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Ewan McGregor

  • Jane got a gun

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    1871, sur le territoire du Nouveau-Mexique. Bien qu'il souffre de plusieurs blessures par balles, Bill Hammond (Noah Emmerich) a trouvé la force de rentrer chez lui afin d'avertir Jane (Natalie Portman). Les Bishop seront bientôt là et la jeune femme réagit immédiatement en allant confier leur fille Kate (Sachie Capitani) à une pote d'enfance. Elle rend ensuite visite à Dan Frost (Joel Edgerton) afin de solliciter son aide mais celui-ci refuse n'ayant pas vraiment envie de mettre sa vie en jeu surtout pour Hammond. Il faut remonter 7 ans dans le passé pour comprendre l'histoire qui lie Jane & Dan à une époque où ils formaient un couple.

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    Les westerns mettant en scène une héroïne ne courant pas les rues, Jane got a gun est déjà une belle curiosité. Notre pote Natalie Portman se retrouve donc dans une belle galère et tout ça nous est exposé à travers différents flashbacks. Des intermèdes qui coupent une histoire dont le rythme n'est déjà pas très soutenu et il faut attendre les derniers instants pour profiter de quelques scènes d'action. On n'est pas non plus très emballé par les personnages masculins et notamment celui incarné par Ewan McGregor qui n'a pas vraiment le charisme pour nous faire frémir. Entre déception et ennui, cette réalisation de Gavin O'Connor ne restera pas dans les mémoires !

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser votre femme seule plus de 3 ans sinon ...

  • Charlie Mortdecai

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    Bien qu’il arbore fièrement sa nouvelle moustache, notre pote Charlie Mortdecai (Johnny Depp) a d’autres soucis en tête comme ses ressources financières. Comme lui rappelle si bien sa femme Johanna (Gwyneth Paltrow), ils seront bientôt sur la paille et sont même déjà en train de vendre quelques effets personnels pour s’en sortir. La solution pourrait venir de l’Inspecteur Martland (Ewan McGregor) qui a besoin des services de Charlie afin de retrouver une toile de Goya qui a été volée. Cette peinture aurait été confiée à Bronwen (Norma Atallah) pour être restaurée mais celle-ci a été retrouvée morte ce qui laisse à croire qu’elle aurait fait une découverte importante.

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    Avant toute chose, il convient de préciser que Charlie Mortdecai doit se regarder avec beaucoup de second degré tant par son histoire que par l’interprétation des acteurs qui n’hésitent pas à surjouer. Le genre de rôle que Johnny Depp maitrise depuis quelques années maintenant et à moins de l’adorer, il faut avouer qu’il ne nous amuse plus vraiment. A partir de là il est donc difficile d’apprécier cette comédie aux traits grossiers, aux gags répétitifs même si elle propose un mixte pas non plus désagréable entre humour, action et enquête policière. Un film devant lequel on ne s’enthousiasme pas vraiment.

     

    Il faut le voir pour : Porter une moustache !

  • Un été à Osage County

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    C’est à la suite d’un appel de sa sœur Ivy (Julianne Nicholson) que notre pote Barbara (Julia Roberts), son mari Bill (Ewan McGregor) et leur fille Jean (Abigail Breslin) se sont déplacés jusqu’à Osage County, Oklahoma. Elle rejoint ainsi sa mère Violet (Meryl Streep) atteinte d’un cancer de la bouche et qui est totalement désespérée depuis que son mari Beverly (Sam Shepard) a soudainement quitté la maison. Ivy & Barbara font tout pour réconforter leur mère mais elles ont du mal à comprendre pourquoi leur père s’est ainsi enfui, en tout cas pour Violet c’est l’occasion de revoir sa fille préférée. Un soir, cette famille est réveillée par le Shérif qui vient leur annoncer une triste nouvelle.

