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  • I, Frankenstein

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    1795. La créature qui a été crée de toutes pièces par le Docteur Victor Frankenstein (Aden Young) vient tout juste d’enterrer son créateur qu’il est attaqué par des démons. Ces derniers sont envoyés par un certain Naberius (Bill Nighy) mais vont se heurter aux gargouilles venues en aide au monstre de Frankenstein. La reine Leonore (Miranda Otto) voit en lui un énorme potentiel dans la guerre que se livre démons et gargouilles et celui qu’elle désigne désormais sous le nom d’Adam (Aaron Eckhart) pourrait bien faire pencher la balance en sa faveur. Durant des années, il sera poursuivi par les démons de Naberius mais il est désormais temps pour lui de mettre fin à cette chasse au monstre !

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    Le mythe du monstre de Frankenstein est ici réinterprété de façon très libre puisque viennent s’inviter à la fête des démons mais surtout des gargouilles pouvant prendre l’apparence d’humains (ou l’inverse). De là à résumer le film à un banal combat du bien contre le mal, il n’y a qu’un pas qu’on franchit aisément toujours est-il qu’on est assez surpris de voir Aaron Eckhart ou encore Bill Nighy dans ce genre de productions. I, Frankenstein c’est du divertissement à l’état pur avec bien entendu beaucoup d’action et des gerbes de feu qui flambent un peu partout à l’écran. Si vous avez besoin de mettre votre cerveau en pause alors vous avez un bon candidat devant vous !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les gargouilles qui se trouvent dans les rues !

  • Minuscule - La vallée des fourmis perdues

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    La famille Coccinelle vient de s’agrandir, ce sont 3 petits enfants qui viennent de voir la lumière du jour mais très vite l’un d’entre eux va se retrouver séparé des siens. Il faut dire qu’il y avait cette satanée mouche qui n’arrêtait pas de la toiser et c’est ainsi que la séparation a eu lieu mais la coccinelle s’apprête à vivre une formidable aventure. Sans le savoir, elle avait trouvé refuge dans une boite à sucres abandonnée et qui va devenir le trésor inestimable d’un groupe de fourmis. Pas facile de transporter cette boite jusqu’à la fourmilière car c’est un chemin semé d’embuches et surtout ils vont croiser sur leurs des fourmis rouges pas indifférents à la vue de cette boite.

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    Il faut le savoir à la base il y a une série télévisée de 178 épisodes diffusée en 2006 notamment sur France 2. C’est maintenant sur le grand écran qu’on a le loisir de découvrir Minuscule - La vallée des fourmis perdues, une plongée dans l’univers fascinant des insectes. La particularité de ce film d’animation est d’offrir des décors en prises de vue réelles où s’intègrent des héros en images de synthèse sans oublier l’absence totale de dialogues. La communication se fait par des bruits, des sifflements rendant ainsi ce film ingénieusement universel, un beau moyen de se distinguer de la concurrence. Le charme opère grâce à cette originalité mais ça manque d’humour sur la durée rendant presque l’aventure assez monotone.

     

    Il faut le voir pour : Laisser une boite d’allumettes la prochaine fois que vous passerez à coté d’une fourmilière !

  • The Ryan initiative

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    Les attentats du 11 Septembre 2001 ont été un vrai déclic pour notre pote Jack Ryan (Chris Pine) et c’est là qu’il a décidé de s’engager dans l’armée pour défendre son pays. Sa carrière sera stoppée net après un terrible crash d’hélicoptère. Sa rééducation commence et c’est aussi à ce moment-là qu’il rencontre la belle Cathy (Keira Knightley) et tout semble indiquer qu’un nouveau couple est en train de se former. Surtout son courage et son abnégation tapent dans l’œil de Thomas Harper (Kevin Costner) qui lui propose de rejoindre les rangs de la CIA. Les années passent, Jack enquête sur les financements terroristes et il va devoir se rendre à Moscou dans le cadre d’une mission secrète qui va mal se passer.

