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judith davis

  • Je ne suis pas mort

    cinéma, film, drame, Je ne suis pas mort,  Mehdi Dehbi, Maria de Medeiros, Emmanuel Salinger, Driss Ramdi, Judith Davis, Laurent Bateau, Albert Delpy, Slimane Dazi, Mehdi Ben Attia

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    Notre pote Yacine (Mehdi Dehbi) vit avec son frère Jamel (Driss Ramdi) ; il est étudiant et doit aussi gagner sa vie en jouant les coursiers mais difficile pour lui de concilier études et travail. A l’occasion d’une course, il est amené à croiser Richard (Emmanuel Salinger) qui se trouve être un de ses professeurs et les deux hommes semblent s’entendre à merveille. Le professeur invite d’ailleurs l’étudiant à assister à sa remise de la légion d’honneur ce que Yacine accepte avec plaisir mais la soirée va se terminer de façon bien étrange. Une rupture d’anévrisme emporte Richard du moins c’est ce que croient ses proches puisqu’en fait il s’est réveillé dans le corps de Yacine !

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    Son premier film Le fil était déjà déconcertant, celui-ci l’est tout autant puisqu’on assiste au transfert d’un esprit dans un autre corps. Un scénario qui laissait augurer d’une comédie mais Je ne suis pas mort s’oriente davantage vers le drame ; Richard découvrant la vie de Yacine et les difficultés qu’il traverse. En parlant des personnages justement, on tombe assez vite sous le charme d’Emmanuel Salinger et de Mehdi Dehbi formant même un trio avec Maria de Medeiros. Un film atypique c’est certain qui traite aussi bien de l’identité que des rapports Père / Fils mais des sujets qui sont à peine effleurés qui ternissent l’intérêt de l’ensemble.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais porter le costume d’un autre, on ne sait jamais …

  • Je te mangerais

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    Parce qu’elle doit suivre des cours au Conservatoire de Lyon, Marie (Judith Davis) s’est installée chez sa pote d’enfance Emma (Isild Le Besco). Marie doit travailler avec acharnement pour devenir une grande pianiste mais ce n’est pas les tentations qui manquent autour d’elle. Contre toute attente, c’est Emma qui va lui faire perdre complètement la tête ; après un premier baiser échangé, celle-ci semble totalement subjuguée par marie. Cette dernière est troublée et la cohabitation devient chaque jour plus compliquée jusqu’à devenir insupportable.

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    Une femme amoureuse est une femme dangereuse et ça vous devriez tous le savoir ! C’est sous les traits de la douce Isild Le Besco que prend forme cette prédatrice un peu timbrée sur les bords. Par ailleurs, c’est un peu ce qui manque à Je te mangerais ; un peu plus de folie de la part de ce personnage aurait pu permettre d’emballer le film. Toutefois, le duo formé avec Judith Davis ne manque pas de force & de charme et Sophie Laloy signe une première réalisation plutôt réussie, à découvrir donc.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas fréquenter des pianistes, c’est la merde quand ils vous demandent de déménager leur piano !