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Premières Impressions 2013 - Page 13

  • Les derniers jours

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    Pour notre pote Marc (Quim Gutiérrez) ce n’est pas la grande joie actuellement puisqu’il a sur le dos la Direction des Ressources Humaines et notamment Enrique (José Coronado). On lui met en effet une grande pression afin qu’il finalise un protocole informatique sinon il n’est pas impossible qu’il soit purement et simplement viré ! Cette épée de Damoclès qui plane au-dessus de sa tête le perturbe et l’empêche même de dormir mais un évènement étrange va tout remettre en cause. Il y a d’abord eu des cas isolés, des personnes que l’on croyait fou et qui prétendaient ne pas pouvoir sortir de chez eux ; on évoquait alors pour la première fois ces crises de panique. Un jour, ce mal s’est soudainement généralisé et Barcelone se retrouve ainsi complètement paralysée.

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    Vous reprendrez bien une petite louche d’ambiance fin du monde, non ? Avec Les derniers jours, on embarque pour une ville de Barcelone frappée par une épidémie étrange où l’humanité se retrouve condamnée à vivre enfermée. C’est sur que ça nous change des proliférations de zombies mais ce phénomène dit de panique parait bien léger et ça se ressent à l’écran puisque le film offre un spectacle limité. Il faut se contenter de l’attaque d’un supermarché ou des rues désertes de la capitale catalane, ce qui est loin de marquer les mémoires. Une chose est sure ; ça ne suffira pas pour convaincre tous les spectateurs de rester enfermés dans la salle de cinéma !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus sortir de chez vous !

  • Je ne suis pas mort

    cinéma, film, drame, Je ne suis pas mort,  Mehdi Dehbi, Maria de Medeiros, Emmanuel Salinger, Driss Ramdi, Judith Davis, Laurent Bateau, Albert Delpy, Slimane Dazi, Mehdi Ben Attia

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    Notre pote Yacine (Mehdi Dehbi) vit avec son frère Jamel (Driss Ramdi) ; il est étudiant et doit aussi gagner sa vie en jouant les coursiers mais difficile pour lui de concilier études et travail. A l’occasion d’une course, il est amené à croiser Richard (Emmanuel Salinger) qui se trouve être un de ses professeurs et les deux hommes semblent s’entendre à merveille. Le professeur invite d’ailleurs l’étudiant à assister à sa remise de la légion d’honneur ce que Yacine accepte avec plaisir mais la soirée va se terminer de façon bien étrange. Une rupture d’anévrisme emporte Richard du moins c’est ce que croient ses proches puisqu’en fait il s’est réveillé dans le corps de Yacine !

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    Son premier film Le fil était déjà déconcertant, celui-ci l’est tout autant puisqu’on assiste au transfert d’un esprit dans un autre corps. Un scénario qui laissait augurer d’une comédie mais Je ne suis pas mort s’oriente davantage vers le drame ; Richard découvrant la vie de Yacine et les difficultés qu’il traverse. En parlant des personnages justement, on tombe assez vite sous le charme d’Emmanuel Salinger et de Mehdi Dehbi formant même un trio avec Maria de Medeiros. Un film atypique c’est certain qui traite aussi bien de l’identité que des rapports Père / Fils mais des sujets qui sont à peine effleurés qui ternissent l’intérêt de l’ensemble.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais porter le costume d’un autre, on ne sait jamais …

  • Cha cha cha

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    Cela fait des jours que notre pote Corso (Luca Argentero), un ancien flic de la BAC devenu détective privé suit le jeune Tommaso (Jan Tarnovskiy). C’est Michelle (Eva Herzigova), la propre mère de l’adolescent qui a demandé à surveiller son fils car elle s’inquiète sur certaines de ses fréquentations et craint que cela lui attire des ennuis. Malheureusement pour elle c’est une funeste prédiction puisque Tommaso meurt après un terrible accident de voiture. Corso était sur les lieux lorsque c’est arrivé et n’a rien pu faire pour le sauver cependant il découvrira vite que ce qui semblait n’être qu’un accident était en fait prémédité. Pourquoi aurait-on voulu faire disparaitre ce garçon à priori sans histoires ?

