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guillaume nicloux

  • La religieuse

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    Dès son adolescence, notre pote Suzanne (Pauline Etienne) a su qu’elle n’aimerait qu’un homme et un seul : Dieu. Alors que ses 2 grandes sœurs ont choisi le mariage, elle décide de rentrer dans les ordres mais avec le temps viennent les premiers doutes qui vont par la suite se transformer en certitudes : elle veut retrouver une vie normale ! Malgré les volontés de ses parents, Suzanne quitte ainsi le couvent et c’est à son retour chez elle que sa mère lui dévoile une stupéfiante vérité. Un bouleversement tel qu’elle acceptera de reprendre ses habits de sœur mais l’attendent encore de nombreuses épreuves.

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    Déjà l’heure est à la confession, la religion est certainement un des thèmes qui me désintéressent le plus alors le film de Guillaume Nicloux partait déjà sur de mauvaises bases. Inspiré d’un roman de Denis Diderot, on y suite le parcours de la jeune Suzanne qui est par ailleurs magnifiquement interprété par Pauline Etienne rendant ainsi La religieuse un peu plus digeste. En dehors de cette petite lueur de lumière c’est un portrait qui, même s’il ne suscite pas l’ennui, a de quoi laisser indifférent même si les apparitions d’Isabelle Huppert & Louise Bourgoin viennent apporter un peu d’animation. Tout simplement un film qui m’échappe déjà par son sujet.

     

    Il faut le voir pour : Prendre une religieuse à la prochaine visite à la boulangerie !

  • Holiday

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    Un week-end en amoureux dans un magnifique château, voilà un beau programme pour notre pote Michel Trémois (Jean-Pierre Darroussin) et sa femme Nadine (Judith Godrèche) mais il était loin de s’imaginer que ce séjour serait aussi animé. Tout d’abord, il doit se coltiner sa belle-mère Christiane (Josiane Balasko) pas vraiment dans son assiette et puis cet hôtel est en plein travaux ce qui cause quelques désagréments. Le pire reste à venir ; après une soirée particulièrement arrosée, Michel est réveillé en trombe par un policier. Une femme a été retrouvée pendue au lustre de sa chambre et tout porte à croire que Michel aurait été la dernière personne à l’avoir vu.

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    La bande-annonce nous donnait à croire qu’il s’agissait d’un petit thriller policier façon enquête à la Agatha Christie. Un meurtre se dévoile, une dizaine de suspects se révèle et la vérité finit par éclater. En théorie, voilà ce qu’aurait du être Holiday au lieu de quoi Guillaume Nicloux en a fait une bouillie indigeste. Il faut déjà avoir l’esprit ouvert pour ne pas s’offusquer devant une galerie de personnages complètement hors-norme ; ça aurait pu être un bon délire mais à aucun moment on entre dans l’ambiance du film. Une comédie qui patauge pendant plus d’1H30 et le seul moment qu’on apprécie c’est au moment où le générique de fin apparait !

     

    Il faut le voir pour : Se convaincre de l’importance de se brosser les dents quotidiennement.

  • La clef

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    Octobre 2007 en région parisienne. Notre pote Eric Vincent (Guillaume Canet) a une belle situation, une jolie femme et une belle maison où il ne manque que les rires d’un enfant. D’ailleurs, Audrey (Marie Gillain) se sent prête à devenir mère ce qui ne semble pas être le cas d’Eric, enfant de la DASS qui n’a jamais connu ses parents. C’est alors qu’un certain Joseph Arp (Jean Rochefort) le contacte en lui révélant qu’il connaissait son père et qu’il a en sa possession l’urne où reposent ses cendres. En acceptant de récupérer cette urne, Eric pensait franchir une étape dans sa vie de famille et est loin de se douter qu’il vient de mettre les pieds dans une impitoyable machination.

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    Thriller français qui joue sur une intrigue menée à 2 époques différentes mais qui recoupe la même histoire, La clef vient clore la trilogie policière de Guillaume Nicloux (après Une affaire privée & Cette femme-là). Grace à sa réalisation particulière, le film tient en haleine pendant la première moitié mais par la suite on est un peu largué par un scénario finalement peu captivant. Misant davantage sur le suspense de la situation que sur l’action pure et dure, cela a tendance à nous endormir malgré un casting prestigieux. Pour accompagner Guillaume Canet, rien moins que Marie Gillain, Jean Rochefort, Vanessa Paradis, Thierry Lhermitte ou Josiane Balasko mais cela n’en rend pas le film plus passionnant.

     

    Il faut le voir pour : Opter pour l’enterrement plutôt que l’incinération !