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    Il y a d’abord eu une pièce de théâtre avant qu’Un été à Osage County ne soit adapté au cinéma. Pour l’occasion c’est un sacré casting qui a été réuni avec les présences de Juliette Lewis, Ewan McGregor, Benedict Cumberbatch mais ce beau monde se fait vite éclipser par un superbe duo. C’est un plaisir de revoir Julia Roberts dans un rôle digne de ce nom mais surtout celle qui ne vous laissera pas insensible c’est Meryl Streep tout simplement fabuleuse dans la peau de cette mère acariâtre. On ne s’ennuie jamais avec les réunions familiales et le film de John Wells ne fera pas exception avec son lot de rires, de révélations et bien sur d’émotions. Tout est fait pour qu’on ne décroche pas jusqu’à la dernière seconde et c’est exactement ce qu’il se passe !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger de la viande pour ne plus être en colère !

  • Jack le chasseur de géants

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    Son oncle lui avait demandé d’aller vendre un cheval et c’est ainsi que notre pote Jack (Nicholas Hoult) s’est retrouvé dans les ruelles du village. C’est là qu’il rencontre un drôle de moine qui lui subtilise son canasson et lui donne en échange un sac contenant … des haricots. Evidemment, en rentrant à la maison, Jack se faire sévèrement sermonner mais il est sur le point de vivre une formidable aventure. En effet, il égare un des haricots qui, au contact de l’eau, va faire pousser une plante géante s’élevant dans le ciel et qui va devenir une passerelle. Lorsqu’il était enfant, il a entendu de nombreuses histoires mais cette fois c’est la réalité ; il va bientôt pénétrer dans le monde des Géants !

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    C’est ce qu’on appelle la loi des séries ; après Sam Raimi et Le monde fantastique d'Oz c’est maintenant à l’ancien réalisateur d’X-Men Bryan Singer de s’attaquer à un conte pour enfants. Avec Jack le chasseur de géants, vous aurez tous reconnu les histoires de Jack et le Haricot magique & Jack le tueur de géants mais cette adaptation n’est pas vraiment de taille. Disons que le grand public trouvera quand même son compte puisque l’aventure est au rendez-vous, les effets spéciaux sont de bonne facture hormis peut-être ces géants trop superficiels à mon gout. Tout ça manque tout de même de spectacle en dehors de la scène finale tout comme ce couple Eleanor Tomlinson / Nicholas Hoult qui manque singulièrement de prestance. Un film au final assez sage et qui ne cherche pas à dépasser le statut d’un simple divertissement familial.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois avant d’avaler un haricot !

  • The impossible

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    Maria & Henry Bennett (Naomi Watts & Ewan McGregor) et leurs 3 enfants Lucas, Thomas & Simon (Tom Holland, Samuel Joslin, Oaklee Pendergast) se sont offerts de magnifiques fêtes de fin d’année. C’est en Thaïlande, à Khao lak qu’ils célèbrent ainsi Noël mais le paysage idyllique va bientôt laisser place à un vrai cataclysme. Le 26 Décembre 2004, le monde découvre avec horreur les ravages provoqués par le plus grand tsunami de l’histoire dévastant tout sur son passage et faisant des milliers de victimes. La famille Bennett n’échappe à la tragédie, Maria & Simon parviennent à se retrouver mais la mère est gravement blessée et semble résignée à l’idée d’avoir perdu son mari et ses 2 autres fils.

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    Au cœur de cette terrible tragédie qu’a représenté le Tsunami de 2004 émergent tout de même quelques belles histoires comme celle vécue par une famille espagnole qui a inspiré ce film. Evidemment ce n’est pas vraiment trahir le secret en vous révélant que la fin "heureuse" et on a également un peu de mal à supporter cette mise en scène finale beaucoup trop théâtrale. Notre regard se posera plutôt sur l’environnement apocalyptique que nous propose le réalisateur Juan Antonio Bayona. The impossible est parsemée de certaines images très violentes, de scènes intenses reflétant l’horreur provoquée par cette catastrophe naturelle et c’est ce qu’on préférera garder de ce drame.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus avoir honte de porter un maillot de bain ridicule car ça peut servir !

  • Piégée

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    Un restaurant isolé dans l’Upstate New-York. Notre pote Mallory Kane (Gina Carano) est au point de rendez-vous mais elle est surprise de voir débarquer Aaron (Channing Tatum). A peine le temps d’échanger quelques mots et un café, une violente bagarre est déclenchée et un coup de feu est même tiré mais elle parvient à s’enfuir avec l’aide de Scott (Michael Angarano). Ce dernier va découvrir que la femme qui l’accompagne est un agent d’élite et elle va lui confier certains secrets. Tout a commencé il y a quelques jours avec cette mission à Barcelone où l’objectif était de sauver un journaliste nommé Jiang (Anthony Brandon Wong). A la suite de cela, c’est à Dublin que Mallory s’est rendue et c’est là qu’elle a compris le piège qui lui était tendu.