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    On participe (enfin c’est un grand mot) à l’enquête d’un détective privé qui joue les chaperons avant de se rendre compte qu’il est en fait impliqué dans une affaire de plus grande envergure. En dépit de quelques révélations, le scénario reste bien basique et associé à une réalisation digne d’un bon téléfilm tout cela fait qu’on a bien du mal à se passionner pour Cha cha cha. Ce n’est pas non plus le couple Eva Herzigova / Luca Argentero qui va venir sauver ce thriller italien dont le seul véritable intérêt reste de comprendre son titre avec une explication bien artificielle ce qui correspond finalement bien au film.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller ce que vos enfants postent  sur Facebook !

  • American nightmare

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    2022. La violence a baissé de façon drastique aux Etats-Unis grâce aux nouveaux Pères fondateurs qui ont instauré la Purge. Chaque 21 Mars et durant 12 heures, l’Etat légalise les crimes incitant ainsi chaque américain à libérer sa bestialité accumulée pour cette soirée particulière et le pays baigne ainsi dans le sang. Pour notre pote James Sandin (Ethan Hawke), la Purge lui a permis de faire fortune puisqu’il vend des systèmes de sécurité et a notamment su convaincre tout son voisinage de s’équiper. Une nouvelle nuit sanglante s’annonce ; James et sa famille vont se barricader chez eux mais un évènement inattendu va remettre en cause leur sécurité.

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    On part donc sur un principe fort et simple : pendant une nuit nos cousins américains ont le droit de laisser libre court à leurs plus vils instincts. Un scénario aussi extrême aurait donc pu donner l’occasion d’une réflexion approfondie sur l’Homme et son rapport avec la violence mais ce serait trop en demander à American nightmare. Il faudra juste se contenter d’un banal film d’épouvante-horreur où une famille cherche à survivre dans une maison où les dangers peuvent surgir de tous les cotés et qui va se transformer en champs de bataille. Ethan Hawke joue les bons pères de famille et dézingue ses assaillants mais rien d’extraordinaire à signaler pour le spectateur.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de rester aux Etats-Unis le 21 Mars.

     

    En savoir plus sur American nightmare 2 : Anarchy ?

  • Oggy et les cafards

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    Entre notre pote Oggy et les 3 cafards que sont Joey, Dee-Dee et Marky c’est une histoire qui dure depuis des millénaires et ça remonte même à l’époque où l’on a découvert le feu. D’ailleurs, Oggy en a une peur bleue car traumatisé dans son enfance mais bien malgré lui, il va devoir partir à l’aventure pour récupérer du feu. On le retrouve aussi au temps des chevaliers où il porte les habits d’un jeune prince plus doué pour la broderie ou la capture de papillons que pour la chasse aux dragons au grand dam de ses parents. Puis c’est à Londres en compagnie de son cousin Jack portant l’habit d’un célèbre détective qu’ils doivent déjouer un complot visant la Reine d’Angleterre !

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    Je ne connaissais pas Oggy et les cafards, un dessin animé crée par Jean-Yves Raimbaud & Olivier Jean-Marie diffusé notamment sur France 3. Le terme du film est galvaudé puisqu’il s’agit en fait de la réunion de 3 épisodes et demi (la parodie de Star Wars étant en effet relativement courte et c’est bien dommage). Si comme moi vous ne connaissez pas l’univers de ce chat déjanté, vous serez d’abord surpris par l’absence de dialogues ; tous les échanges s’effectuant à travers bruitages ou miaulements. Même si je ne raffole pas du design des personnages ; on passe un bon moment mais on aurait apprécié que la dernière partie visuellement très réussie soit plus développée, les fans quant à eux se seront sans doute déjà rués en salle.

     

    Il faut le voir pour : Acheter une tapette pour chasser les cafards !

