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Pascal Elbé

  • Zootopie

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    Depuis qu'elle est enfant, notre pote Judy ne rêve que d'une chose : devenir policier ! Pour ses parents, il était impossible qu'un lapin puisse rejoindre les forces de l'ordre mais à force d'abnégation et de courage, elle y est parvenue. C'est ainsi que Judy quitte sa famille pour s'installer à Zootopie mais sa première journée ne se déroule pas comme elle l'espérait puisqu'elle se retrouve à dresser des PV. Elle finira tout de même par se voir confier une enquête importante avec la mystérieuse disparition d'une loutre et elle n'a que 48 heures pour résoudre cette affaire. Pour l'y aider, elle pourra aussi compter sur Nick Wilde, un renard qui ne manque pas d'ingéniosité.

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    Bienvenue à Zootopie autrement dit le 55ème classique d'animation des studios Disney où les animaux prennent le pouvoir. La découverte de cette ville est déjà un émerveillement pour nos yeux avec notamment cette belle idée de diviser la ville en différents quartiers. C'est beau mais c'est aussi très drôle grâce aux divers clins d’œils cinématographiques et quelques moments d'anthologie comme cette visite chez les paresseux ou encore le coup de la carotte ! A travers l’enquête menée par le duo de choc Judy / Nick, l'histoire délivre un joli message en prônant le vivre ensemble. Un nouveau film à ne pas manquer et qui va faire la joie des spectateurs de tout age.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dire à un lapin qu'il est mignon !

  • Je compte sur vous

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    Il est le roi de la combine mais cela n’empêche pas notre pote Gilbert (Vincent Elbaz) d’être endetté. Il a même été forcé de quitter la France pour s'installer en Israël, des déménagements successifs qui commencent à fatiguer sa femme Barbara (Julie Gayet) et son fils Noé (Léo Elbé). Sa dernière idée, il l'a eu grâce à JMBLC (Dan Herzberg) qui lui a appris la manière de rendre ses appels impossibles à retracer. Avec son frère Maxime (Ludovik), Gilbert a donc mis cela à profit en contactant une banque française et son bagou au téléphone aura suffi pour se faire plus de 400 000 euros ! Un coup énorme qui ne sera que le début d'autres escroqueries.

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    C'est un fait-divers qui aura donc inspiré notre pote Pascal Elbé pour sa seconde réalisation. Je compte sur vous est un film de braquage plutôt original puisque notre escroc n'aura qu'à utiliser un téléphone pour commettre ses méfaits. Un mode opératoire plutôt malin qui donne l'occasion au sympathique Vincent Elbaz de faire valoir sa tchatche mais qui ne va pas non plus nous scotcher à l'écran. Il n'y a pas non plus de grandes surprises à attendre dans le déroulement d'un scénario qui retombe vite dans la banalité. Les moins difficiles y trouveront un petit amusement quant aux autres ils auront certainement déjà passé leur chemin.

     


    Il faut le voir pour : Raccrocher votre téléphone si les Services secrets vous appellent !

  • Sous les jupes des filles

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    Avec 4 enfants et un mari absorbé par son travail, notre pote Ysis (Géraldine Nakache) n’a que peu de temps pour elle. Une routine qu’elle va subitement bouleverser après sa rencontre avec Marie (Alice Taglioni) qui était venue garder ses enfants, c’est ainsi que leur aventure commence. Au même moment, Jo (Audrey Dana) commence à se poser des questions sur ses relations amoureuses ; il serait peut-être temps pour elle de construire quelque chose de sérieux. Pour sa sœur Agathe (Laetitia Casta), ce n’est pas vraiment plus réjouissant elle qui souffre de terribles maux de ventre lorsqu’elle se trouve trop émue. Un vrai handicap surtout quand on se trouve en face d’un bel avocat !

