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  • Birdman

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    Son avenir se joue dans les prochains jours, notre pote Riggan Thomson (Michael Keaton) a décidé d'adapter Raymond Carver à Broadway, Oui vous avez bien lu, l'interprète culte du célèbre super-héros Birdman monte sur les planches pour relancer sa carrière mais c'est loin d’être évident. Alors que la grande première se rapproche à grands pas, l'un de ses interprètes principaux se retrouve hors-course après avoir reçu un projecteur sur la tête, ce qui n'est pas forcément une grande perte. Il sera vite remplacé par Mike Shiner (Edward Norton), comédien talentueux et populaire mais aussi très imprévisible !

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    Non ce film au titre trompeur n'est pas là pour concurrencer les blockbusters de chez Marvel & DC, bien au contraire ! Déjà, on saluera le retour au premier plan de Michael Keaton, le Batman de la saga de Burton dans un rôle qui semble écrit pour lui. La réalisation du mexicain Alejandro González Iñárritu va elle aussi vous interpeller car Birdman est en fait constitué d'un plan séquence. Si on ne peut que saluer la performance des acteurs (avec un sacré casting) dans cet exercice particulier, pour le spectateur ça reste tout de même assez éprouvant lorsque cela s'étend sur 2H. Un film qui vous entraîne malgré tout irrémédiablement dans sa douce folie.

     

    Il faut le voir pour : Essayer d'aller voir autre chose que les films de super-héros au cinéma !

  • Jason Bourne : L’héritage

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    Un homme vient d’être abattu à la gare de Waterloo en Angleterre et c’est loin d’être un hasard car ce journaliste du Guardian s’apprêtait à dévoiler des informations secrètes liées à Jason Bourne. C’est le début d’une grande vague de nettoyage, on cherche à effacer toute trace du Programme et notre pote Aaron Cross (Jeremy Renner) va vite s’en rendre compte. Alors qu’on tente de l’éliminer, il parvient à faire croire à sa mort avant de réapparaitre dans le Maryland où une fusillade dans un laboratoire fait la une des journaux. A la recherche des médicaments dispensés par le Programme, Aaron se rend chez Marta Shearing (Rachel Weisz), la seule rescapée de ce massacre avec l’espoir qu’elle pourra l’aider.

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    Au revoir Jason Bourne et bonjour Aaron Cross ! La saga tente un nouveau départ en remplaçant Matt Damon par le non moins charismatique et actuellement très demandé Jeremy Renner avec l’espoir de convaincre les fans de la première heure. Bien entendu, Jason Bourne : L’héritage nous ramène à un univers que l’on connait que trop bien et justement ceci amène au constat implacable qu’on ne s’est pas beaucoup foulé pour cet énième film d’action. Ce nouvel agent secret assure à peine le spectacle avec une tonitruante poursuite dans les rues de Manille mais le personnage manque cruellement de caractère. Il en est de même pour Edward Norton tout simplement transparent dans son rôle et au final on se dit que cet héritage va vite se dilapider !

     

    Il faut le voir pour : Vous persuader de l’utilité d’une moto durant les heures de pointe.

  • The dictator

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    A seulement 7 ans, il succédait déjà à son père et allait devenir le dictateur que le monde entier connait aujourd’hui. Hafez Aladeen (Sacha Baron Cohen) règne sur la république de Wadiya et les grandes puissances sont inquiètes d’apprendre que ce tyran possède l’arme nucléaire. L’ONU n’a d’autres choix que d’intervenir et somme Aladeen de s’expliquer sur cette menace potentielle et celui-ci va alors se rendre aux Etats-Unis pour plaider sa bonne foi. Il est cependant loin de se douter que son oncle Tamir (Ben Kingsley), qui lui a suggéré cette idée, s’apprête à le trahir en tentant de l’éliminer et de le remplacer par un sosie. Le dictateur parvient à s’échapper mais désormais démuni de sa légendaire barbe comment va-t-il pouvoir retrouver sa place ?