  • Landes

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    Après la mort de son mari, notre pote Liéna (Marie Gillain) s’est lancé dans le pari fou de reprendre la gestion d’un domaine de plus de 8000 hectares. Elle souhaite en effet accomplir un vœu cher à son défunt époux qui est d’amener l’électricité dans les Landes. Une volonté qui n’est pas sans provoquer de vives protestations en cette période de crise et en sachant que les métayers sont en grève depuis des mois. Le fait qu’une femme cherche à imposer ses idées semble également être difficile à accepter. En dépit de tous les obstacles qui se dressent devant elle, Liéna va avec l’aide précieuse d’Iban (Jalil Lespert) mener un long combat au terme duquel brillera peut-être la lumière.

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    Et la lumière fut ! Avec Landes, on apprend à faire connaissance avec une femme forte incarnée avec grande conviction par l’impeccable Marie Gillain. Là où ce premier film de François-Xavier Vives a plus de mal à nous convaincre c’est dans son sujet assez casse-gueule ; difficile de susciter l’enthousiasme du spectateur vis-à-vis de l’électricité telle qu’elle est considérée aux yeux du personnage de Liéna. Niveau réalisation ça nous laisse aussi indifférent si bien qu’au final  ce portrait certes sans fautes dans l’interprétation mais n’arrive jamais réellement à nous faire participer à cette révolution sociale.

     

    Il faut le voir pour : Repenser au film quand vous allumerez vos lumières à la maison !

  • Texas Chainsaw 3D

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    Heather (Alexandra Daddario) tombe de haut lorsqu’elle apprend la mort d’une grand-mère qu’elle ne connaissait pas et ses parents lui révèlent alors qu’elle a été adoptée. Afin de mettre un peu d’ordre dans cette histoire, elle part à Newt au Texas avec ses potes d’enfance Nikki, Ryan & Kenny (Tania Raymonde, Trey Songz & Keram Malicki-Sanchez) où l’attend la maison dont elle a hérité. Elle est encore loin de se douter qu’elle ne connait qu’une partie de la vérité car sa vraie famille, les Sawyer, est tristement connue dans la région. Des années auparavant, un terrible incendie provoquée par les habitants de la ville a décimé les membres de cette famille mais on ignorait qu’il restait en fait un survivant.

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    Plus connu chez nous sous le titre de Massacre à la tronçonneuse, ce nouvel épisode n’est pas un remake puisqu’on y a déjà eu droit ; ce Texas Chainsaw 3D se veut donc une suite directe de l’épisode originale de 1974. Ce n’est pas pour autant qu’on allait échapper à l’habituel groupe de jeunes constitué de nanas bien carrossées et de mecs musclés réunis pour se faire gentiment trucider. Le seul intérêt de cet épisode c’est évidemment cette exploitation en 3D qui permet aux spectateurs de voir d’un peu plus près la chaine de tronçonneuse de notre pote Leatherface ce qui est bien loin de justifier le prix d’un billet de cinéma. Du déjà-vu à réserver aux fans du genre.

     

    Il faut le voir pour : Préparer des crêpes si vous voulez emballer !

  • R.I.P.D. Brigade fantôme

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    Notre pote Nick Walker (Ryan Reynolds) vient de mourir. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais en réalité elle ne vient que de commencer puisqu’il va se retrouver dans les bureaux du Rest In Peace Department autrement dit la Brigade fantôme. Leur objectif est de neutraliser les monstres qui ont réussi à rester sur Terre et Nick accepte son nouveau rôle en espérant pouvoir revoir ainsi sa femme Julia (Stephanie Szostak). Il ignore encore tout de cet univers qui est le sien désormais mais son partenaire Roicephus Pulsipher (Jeff Gridges) va vite le mettre au parfum et ces 2 flics ne manqueront pas de boulot. Ils sont en effet sur une affaire de vol d’or mais dont l’enjeu est bien plus important qu’ils ne le pensaient.

