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  • M. Peabody et Sherman : Les voyages dans le temps

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    Parce que ce n’était pas un chien comme les autres et qu’aucune famille n’a voulu l’adopter, M. Peabody s’est consacré au savoir. Ça lui a permis de finir Médor de sa promotion à Harvard et son génie ne semble pas avoir de limites puisqu’il a crée une machine incroyable capable de voyager dans le passé : le Chronomat ! Une invention qui lui a été inspirée par son fils Sherman à qui il enseigne de façon originale l’Histoire à travers de folles aventures. Attention tout de même car il ne s’agit pas d’un jouet et Sherman va faire une petite boulette puisque sa nouvelle pote d’enfance Penny va se retrouver coincée en pleine Egypte ancienne.

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    C’est la dernière création de chez Dreamworks animation et ça pourrait bien réconcilier quelques enfants avec l’Histoire. Association d’un génie qui a du chien et d’un gamin attendrissant de naïveté, ces personnages sont en fait issus d’un dessin animé datant des années 1960. M. Peabody et Sherman : Les voyages dans le temps propose ainsi de visiter plusieurs époques et la rencontre de célèbres personnages le tout mêlé d’une bonne dose de fun. Des graphismes mignons tout plein, de l’humour tout est là pour réunir les familles et on a maintenant qu’une question à l’esprit ; à quand les prochaines aventures avec des voyages dans le futur ?

     

    Il faut le voir pour : Apprendre ce qui a fait sourire Mona Lisa !

  • Les trois frères, le retour

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    Un reliquat de l’héritage de leur mère ! Voilà ce qui va de nouveau réunir les 3 frères que sont Pascal, Didier & Bernard (Pascal Légitimus, Didier Bourdon & Bernard Campan). Une fois encore, ils vont être déçus car s’ils ont l’occasion de récupérer les cendres de leur mère, ils se retrouvent surtout avec une nouvelle dette à régler. Si de leurs cotés, Pascal & Didier  trouvent une belle combine pour protéger leurs précieuses économies, c’est finalement Bernard qui devient le dindon de la farce. Et ça tombe plutôt mal puisqu’il reçoit la visite de sa fille Sarah (Sofia Lesaffre) qui a besoin d’argent pour son inscription à la fac. Ça aurait pu être de belles retrouvailles mais celles-ci vont tourner courts et les 3 frères vont encore se retrouver dans une sacrée galère !

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    Comme pour beaucoup de monde, Les trois frères représente une comédie culte et c’est pourquoi l’annonce d’une suite 18 ans après s’accompagne d’une vraie excitation mêlée à un peu d’inquiétude. Pas besoin d’aller plus loin pour dire qu’on se marre, les Inconnus sont de nouveau réunis et le plaisir de les revoir s’accompagne toujours de bonnes tranches de rires. Néanmoins, il faut souligner un scénario mince voire même un copier/coller de certaines situations avec le premier épisode puisqu’on retrouve la découverte d’un enfant, Didier qui se retrouve dans une famille coincée et qui est ensuite défoncé en compagnie de Bernard ... On en vient presque à se demander si ils nous ont fait Les trois frères, le retour ou Les trois frères, le remake.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver de vieux potes d'enfance !

     

    En savoir plus sur Les trois frères ?

  • Les rayures du zèbre

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    La Côte-d’Ivoire, c’est une destination que notre pote José Stockman (Benoit Poelvoorde) connait par cœur. Ce recruteur a en effet ramené de nombreux joueurs de football jusqu’en Belgique et à l’entendre il a le nez et surtout le flair pour repérer les futurs talents. Son regard s’est arrêté cette fois sur Yaya Koné (Marc Zinga) à qui il promet une grande carrière avec comme première expérience une place chez les zèbres de Charleroi. Une fois en Belgique, les choses ne se déroulent pas exactement comme prévu ; le jour du test sur le terrain, Yaya n’est pas au top de sa forme et puis le rapport rédigé par un observateur qui s’est rendu expressément à Abidjan n’arrange pas vraiment les choses.