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    Que ce soit par les livres ou les films qui en sont adaptés, le nom de Jack Ryan ne vous est certainement pas inconnu. Personnage crée par la plume de Tom Clancy, il a déjà eu droit à de nombreuses incarnations et c’est cette fois Chris Pine qui décroche la timbale. C’est toujours agréable de voir un nouveau visage mais l’acteur manque franchement de charisme pour nous embarquer dans son aventure. Avec The Ryan initiative, on a donc un beau mélange entre espionnage et action mais la sauce a vraiment du mal à prendre ou du moins ça nous laisse assez indifférent même si le film de Kenneth Brannagh (qui incarne aussi le bad guy de service) reste un brin divertissant.

     

    Il faut le voir pour : Appeler la CIA pour refaire votre salle de bain en un temps record !

  • Des étoiles

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    Elle n’avait jamais quitté Dakar ni même sa famille et pourtant notre pote Sophie (Marième Demba Ly) n’a pas hésité à se rendre en Italie et plus exactement à Turin pour retrouver son mari. A son arrivée, on lui apprend qu’Abdoulaye (Souleymane Seye Ndiaye) est parti travailler sur un chantier pour 1 mois cependant la vérité est tout autre. En fait, il se trouve à New York avec son cousin où ils tentent de trouver du travail et surtout à obtenir la carte verte. Pour se loger, ils voulaient tenter leur chance chez Mame Amy (Sokhna Niang), la tante de Sophie qui est absente puisqu’elle est retournée à Dakar. Elle est accompagnée de son fils Thierno (Ralph Amoussou) qui découvre ce pays dans de tristes circonstances puisqu’il vient assister aux funérailles de son père.

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    Voilà en tout cas un film qui va vous faire voyager puisqu’à travers les 3 histoires, on se rend successivement à Turin, New York & Dakar. Des étoiles c’est en quelque sorte un film choral qui a pour particularité de mettre en scène une grande famille africaine dispersée. On se retrouve avec des portraits qui se dessinent à travers les parcours mouvementés des personnages chacun avec des motivations qui leur sont propres en rapport soit avec l’argent, l’amour ou la famille. Porté par de bons comédiens, le récit trouve une certaine dynamique par l’alternance des histoires et s’il ne brille pas plus que ça, c’est une belle petite découverte que cette première réalisation de Dyana Gaye.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre père s’il n’a pas une 2ème femme au cas où …

  • Tonnerre

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    Chanteur et compositeur, notre pote Maxime (Vincent Macaigne) avait besoin d’un peu d’air frais et c’est ainsi qu’il est revenu à Tonnerre où vit encore son père Claude (Bernard Menez). Un retour aux sources dont a entendu parler Mélodie (Solène Rigot) qui est venu le solliciter pour une interview et de cette rencontre avec l’artiste va naitre une histoire d’amour. Ce nouveau couple semblait voguer sur les flots du bonheur mais les choses vont soudainement basculer lorsque Mélodie se met à ignorer totalement Maxime. Ce dernier est totalement désemparé et n’arrive pas à comprendre le comportement de la jeune femme ; il va alors tenter d’avoir des explications quitte à employer la manière forte.

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    Combien de fois faudra-t-il vous le répéter ; les histoires d’amour finissent toujours mal et on en a encore la preuve avec ce premier film signé Guillaume Brac. On est ainsi invité dans le petit village de Tonnerre pour découvrir les malheurs de Maxime qui passe du statut d’amoureux transi à celui d’ex perdant tous ses moyens. C’est ainsi l’occasion pour nous de faire connaissance avec Vincent Macaigne ou encore Solène Rigot (qu’on avait déjà aperçue dans Lulu femme nue), des nouveaux visages qui amènent de la fraicheur mais surtout qui confèrent aussi une vraie proximité des spectateurs avec les personnages. Un joli film à découvrir.

     

    Il fait le voir pour : Réciter des poésies à votre chien !