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    Pour sa première réalisation, Audrey Dana a mis les petits plats dans les grands en conviant à cette fête un beau casting où Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Vanessa Paradis viennent se mêler à Julie Ferrier, Alice Belaïdi ou encore Géraldine Nakache. Au premier coup d’œil Sous les jupes des filles on a donc plutôt envie de se laisser charmer malheureusement c’est la déception qui prime. En voulant donner la part belle aux femmes qui ne se seront jamais montré aussi libres, ce film choral a bien du mal à prendre forme et adopte davantage la forme d’une cascade de sketches pas toujours drôles. Avec des personnages dont le trait est parfois forcé, le film est semblable à cette scène au Trocadéro ; un feu d’artifice promis qui ne s’avère être tout au plus qu’un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais croire une femme qui jure sur la tête de ses enfants !

  • Piégé

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    Afghanistan. Un char français retourne à sa base ; dans 4 heures les soldats qui se trouvent à l’intérieur pourront se dégourdir les jambes. Ils n’arriveront jamais à destination car ils vont être victimes d’une embuscade et seuls nos potes Denis & Murat (Pascal Elbé & Laurent Lucas) parviendront à s’en tirer vivants. En inspectant les alentours, ils tombent alors sur un camion rempli d’héroïne, une aubaine qui devrait assurer leurs vieux jours mais Denis ne le voit pas de cet œil. Il décide de contacter la base cependant Murat n’a pas l’intention de le laisser faire, les 2 hommes sont proches d’en venir aux mains jusqu’au moment où Denis met le pied sur une mine. Désormais si le soldat bouge, il meurt !

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    Le scénario est aussi simpliste qu’il est accrocheur ; un soldat met le pied sur une mine et se retrouve Piégé privé de tout mouvement. Tout le problème est alors de faire vivre l’intrigue, une tache pas évidente et malheureusement on se rend vite compte qu’il s’agit là de la première réalisation de Yannick Saillet. Son film est en effet empreint d’une telle naïveté qu’il finit par en devenir risible pour les spectateurs malgré la bonne volonté de Pascal Elbé et comment ne pas évoquer le grand rôle de Caroline Bal (sigh !). Contrairement au héros, vous avez le droit de bouger et ça risque de faire fuir pas mal de monde car on n’y croit pas une seule seconde.

     

    Il faut le voir pour : Regarder où vous mettez les pieds.

  • La cerise sur le gâteau

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    On dit d’elle qu’elle est androphobe ; Amanda (Laura Morante) semble en effet avoir un sacré problème avec les hommes qui lui plaisent. A travers toutes ses relations passées, il y a toujours eu ce moment où elle a éprouvé un blocage psychologique et c’est d’ailleurs ce qu’elle traverse actuellement avec Bertrand (Frédéric Pierrot). En couple depuis 1 an, ils ont pour projet de s’installer ensemble mais Amanda se montre de plus en plus distante et elle s’apprêtait à passer le réveillon du nouvel an seule dans son coin. Sa pote d’enfance Florence (Isabelle Carré) la convainc de se joindre à elle pour un diner où elle fera la connaissance d’Antoine (Pascal Elbé) avec qui elle accroche immédiatement mais manque de chance pour elle, il est homosexuel … du moins c’est ce qu’elle pense !

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    Pour sa première réalisation, Laura Morante se met également en scène dans une comédie romantique intrigante au départ mais qui finit par se révéler en fait juste dépassée. On se laisse déjà perturber par une trame historique parfois brouillonne avant qu’elle ne finisse par tomber dans une affligeante banalité. Difficile également d’accrocher aux personnages ; Amanda finissant presque par être agaçante, Antoine a autant d’énergie que Droopy tandis que Maxime fait la part belle aux clichés. La cerise sur le gâteau n’a donc rien d’appétissant et les quelques notes d’humour ne résident finalement que dans les quelques expressions lâchés par le mari de Florence. A l’image de l’héroïne qui n’aime pas le pétillant, voilà une comédie tout ce qu’il y a de plus plate !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la cerise du gâteau !

