léger par la suite sans pour autant transformer le film en une irrésistible comédie. La priorité a été portée à l’authenticité du film, un contrat rempli aidé par une interprétation générale sur laquelle il n’y a rien à redire. On a l’impression parfois de nager entre deux eaux ; si comme moi vous vous attendiez à une comédie franche vous risquez d’être désenchanté.

     

    Il faut le voir pour : Enregistrer la voix de vos proches.

  • Les sous-doués en vacances

    star 01.jpg

    aff.jpg

    Le destin réserve parfois de drôles de surprises comme en témoigne l’histoire entre Claudine & Bebel (Grace De Capitani & Daniel Auteuil). Ils devaient tous deux se rendre aux Seychelles mais leur voyage est tombé à l’eau ce qui leur a permis de se rencontrer et ce fut le coup de foudre immédiat. Engagés pour tester la Love machine en vue de créer le prochain tube du célèbre chanteur Memphis (Guy Marchand), ils filaient le parfait amour jusqu’à ce que Bebel soit piégé. Coureur de jupons insatisfait, Memphis a jeté son dévolu sur Claudine et il est prêt à tout pour l’avoir même à l’engager comme traductrice et l’amener en voyage à Saint-Tropez.

    01.jpg

    Alors si c’est toujours un véritable plaisir de revoir leurs premières aventures, ce second épisode on aurait préféré qu’il ne voit pas le jour. Ça nous aurait peut-être privé de ce méga-tube qu’est Destinée interprété par un Guy Marchand au taquet en mode séducteur, seul lot de consolation de cette comédie poussive. Il y avait déjà une douce folie dans Les sous-doués, ici elle est encore plus exacerbée à l’image d’un pauvre Togo qui se retrouve avec une jambe plus courte que l’autre. Malheureusement, les joies des retrouvailles tournent vite courts devant Les sous-doués en vacances qui enchaine les situations rocambolesques où les rires laissent souvent place à une certaine consternation.


    En savoir plus sur Les sous-doués ?