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    Qu’on se rassure tout de suite, pas besoin d’être un grand passionné du ballon rond pour apprécier Les rayures du zèbre. Ici on s’intéresse surtout aux coulisses et notamment au rôle prépondérant du recruteur incarné par Benoit Poelvoorde ayant son terrain de chasse en Afrique connu pour être un vivier de jeunes footballeurs talentueux. C’est l’occasion de découvrir un monde cruel où les joueurs sont surtout considérés comme de vulgaires marchandises avec tout de même quelques notes d’humour. Pas grand-chose à retenir de ce film ; un portrait acerbe mais quand même pas appuyé suffisamment pour marquer l’esprit des spectateurs si bien qu’on finira par l’oublier assez vite.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous faites une marche arrière en voiture !

  • American bluff

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    Fils de vitrier, notre pote Irving Rosenfeld (Christian Bale) a repris l’activité de son père mais s’est surtout diversifié en faisant l’acquisition de quelques pressings et surtout en montant de belles arnaques. Un jour, il rencontre Sydney Prosser (Amy Adams) et ça semble être un vrai coup de foudre à tel point qu’il décide de lui révéler toute la vérité sur ses activités. Il trouve ainsi non seulement l’amour mais aussi une nouvelle partenaire qui va l’aider à monter ses combines. Le duo fonctionne à merveille jusqu’au moment où ils attirent dans leurs filets un certain Richie DiMaso (Bradley Cooper) qui se trouve être un agent de la CIA. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça va être le début d’une improbable collaboration.

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    Inspiré en partie par une histoire vraie, American bluff brille d’abord par son beau casting puisqu’on retrouve autour de ce trio Robert De Niro, Jeremy Renner ou encore Jennifer Lawrence. Très vite cependant, le film de David O. Russel (Happiness Therapy, Fighter …) perd de son éclat car l’histoire s’étire sur 2H18 et, sans véritables rebondissements, il est difficile de ne pas trouver parfois le temps long. Même si la transformation de Bale est bluffante, qu’on prend plaisir (ça ne sera peut-être pas le cas pour tout le monde) à avoir le regard plongé dans le décolleté d’Adams ; on finit surtout par se dire qu’on est passé à coté de quelque chose qui aurait pu être bien plus fun.

     

    Il faut le voir pour : Vous demander si vous n’auriez rien oublié au pressing !

  • RoboCop

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    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des machines afin d’assister l’armée américaine dans ses interventions à travers le monde. Cependant, pour la société Omnicorp il y a un gros marché qui lui échappe encore ; celui des Etats-Unis où l’opinion public reste hostile face à ces machines. Les choses pourraient bien changer puisque Detroit va assister à la naissance d’un nouvel héros. L’officier de police Alex Murphy (Joel Kinnaman) a été victime d’une terrible explosion qui l’a lourdement handicapé devenant ainsi un sujet d’expérimentation pour Omnicorp. Sous la tutelle du Dr Norton (Gary Oldman), Alex est totalement transformé pour devenir celui que l’on appellera désormais RoboCop.

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    27 ans après la première adaptation dirigée par Paul Verhoeven, le héros a droit à un petit reboot marquant peut-être le début d’une nouvelle saga au cinéma. La bonne idée vient du fait de confier la réalisation à José Padilha qui nous avait séduit avec son Tropa de Elite, une promesse qui ne sera qu’illusoire. Si on ne s’attendait pas forcément à une grande claque, on espérait quand même avoir droit à un petit pop-corn movie histoire de se vider la tête mais ce n’est pas vraiment le cas. La faute avant tout à de bonnes scènes d’action assez rares puisqu’il faut juste se contenter d’un RoboCop tirer dans tous les sens et parfois même en conduisant sa superbe moto. Tout ça manque donc de panache pour séduire.

     

    Il faut le voir pour : (Re)-Découvrir le cousin des Daft Punk !