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    Même si l’idée fait penser aux célèbres Men In Black, R.I.P.D. Brigade fantôme partait sur de bonnes bases pour nous faire passer un bon moment. C’est vrai qu’il était plutôt amusant de voir le duo Bridges / Reynolds partir à la chasse aux monstres avec notamment une belle trouvaille pour bosser incognito. En dehors de ça, pas grand-chose d’autre à signaler ; la comédie sent le réchauffé manquant d’humour, de dérision bref de quoi nous éclater vraiment. De la déception et un sentiment de gâchis devant une comédie qui ne dépassera pas le stade d’un simple amusement et c’est bien dommage.

     

    Il faut le voir pour : Si vous sortez avec une belle blonde, invitez la au restaurant indien.

  • Insaisissables

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    Ils se font appeler les Four Horsemen et viennent de livrer un spectacle extraordinaire à Las Vegas où ils ont tout simplement dévalisé une banque à Paris. Le public s’est ainsi partagé 3 millions d’euros mais l’affaire n’a pas échappé au F.B.I. ni à Interpol qui s’empressent d’arrêter Daniel Atlas, Merritt McKinney, Henley & Jack Wilder (Jesse Eisenberg, Woody Harrelson, Isla Fisher & Dave Franco). Difficile de les condamner pour un spectacle de magie ; Dylan Rhodes (Mark Ruffalo) le sait et il n’est pas au bout de ses peines car le quatuor a encore deux autres shows à assurer et ils promettent de nous en mettre encore plein les yeux. Pour l’aider dans son enquête, Dylan va recevoir l’aide d’Alma Dray (Mélanie Laurent) mais aussi celle de Thaddeus Bradley (Morgan Freeman) spécialiste de la magie.

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    Un braquage qui prend la forme d’un spectacle de magie, ce simple concept suffit pour s’intéresser à Insaisissables et puis derrière cette production américaine il y a le français Louis Leterrier. Déjà, il a la chance de bénéficier d’un splendide casting avec entre autres Michael Caine, Morgan Freeman ou encore Mark Ruffalo. Entre illusions optiques et diversions, le spectacle est assuré d’autant plus que coté action, on n’est pas en reste ; le réalisateur de L’incroyable Hulk ou Le choc des Titans récitant les gammes qu’il a apprise à Hollywood. Là où c’est moins brillant c’est cette romance attendue avec Mélanie Laurent qui fait davantage ralentir le film qu’autre chose autrement la magie opère et on a un excellent divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre quelques tours de magie !

  • Les schtroumpfs 2

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    Chaque année à l’approche de son anniversaire, la pauvre Schtroumpfette fait ce cauchemar récurrent où elle redevient la créature agissant aux ordres de son "père", l’horrible sorcier Gargamel (Hank Azaria). Heureusement que le Grand Schtroumpf est là pour la rassurer d’autant plus qu’elle ignore que tout le village lui réserve une grande fête. Elle n’aura pas le temps de le savoir puisqu’elle est enlevée par Vexy et ramenée dans le monde des humains où l’attend Gargamel ! Pas de schtroumpf à perdre ; une équipe de schtroumpfs s’apprête à la rejoindre mais ce ne sont pas vraiment ceux que le Grand schtroumpf avait prévu d’amener. Il faudra faire avec, il leur faut maintenant demander l’aide de leur potes d’enfance Patrick (Neil Patrick Harris).

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    Bon ba voilà, c’était inévitable les hommes bleus sont de retour avec Les schtroumpfs 2 et après avoir mis à sac New York, voilà qu’ils s’attaquent à notre bonne vieille ville lumière qu’est Paris. Entre deux escargots, les célèbres créatures crées par Peyo repartent pour de nouvelles aventures et pour satisfaire le public, c’est une nouvelle équipe qui se forme mais c’est loin d’être suffisant pour nous séduire ! On attendait mieux du passage dans la capitale française, s’il y a bien l’Opéra Garnier (encore que ça laissera les enfants indifférents) ou la grande roue qui devient folle ; on doit se contenter de chambres d’hôtel ou des égouts de la ville ce qui est assez triste. Bien sur, pour les enfants la seule présence des schtroumpfs suffit à passer un bon moment mais tout même ça a de quoi nous faire voir bleu … pardon rouge !

     

    Il faut le voir pour : Ajouter Azraël dans vos contacts Facebook !


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