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Une jeunesse dorée

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A 17 ans, Rose (Galatea Bellugi) a été autorisée à vivre avec Michel (Lukas Ionesco) à condition de suivre des cours dans une école de pâtisserie. Une fois installée dans la capitale, la jeune femme passe plutôt son temps à boire et faire la fête et, avec ses potes d’enfance, vous pouvez être à peu près sûr de les retrouver dans les folles soirées du Palace. C’est durant une de ces nuits que Lucille (Isabelle Huppert) s’entiche de Michel, elle veut aider ce peintre à s’affirmer à travers son art, chose qu’apprécie modérément Rose. Hubert (Melvil Poupaud), le compagnon de Lucille va lui aussi se mêler l’histoire et ce quatuor va alors passer pas mal de temps ensemble.

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Voilà un film qui ne vous laissera pas indifférent à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’il se dégage du film une atmosphère libertine (ce qui n’est pas déplaire à certains, oui je parle de toi là !), on est par contre moins à l’aise devant le mauvais jeu d’acteur pour certains personnages. Malheureusement, dès les premiers instants du film, on sent que Galatea Bellugi peine à trouver ses marques et c’est loin de s’arranger par la suite. On n’est pas davantage convaincu par Lukas Ionesco si bien que le tandem Isabelle Huppert / Melvil Poupaud essaye tant bien que mal de sauver les meubles. Si on peut accorder à Une jeunesse dorée d’avoir su plus ou moins bien retranscrire l’atmosphère d’une époque insouciante, cela ne nous empêche pas d'être assommé par la médiocrité des premiers rôles.

 


Il faut le voir pour : Vous justifier que si vous ne faites pas la vaisselle, c’est parce que vous êtes un artiste !

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