  • Jack et la mécanique du cœur

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    Notre pote Jack est né le jour le plus froid du monde si bien que son cœur fut gelé lorsqu’il est sorti du ventre de sa mère. C’est grâce à Madeleine qu’il devra sa survie, elle lui a en effet installé une horloge mécanique qui fait office de cœur. C’est elle également qui va l’élever puisque sa mère l’abandonnera en plein milieu de la nuit. Ce n’est qu’à l’âge de 10 ans que Jack aura le droit de se promener dans les rues animées d’Edimbourg puisque Madeleine a toujours cherché à le protéger car son cœur mécanique est extrêmement fragile. C’est à ce moment-là qu’il va faire la connaissance de la belle Miss Acacia et il commence alors à ressentir un sentiment incroyable qu’on appelle l’amour.

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    Adapté du livre de Mathias Malzieu qui se trouve aussi être le chanteur du groupe Dionysos qui se trouve pleinement impliqué dans ce projet, Jack et la mécanique du cœur se distingue déjà par son graphisme et son atmosphère. D’un point de vue personnel, on ne peut pas dire que le visuel soit franchement attrayant contrairement et cet environnement panaché d’univers à la Tim Burton, de steampunk et de freak show. La bande originale est soignée mais les quelques chansons en anglais et en espagnol ne parleront pas aux plus jeunes tout comme le personnage de George Méliès ou encore la prestation peu convaincante de Grand Corps Malade. Le charme n’a donc pas vraiment opéré en dépit de cette poétique conclusion, pas de coup de cœur cette fois !

     

    Il faut le voir pour : Oublier les bouquets de lunettes, ça n’a pas beaucoup de succès !

  • Mea culpa

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    Ses nuits sont encore hantées par cet accident qu’il a causé et qui a couté la vie d’une mère et de son enfant. La vie de notre pote Simon (Vincent Lindon) a été brisée et il a du mal à recoller les morceaux. Après avoir purgé une peine de 2 ans de prison, cet ancien flic n’était plus le même ce qui a détruit son couple au milieu de tout ça c’est peut-être son fils Théo (Max Baissette de Malglaive) qui en souffre le plus. Son ancien collègue et pote d’enfance Franck (Gilles Lellouche) tente de le soutenir depuis ce drame mais il est également préoccupé par une série de meurtres. Les évènements se précipitent lorsque le petit Théo devient le témoin d’une exécution devenant ainsi une cible à éliminer.

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    Gilles Lellouche et Vincent Lindon étaient déjà passés devant la caméra de Fred Cavayé avec A bout portant & Pour elle, ils sont maintenant réunis pour ce Mea culpa. Une fois encore c’est un thriller qui vise l’efficacité et qui donc ne prend pas vraiment de risques et certainement pas du coté du scénario même s’il y a une petite surprise qui vous attend. Du coté des personnages également pas beaucoup de relief avec des profils qu’on a vu des milliers de fois. En tout cas, on ne pourra pas dire qu’on s’ennuie avec une bonne petite dose de scènes d’action, c’est un film qui suffit amplement pour se changer les idées mais rien de plus.

     

    Il faut le voir pour : Oublier le TGV pour vos prochains voyages, c’est trop mouvementé !

  • L’ile des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géante 2

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    Alors que notre pote Flint Lockwood vient à peine de sauver Swallow-en-Château de sa machine, il a l’incroyable surprise de voir débarquer son idole Chester V (enfin plutôt son hologramme). Celui-ci s’est en effet engagé à nettoyer l’ile et en attendant, il invite tous nos amis à s’installer temporairement à San Franjose. Mieux encore, il semblerait que le génie de Flint lui ait tapé dans l’œil puisqu’il se voit proposer d’intégrer Live Corp avec l’opportunité incroyable de décrocher sa veste orange. Un beau rêve mais Chester V est-il le bon samaritain qu’il prétend être ? On commence à en douter lorsqu’on apprend que Swallow-en-Château a échappé à tout contrôle et que l’ile est désormais abandonnée aux mains des Miam-nimaux.