  • Avalanche sharks

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    Le Springbreak à la plage c’est démodé mec ! Il n’y a rien de plus tendance que de faire la teuf à la montagne alors chaussez vos skis et direction Twin pines. De le poudreuse, de l’alcool et plein de nanas court-vêtues ; ça promet un beau moment de folie mais pour notre pote Wade (Alexander Mendeluk) l’inquiétude grandit. Il n’a pas de nouvelles de son petit frère  et pense qu’il lui est certainement arrivé quelque chose en faisant du hors-piste. Son intuition se révélera exacte mais il est loin de s’imaginer de la terrible menace qui se dissimule sous la neige. Ça peut paraitre invraisemblable mais des attaques de requins ont été signalées et ils n’épargneront personne !

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    La plage ça va un moment, rien ne vaut le bon air pur de la montagne et c’est donc tout naturellement qu’on voit débarquer des requins tapis dans la neige. Parce que The asylum n’a pas le monopole des bonnes idées (et ça on s’en était aperçu), voilà qu’un autre studio de production se lance dans les films de requins tueurs avec ce petit Avalanche sharks. Un film totalement barré avec des prédateurs venus de l’espace et de vieilles légendes indiennes, les scénaristes n’ont vraiment peur de rien et c’est plutôt marrant. Surtout ce sont les dialogues (du moins en version française) qui nous font plonger en plein second degré et on a ainsi de magnifiques échanges. Dans le pire, c’est le moins pire mais ça ne l’empêchera pas de faire partie de ces films à offrir à vos pires ennemis.

  • Dallas Buyers Club

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    Le rodéo et les femmes ce sont les 2 péchés mignons de notre pote Ron Woodroof (Matthew McConaughey) mais sa vie va soudainement prendre un autre sens. Après avoir été hospitalisé, on découvre en effet qu’il est atteint du VIH et qu’il ne lui reste tout au plus que 30 jours à vivre. Au même moment, un laboratoire pharmaceutique met sur le marché un produit appelé AZT destiné à aider les malades atteints du sida. Par des manières détournées, Ron réussit à s’en procurer pendant un premier temps mais va devoir par la suite se rendre au Mexique. C’est là qu’il découvre que l’AZT n’est peut-être pas le produit idoine à prescrire puisqu’il provoque notamment de nombreux effets secondaires. On assiste ainsi au début du Dallas Buyers Club.

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    Peu de chances que le nom de Ron Woodroof vous dise quelque chose et ce biopic signé Jean-Marc Vallée vient combler cette lacune. A son échelle, cet homme aura en effet permis une avancée considérable dans la lutte contre le virus du Sida aux Etats-Unis. Devant Dallas Buyers Club, on est d’abord impressionné par la transformation physique de Matthew McConaughey (tel un Christian Bale dans The machinist) alliée à la performance de Jared Leto. Il y a aussi un formidable message de tolérance dans l’évolution de ce personnage qui s’impose au départ comme un rustre homophobe. Voilà donc tout simplement un magnifique biopic prenant par son histoire et par les prestations des 2 principaux comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de prendre aveuglément vos médicaments !

  • Jacky au royaume des filles

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    La nouvelle a fait le tour de tout le royaume de Bubunne, la Générale Bubunne 16 (Anémone) a décidé  de se retirer au profit de sa fille la Colonelle (Charlotte Gainsbourg). A cette occasion, un grand bal va être organisé afin de lui trouver son grand couillon autrement dit l’homme qui aura l’honneur de l’épouser. C’est l’effervescence pour tous les hommes et notamment pour notre pote Jacky (Vincent Lacoste) qui n’a d’yeux que pour elle et qui se voit déjà dans sa belle voilerie blanche. Attention tout de même, il n’est pas seul sur le coup et son plus grand rival est certainement son cousin Vergio (William Lebghil) qui peut compter sur le soutien de sa riche famille.