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    C’est une recette désormais bien connue que nous sort l’excentrique Sacha Baron Cohen qui vient  donc agrémenter sa galerie de personnages loufoque d’un dictateur omnipotent. Si avec Borat ou Brüno, l’artiste était parti dans des délires souvent invraisemblables il reste étonnamment sage dans ses nouvelles aventures. Il n’y a guère que la scène de l’accouchement qui nous permet de retrouver un peu de la folie qui le caractérise, le reste est amusant mais anecdotique. Pas de doute que The dictator arrivera à vous faire rire (ça vaudrait mieux pour vous sinon il vous exécute !) mais on sait aussi que l’acteur est capable d’aller tellement plus loin notamment dans la provocation.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire qu’un missile n’a pas besoin d’avoir un bout pointu !

  • Moonrise Kingdom

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    C’est la panique sur l’ile de New Penzance et notamment au Camp Ivanhoe où un scout manque à l’appel. Notre pote Sam (Jared Gilman) s’est en effet fait la belle en laissant derrière lui une lettre où il explique qu’il ne se sent pas à sa place et qu’il préfère quitter les scouts. Responsable de cette troupe, le Chef Ward (Edward Norton) prévient immédiatement les autorités et notamment le Capitaine Sharp (Bruce Willis) pour retrouver sa trace mais ce ne sera pas facile car Sam est un scout de premier ordre. D’ailleurs, on retrouve celui-ci à l’autre bout de l’ile car sa fuite était en fait un rendez-vous planifié de longue date avec Suzy (Kara Hayward).

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    Il est difficile de rester insensible face au cinéma de notre pote Wes Anderson qui nous avait déjà offert une drôle de virée A bord du Darjeeling Limited. Une fois encore, il nous embarque dans une histoire assez incroyable mettant en scène 2 adolescents marginaux et qui n’ont peur de rien ! Décalé et totalement imprévisible, Moonrise Kingdom a néanmoins toutes les chances une fois de plus de diviser le public. L’esprit du film fait un peu penser à ce que nous offre le cinéma des Frères Cohen ; des situations burlesques portées par des personnages toujours plus atypiques. Emporté dans un véritable voyage, on appréciera essentiellement la fraicheur qu’apporte le film dans le paysage cinématographique américain.

     

    Il faut le voir pour : Vous procurer un porte-voix pour communiquer en famille !

  • Stone

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    Notre pote Jack Mabry (Robert De Niro) est un psychologue qui travaille au sein d’une prison. Il a en outre la charge d’évaluer l’état des détenus et de déterminer si ceux-ci peuvent effectivement être remis en liberté. L’heure de la retraite approche mais il tient à finaliser les dossiers qu’il a commencés et le cas de Gerald "Stone" Creeson (Edward Norton) va lui donner du fil à retordre. Ce prisonnier a été condamné pour avoir mis le feu à la maison de ses grands-parents et a déjà effectué 8 ans de prison pour ce crime. Ce cas laisse Jack perplexe d’autant plus lorsque Lucetta (Milla Jovovich), la femme de Stone se met à le harceler d’abord au téléphone puis en venant à sa rencontre.

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    A priori, on s’attend à ce que le scénario de Stone s’oriente vers un chantage mené par un prisonnier pour obtenir sa liberté. Au lieu de quoi ce film devient un espèce de jeu d’échec psychologique confrontant les 2 stars que sont Edward Norton & Robert De Niro et au milieu desquels Milla Jovovich joue la reine de cœur. Très franchement, tout ça finit par nous endormir ; on n’est pas plus convaincu par le jeu des acteurs que par les manipulations des personnages. La seule chose qui pourrait titiller votre intérêt c’est de voir Norton avec des dreadlocks, c’est un peu léger pour vous convaincre de payer une place de ciné n’est-ce-pas ?

     

    Il faut le voir pour : Penser à aller à la messe dimanche prochain.