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    S’il ne vous avait pas rassasié, notre pote Flint Lockwood revient pour notre plus grand plaisir et surtout celui de notre estomac ! Comme l’indique si bien le titre ; L’ile des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géante 2 donne naissance à d’improbables créatures totalement fantaisistes, croisements de nourritures du quotidien et d’animaux. Ça nous donne un magnifique T-Rex façon Tortillas ou encore cette petite bouille de fraise qu’est Barry qu’on a envie de croquer. Chez Sony Pictures Animation c’est devenu une machine bien huilée ; c’est beau, c’est drôle et ça brille de mille couleurs si bien qu’on embarque avec bonheur et grand appétit pour cette nouvelle aventure.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir de drôles d’animaux !

  • Nymphomaniac Volume 2

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    Seligman (Stellan Skarsgård) en a déjà beaucoup entendu de la vie sexuelle de notre pote Joe (Charlotte Gainsbourg / Stacy Martin) mais elle est loin d’avoir terminé son récit. Après l’excitation de ses retrouvailles avec Jerôme (Shia LaBeouf), la jeune femme a en effet vécu une période difficile où elle avait perdu tout plaisir sexuel ; un vrai drame ! Un plaisir qu’elle espérait retrouver lorsqu’elle donna naissance à leur fils mais il lui faudra finalement attendre sa rencontre avec K (Jamie Bell) pour voir son vœu se réaliser. C’est en effet en sa compagnie qu’elle va découvrir le sadomasochisme mais ce bonheur retrouvé va se faire au détriment de sa famille.

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    On est tout de suite replongé dans l’histoire chaotique de Joe et avec Nymphomaniac Volume 2 et c’est maintenant au tour de Charlotte Gainsbourg de prendre la relève de Stacy Martin à l’écran. Logiquement, on reste sur le même ton avec des scènes toujours aussi sulfureuses, provocantes et on a également droit à un petit hommage à Antichrist. A la vue de cette seconde et dernière partie, il apparait évident que l’œuvre de Lars Von Trier a souffert de cette découpe brutale et qu’on doit considérer Nymphomaniac dans son intégralité. Reste tout de même que ce 2ème volet m’a paru interminable et je n’ose imaginer ce qu’aurait donné un film de plus de 4 heures avec comme sujet le sexe et ses déviances.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de piquer les cuillères au restaurant !

     

    En savoir plus sur Nymphomaniac Volume 1 ?

  • Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal

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    Notre pote Dendé a reçu un appel à l’aide en provenance de la planète Namek et c’est donc tout naturellement que Sangoku, Piccolo et toute la bande vont leur prêter main forte. A leur arrivée, ils sont subjugués par le spectacle qui s’offre devant eux ; une entité est tout simplement en train de dévorer la planète. Sur la terre ferme, les Nameks sont réduits en esclavage par des centaines de robots très coriaces mais nos héros ne sont pas au bout de leurs peines. Alors que les premiers combats débutent, Sangoku a la grande surprise de voir réapparaitre le terrible Cooler revenu à la vie grâce à cette entité qu’il nomme le Grand Gedester. Son corps a été totalement reconstruit mais surtout chaque dégât qu’il subit est immédiatement réparé ce qui le rend invincible.

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    Décidément dans  la famille de Freezer, on est coriace et comme son frère Cooler revient faire parler de lui avec un corps totalement reconstitué. Cette fois, on laisse un peu de répit à la Terre pour se rendre sur Namek et ce Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal est considéré par beaucoup comme l’un des meilleurs films tirés de l’univers de Toriyama. Le combat entre Goku & Cooler est assez passionnant même si les dessins paraissent inégaux et puis on voit aussi arriver notre cher Vegeta lui aussi en mode Super Saiyajin. Pour une fois l’issue de la confrontation est plutôt originale même si la conclusion n’est pas vraiment hauteur. Il n’y a en fait que les quelques passages humoristiques avec Tortue géniale et sa clique qui viennent un peu casser le rythme mais bon ça fait aussi partie du charme de DBZ.

     

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : A la poursuite de Garlic ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Le robot des glaces ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Le combat fratricide ?

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : La menace de Namek ? 

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : La revanche de Cooler ?