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marc zinga

  • Dheepan

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    Pour fuir la guerre civile qui meurtrit le Sri Lanka, ils ont usurpé l’identité d’autres personnes. C’est ainsi que nos potes Dheepan, Yalini & Illayaal (Antonythasan Jesuthasan, Kalieaswari Srinivasan & Claudine Vinasithamby) vont devenir une famille alors qu’ils ne se connaissaient pas et rejoindre ainsi la France. Dans l’attente de l’obtention de papiers, ils vont habiter dans une cité où Dheepan deviendra le nouveau gardien. De son coté, Yalini va aussi pouvoir gagner un peu d’argent en s’occupant de M. Habib (Faouzi Bensaïdi) mais pense surtout à rejoindre sa cousine en Angleterre. Des velléités de départs qui ne vont que grandissant lorsqu’elle s’aperçoit du danger que peut représenter cette cité.

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    Quand on décroche une Palme d’or au Festival de Cannes 2015, il est évident que cela suscite de nombreuses attentes. Ça devient presque une habitude pour notre pote Jacques Audiard et Dheepan prend une dimension encore plus importante avec la polémique des migrants accompagnant cette rentrée. A la découverte de son 5ème long-métrage, on a une impression assez mitigée. Dans un premier temps, l’attention est portée sur le sort de cette famille nouvellement constituée (le personnage de Illayaal est un peu délaissé) et là l’interprétation des 3 comédiens est irréprochable. Puis progressivement, cela tourne au film de vigilante, une orientation qui nous laisse au final perplexe.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas trop énerver le gardien de votre immeuble !

  • Les rayures du zèbre

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    La Côte-d’Ivoire, c’est une destination que notre pote José Stockman (Benoit Poelvoorde) connait par cœur. Ce recruteur a en effet ramené de nombreux joueurs de football jusqu’en Belgique et à l’entendre il a le nez et surtout le flair pour repérer les futurs talents. Son regard s’est arrêté cette fois sur Yaya Koné (Marc Zinga) à qui il promet une grande carrière avec comme première expérience une place chez les zèbres de Charleroi. Une fois en Belgique, les choses ne se déroulent pas exactement comme prévu ; le jour du test sur le terrain, Yaya n’est pas au top de sa forme et puis le rapport rédigé par un observateur qui s’est rendu expressément à Abidjan n’arrange pas vraiment les choses.

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    Qu’on se rassure tout de suite, pas besoin d’être un grand passionné du ballon rond pour apprécier Les rayures du zèbre. Ici on s’intéresse surtout aux coulisses et notamment au rôle prépondérant du recruteur incarné par Benoit Poelvoorde ayant son terrain de chasse en Afrique connu pour être un vivier de jeunes footballeurs talentueux. C’est l’occasion de découvrir un monde cruel où les joueurs sont surtout considérés comme de vulgaires marchandises avec tout de même quelques notes d’humour. Pas grand-chose à retenir de ce film ; un portrait acerbe mais quand même pas appuyé suffisamment pour marquer l’esprit des spectateurs si bien qu’on finira par l’oublier assez vite.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous faites une marche arrière en voiture !