  • Le fils de l’autre

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    A l’approche de ses 18 ans, notre pote Joseph (Jules Sitruk) est déterminé à rejoindre l’armée israélienne ; une décision qui va bouleverser sa vie mais pas comme il l’entend. Des examens médicaux révèlent en effet que le jeune homme a un groupe sanguin différent de ses parents et après quelques recherches, on en vient à la conclusion invraisemblable. Lors de sa naissance à l’hôpital d’Haïfa qui avait subi des bombardements, il aurait été confondu avec un autre bébé. C’est de l’autre coté de la frontière qu’on retrouve le vrai fils d'Orith & Alon (Emmanuelle Devos & Pascal Elbé), il s’appelle Yacine (Mehdi Dehbi) et vient juste de revenir de Paris où il poursuit ses études.

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    Avec Le fils de l’autre, c’est une tout autre manière d’aborder le conflit israélo-palestinien et on comprend assez vite où le film veut nous mener. Cela aurait donc pu tourner au mélo teinté de clichés mais Lorraine Levy s’en tire plutôt bien en partie grâce à un casting réussi avec en tête Jules Sitruk & Mehdi Dehbi. Reste quand même que le scénario aurait pu faire preuve d’un peu plus de complexités notamment dans le rapport entre le personnage de Yacine et son frère Saïd dont la réaction violente est presque inexplicablement étouffée. Sur un sujet sensible, ce film réussit à ne pas se bruler les ailes mais ne parviendra pas non plus à nous transporter très haut !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer les feignasses avec vos valises à roulettes.

  • R.I.F. (Recherches dans l’intérêt des Familles)

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    Notre pote Stéphane (Yvan Attal) est certainement l’un des meilleurs éléments de sa brigade de police mais son travail est en train de ronger progressivement sa vie de famille. Les disputes avec sa femme Valérie (Valentina Cervi) se font de plus en plus fréquentes et c’est certainement leur fils Théo (Talid Ariss) qui en souffre le plus. Ils avaient donc décidé de partir en vacances, 1 semaine pour recoller les morceaux mais leur voyage va se transformer en un terrible cauchemar. Tout a commencé lorsque leur voiture est tombée en panne, on les avait alors déposés à une station-service où Stéphane a pu contacter une dépanneuse. Il retourne alors chercher son véhicule en compagnie de son fils mais lorsqu’il revient à la station, Valérie a disparu sans laisser de traces.

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    La 1ère scène donne l’illusion qu’on va avoir droit à un thriller haletant malheureusement, le reste du film ne se montre pas aussi intense et inutile de dire qu’on se sent légèrement frustré. A différentes reprises, on se dit que le film va réellement démarrer et puis tout redevient étrangement calme ; un faux rythme qui fait que R.I.F. (Recherches dans l’intérêt des Familles) nous laisse totalement sur notre faim. C’est d’autant plus regrettable qu’Yvan Attal se glisse parfaitement dans la peau de ce flic désabusé au point que les comédiens qui l’entourent feraient presque office de simples figurants. Une réalisation tout ce qu’il y a de plus correcte mais pas assez excitant pour Ravir l’intérêt des Fans de cinéma !

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur ceux qui viennent présenter leur respect à votre femme !

  • Comme les 5 doigts de la main

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    Cela fait 6 ans que David (Vincent Elbaz) n'a plus donné signe de vie à sa famille et notamment à ses 4 frères. C'est un avis de recherche lancé par la police de Marseille qui permet à Dan, Jonathan, Julien & Michael (Patrick Bruel,Pascal Elbé, Eric Caravaca & Mathieu Delarive) d'avoir des nouvelles de leur frère et ce dernier réapparait soudainement en étant gravement blessé. Il est en grand danger, poursuivi par Samy Boban (Moussa Maaskri), dangereux criminel à qui David a dérobé une forte somme d'argent. Malgré toutes les erreurs qu'a pu faire David, les frères Hayoun sont solidaires comme les 5 doigts de la main et décident de lui venir en aide.