  • L’incroyable Hulk

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    Quelque part au cœur des favelas brésiliens, un homme se cache. Il s’appelle Bruce Banner (Edward Norton) et est l’un des plus grands scientifiques au monde mais une de ses expériences a mal tourné bouleversant sa vie. Aujourd’hui, il est recherché par l’armée américaine avec à sa tête le Général Thunderbolt Ross (William Hurt) qui souhaite le capturer vivant car il renferme une arme surpuissante. Quand Bruce perd le contrôle de lui-même, il se transforme en une créature verte monstrueuse incontrôlable et à la force incommensurable ; il est Hulk !

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    C’est le retour du géant vert sur le grand écran ; un come-back qui devrait satisfaire les fans de la première heure qui avaient été pour le moins décontenancés par l’œuvre lyrique d’Ang Lee. A la caméra, c’est le frenchie Louis Leterrier qui explose tout avec un duo Edward Norton / Tim Roth qui ferait bien des envieux. L’incroyable Hulk ne perd pas de temps, les malheurs de Bruce sont condensés dans le générique d’ouverture pour laisser ensuite place à 2 heures de baston exposés aux fortes doses de radiations Gamma. Blockbuster efficace, notre pote Hulk reprend des couleurs et signe un retour fracassant.

     

    Il faut le voir pour : Jeter tous vos pantalons violets.

  • Jack - Fight Club

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    Jack : Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

  • Kingdom of heaven

     

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    1185, Balian (Orlando Bloom) est un forgeron dont la vie semble désormais vouée au désespoir. Un grand malheur vient en effet de le frapper puisque sa compagne de toujours vient de mettre fin à ses jours suite à la disparition de leur fils. Il reçoit la visite impromptue d’une troupe avec à sa tête un certain Godefroy d’Ibelin (Lliam Neeson) qui se révèle être son père et qui lui demande de le suivre pour en faire son héritier. Après quelques hésitations, ils partent vers Jérusalem, fief du roi Beaudoin IV (Edward Norton) mais leur route sera semée d’embûches et les choses ne se dérouleront donc pas comme ils l’avaient espéré.

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    Fresque historique mettant en scène le roi Beaudoin IV et son entourage face aux troupes de Saladin, Kingdom of Heaven est un film d’action comme on les aime. Le héros est incarné par Orlando Bloom que vous connaissez pour son interprétation du très classe Légolas dans la trilogie du Seigneur des anneaux mais qui manque ici de caractère. Il peine vraiment à s’imposer parmi la pléiade de personnages comme Guy de Lusignan ou Tiberias interprété par le génial Jeremy Irons sans oublier Edward Norton présent sans être visible. Ridley Scott nous gratifie donc d’un film plutôt musclé et assez violent au niveau des combats (cela pourrait vraiment choquer les plus sensibles d’entre vous) mais tout cela sert à renforcer le caractère spectaculaire de la chose.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros ! 

  • L’illusionniste

     

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    Ils se sont connus enfants, ils se sont aimés mais cet amour leur est impossible. Elle, c’est la Duchesse Sophie Von Teschen (Jessica Biel) et Eisenheim (Edward Norton), lui n’est pas tout à fait du même monde. Du temps a passé et notre pote est devenu un grand maitre de l’illusion et se produit désormais dans un spectacle qui rencontrera rapidement un vif succès. Lors d’une de ses représentations dans la ville de Vienne, il retrouve celle qui n’a jamais cessé d’aimer mais son arrivée dérange certaines personnes hauts-placées.

     

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    Mouais, j’étais déjà pas convaincu par l’affiche mais je voulais laisser une chance à ce film d’une part pour la belle Jessica Biel et d’autre part pour Edward Norton, comédien que j’apprécie particulièrement. L’illusionniste pèche par une réalisation très monotone où les seules scènes intéressantes restent encore les tours perpétrés par Eisenheim. Bien que prévisible, le dénouement relève un niveau bien bas mais j’ai peur que ce film ne fasse pas illusion bien longtemps dans les salles obscures !!

     

    Il faut le voir pour : Continuer à croire à la magie.

  • Tyler Durden - Fight Club

     

    Tyler Durden : Les choses qu'on possède finissent par nous posséder