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    Il s’était fait remarquer avec Les beaux gosses, le réalisateur Riad Sattouf devrait une fois encore faire parler de lui avec cette comédie pour le moins décalée. Jacky au royaume des filles c’est d’abord la découverte de tout un univers assez loufoque (qui peut tout aussi bien vous laisser insensible) à travers cette société gouvernée d’une main de fer par les femmes. On salue donc l’originalité qui a été apporté mais au fil des minutes on se rend aussi compte que l’humour ne suit pas vraiment et que la satire promise se révèle bien décevante. On passe donc un bon moment avec Vincent Lacoste et compagnie mais c’est quand même bien loin d’être la grande éclate.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à touiller la bouillie !

  • Dragon Ball Z : La revanche de Cooler

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    Alors qu’ils étaient partis pour camper, Sangoku et ses potes d’enfance sont soudainement attaqués et celui qui est derrière tout ça n’est autre que Cooler, le frère de Freezer ! Il est venu sur Terre pour anéantir une bonne fois pour toute les Saiyajins et parvient ainsi à blesser grièvement Goku. Ce dernier a besoin de soins au plus vite mais les hommes de Cooler se lancent immédiatement à sa recherche ce qui lui laisse peu de répit. Nos amis parviennent à se mettre à l’abri en cachant leurs forces mais il faut absolument récupérer des senzus. Sangohan décide alors de se rendre à la tour Karin avec l’aide du petit dragon mais il doit faire vite car à tout instant leur abri peut être découvert.

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    Après le frère jumeau de Sangoku, le cousin lointain de Piccolo ; c’est maintenant au tour de Freezer de nous présenter sa famille avec son frère Cooler. On dirait bien que les transformations sont également une tradition puisque lui aussi peut se métamorphoser mais il ne faudrait pas oublier notre Saiyajin préféré. Avec Dragon Ball Z : La revanche de Cooler on assiste en effet à la première coloration de Goku et là on ne rigole plus ! Bon d’accord, l’oeuvre de Toriyama est un bon filon mais ça se voit quand même que les éléments de la série ont été repris puisqu’il faut ici aussi attendre qu’un des potes d’enfance de notre héros meurt (ou presque) pour provoquer la transformation. Rien de fameux à l’horizon, ça nous laisse froid !

    En savoir plus sur Dragon Ball Z : A la poursuite de Garlic ?

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    En savoir plus sur Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal ?

  • Une autre vie

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    Prodigieuse pianiste, notre pote Aurore (Jasmine Trinca) a stoppé net sa carrière lorsque son père est mort. Une terrible épreuve qu’elle a partagé avec son frère Paul (Stéphane Freiss) et c’est quelques mois après qu’on les retrouve dans la maison familiale. C’est là qu’Aurore va retrouver le sourire lorsqu’elle fait la connaissance de Jean (JoeyStarr), un électricien venu installer un système d’alarme. Pas de doute, entre eux le courant passe et commence ainsi une belle histoire d’amour cependant tout n’est pas si simple. Il se trouve en effet que Jean est déjà en couple avec Dolorès (Virginie Ledoyen) et que celle-ci n’entend pas le laisser s’échapper aussi facilement.

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    Sur ces dernières années, le cinéma d’Emmanuel Mouret se définissait par des films comme Un baiser s’il vous plait ! ou L’art d’aimer ; des comédies sentimentales marquées par une vraie patte du français. C’est donc une surprise de découvrir Une autre vie qui lui permet justement de s’essayer à un registre plus dramatique.  Une bonne nouvelle au départ mais avec les minutes qui défilent, on se rend compte qu’il ne fait que rentrer dans le rang déjà établi même si quelques sauts dans le temps viennent apporter un peu plus de relief à la réalisation. Concernant le casting, rien à dire on est autant subjugué par la douce beauté de Jasmine Trinca que par le jeu délicat offert par JoeyStarr mais ils sont desservis par un scénario bien trop plat jusqu’à cette décevante conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas croire tout ce que votre femme vous annonce !