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    Entre Patrick Bruel, Vincent Elbaz, Pascal Elbé ou encore Eric Caravaca, le casting était plutôt alléchant surtout quand on y ajoute la belle Caterina Murino. L'histoire elle est presque banale, un frère noyé dans les ennuis qui va se voir soutenir par ses frères malgré ses actes passés car les liens familiaux sont inaliénables. Et puis ensuite, Comme les 5 doigts de la main part en vrille ; les frères deviennent tout à coup des gangsters et surtout les préjugés pleuvent (les islamistes fournisseurs officiels d'armes à feu c'est quand même gros !). Ça commençait plutôt bien mais ça se finit en eau de boudin.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner si un jour vous mangez des spaghettis au nuoc-mâm !

  • Tête de turc

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    Cela fait des années que Simon (Pascal Elbé), médecin, intervient dans ces quartiers dits difficiles mais aujourd'hui il a échappé de peu à la mort. Sa voiture a soudainement été victime de jets de projectiles par des jeunes jusqu'à ce qu'un cocktail Molotov embrase son véhicule alors qu'il s'était évanoui. Par chance il a été sauvé par un jeune turc, Bora (Samir Makhlouf) qui va rapidement être identifié et célébré en héros national. Evidemment dans son quartier son geste n'est pas accueilli de la même façon, la police est omniprésente et les trafics en tous genres sont au point mort et on le tient pour responsable pour ça. Le plus inquiétant pour Bora c'est que s'il a bien sauvé le Docteur, c'est aussi lui qui a lancé le cocktail Molotov.

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    A son tour Pascal Elbé tente l'aventure de la réalisation avec un thriller assez efficace. Bien entouré avec Roschdy Zem, Ronit Elkabez et dans un rôle plus mineur Simon Abkarian ; Tête de turc s'intéresse  à un fait divers comme on en lit quotidiennement dans les journaux. Cet évènement devient le thème central du film et est vécu de façon différente par la victime, le héros d'apparat, la mère qui y voit l'opportunité de changer de vie ou encore le veuf dommage collatéral (personnage trop effacé soit dit en passant). Un jeu juste et une histoire passionnante et malgré quelques défauts c'est encourageant pour Elbé, espérons qu'il continue dans cette voie et c'est tout le cinéma français qui y gagnera.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de laisser trainer vos enfants sur les toits !

  • Quelque chose à te dire

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    Comme le chantait si bien Maxime Le Forestier, on ne choisit pas sa famille car il y a fort à parier que si cela était possible, notre pote Alice (Mathilde Seignier) en changerait tout de suite. Avec son frère Antoine (Pascal Elbé), c’est le conflit permanent ; sa mère Mady (Charlotte Rampling) l’exaspère et il n’y a encore qu’avec son père et sa petite sœur que les choses semblent bien se dérouler. Sa vie est pour le moins chaotique ; elle se satisfait d’aventures sans lendemain et n’est pas à son premier avortement. Ses mauvaises fréquentations vont d’ailleurs la mener directement en prison où elle va croiser Jacques de Parentis (Olivier Marchal), une rencontre qui sera un tournant dans leur existence.

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    Si l’on excepte la rencontre entre Alice & Jacques beaucoup trop inconcevable pour être le fruit du simple hasard, Quelque chose à te dire doit beaucoup au casting très réussi. Pascal Elbé est attendrissant dans le rôle de ce frère orgueilleux mais tellement naïf, Charlotte Rampling a la langue bien pendue pendant que Patrick Chesnais manie avec virtuosité le narcissisme. Bref c’est un portrait de famille dressé au vitriol, une famille avec ses qualités et ses défauts à laquelle on s’attache vite. Le seul faux pas reste donc un scénario qui manque vraiment de crédibilité qui gâche l’ensemble du film.

     

    Il faut le voir pour : Se renseigner sur les origines de votre frère.