Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

stephanie szostak

  • R.I.P.D. Brigade fantôme

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Nick Walker (Ryan Reynolds) vient de mourir. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais en réalité elle ne vient que de commencer puisqu’il va se retrouver dans les bureaux du Rest In Peace Department autrement dit la Brigade fantôme. Leur objectif est de neutraliser les monstres qui ont réussi à rester sur Terre et Nick accepte son nouveau rôle en espérant pouvoir revoir ainsi sa femme Julia (Stephanie Szostak). Il ignore encore tout de cet univers qui est le sien désormais mais son partenaire Roicephus Pulsipher (Jeff Gridges) va vite le mettre au parfum et ces 2 flics ne manqueront pas de boulot. Ils sont en effet sur une affaire de vol d’or mais dont l’enjeu est bien plus important qu’ils ne le pensaient.

    01.jpg

    Même si l’idée fait penser aux célèbres Men In Black, R.I.P.D. Brigade fantôme partait sur de bonnes bases pour nous faire passer un bon moment. C’est vrai qu’il était plutôt amusant de voir le duo Bridges / Reynolds partir à la chasse aux monstres avec notamment une belle trouvaille pour bosser incognito. En dehors de ça, pas grand-chose d’autre à signaler ; la comédie sent le réchauffé manquant d’humour, de dérision bref de quoi nous éclater vraiment. De la déception et un sentiment de gâchis devant une comédie qui ne dépassera pas le stade d’un simple amusement et c’est bien dommage.

     

    Il faut le voir pour : Si vous sortez avec une belle blonde, invitez la au restaurant indien.

  • The dinner

    aff1.jpg

    Coincé au 6ème étage, notre pote Tim Wagner (Paul Rudd) a l’opportunité de décrocher la promotion qu’il espérait tant. Ce courtier a tenté un pari risqué en prenant contact avec le millionnaire Müeller (David Walliams) et si celui-ci venait à confier son portefeuille d’action à la société, ce serait le jackpot pour Tim. Toutefois, il lui reste une étape importante à franchir ; un diner ce samedi en compagnie de M. Fender (Bruce Greenwood). Un repas particulier puisqu’il faudra venir accompagné d’un invité un peu spécial. Est-ce le destin qui a ainsi placé Barry (Steve Carrell), un mec dont le hobby est d’empailler des petites souris, sur le chemin de Tim.

    02.jpg

    Qui ne connait pas Le diner de cons que ce soit au théâtre ou bien au cinéma avec le film de Francis Weber ? Une fois encore les américains ont eu la mauvaise idée d’acheter les droits pour mettre en production ce remake fadasse. Si Steve Carrell avait effectivement les épaules pour reprendre le rôle de notre regretté Jacques Villeret, son personnage est traité comme un débile profond. L’humour est devient donc rapidement très lourd et on se dit que ceux qui sont pris pour des cons ce sont ceux qui regardent le film en question. Seul intérêt de The dinner, une introduction séduisante après cela, vous pouvez passer à autre chose.