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    Parce que les femmes  n’ont pas fini de prendre le pouvoir, Steven Soderbergh décide lui aussi de mettre en scène son héroïne en la personne de Gina Carano. Choix audacieux de confier ce rôle à une quasi-inconnue (elle s’est surtout fait connaitre avoir combattu notamment à la MMA) qui brille hélas davantage pour ses performances athlétiques que ses talents de comédienne. Pas fou non plus, le réalisateur l’entoure de Michael Fassbender, Ewan McGregor, Michael Douglas ou Antonio Banderas pour assurer la valeur commerciale de son film. Piégée se fait remarquer par la sobriété affichée lors des scènes d’action ; perturbant mais pas si mal dommage cependant que l’intrigue ne fasse pas preuve de la même efficacité. A cause de son scénario confus, on est vite perdu et on n’a pas forcément envie de retrouver son chemin…

     

    Il faut le voir pour : Essayer de faire moins de bruits lorsque vous prenez une chambre à l’hôtel !

  • Des saumons dans le désert

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    Au début notre pote Alfred Jones (Ewan McGregor) pensait qu’il s’agissait d’une plaisanterie. Tout est parti d’un mail qu’il a reçu d’Harriet Chetwode-Talbot (Emily Blunt) lui demandant des renseignements dans le cadre d’un projet de pêche de saumon au Yémen ! Cette idée insensée va pourtant vite devenir une réalité grâce notamment au soutien du gouvernement britannique soucieux d’améliorer l’image de ses relations avec le Moyen-Orient. Il est nécessaire également de préciser qu’à l’initiative de ce projet il y a le richissime Cheikh Mohammed (Amr Waked) qui a d’ores et déjà engagé la somme de 50 millions de pounds. Alfred ne peut plus reculer et cela lui permettra d’oublier les soucis qu’il rencontre actuellement avec sa femme Mary (Rachael Stirling).

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    A la source de ce film de Lasse Hallström, on trouve le roman Partie de pêche au Yémen de Paul Torday. A moins d’être un adepte de Chasse et pêche, pas évident de mordre à l’hameçon de cette histoire à l’eau de rose saumon. On ne se passionne pas plus pour ce scénario singulier que pour des personnages transparents comme de l’eau de roche malgré un duo Blunt / McGregor assez séduisant. D’une profonde banalité, Des saumons dans le désert ne nous épargne pas en matière de guimauve à tel point que les spectateurs ont toutes les chances de s’y noyer. Il n’y a que les assoiffés de romance mielleuse qui y trouveront un certain plaisir, les autres vont vite prendre la mouche.

     

    Il faut le voir pour : Travailler votre lancer de canne à pêche, ça peut sauver des vies !

  • Perfect sense

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    Trouvera-t-elle un jour un homme qu’elle pourra sincèrement aimer ? C’est la sempiternelle question que se pose notre pote Susan (Eva Green). Cette épidémiologiste n’a pourtant pas à chercher bien loin car elle va faire la connaissance de Michael (Ewan McGregor) qui travaille au restaurant situé juste en bas de chez elle. Si un nouveau couple se forme, il y a actuellement un curieux phénomène qui frappe le monde entier ; certaines personnes perdent soudainement leur odorat. Jusqu’à présent on est incapable de trouver une explication à cela et ce mal ne va cesser d’évoluer car après l’odorat, ce sont le goût et ensuite l’ouïe des Hommes qui sont affectés.

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    Humez l’odeur du pop-corn, écoutez les conversations pas si discrètes de vos voisins et mangez du regard le duo Eva Green / Ewan McGregor ; Perfect sense a pour ambition de vous faire redécouvrir vos sens. Dans son postulat de départ, ce film de David MacKenzie pourrait bien vous rappeler le Blindness de Fernando Meirelles, mêmes effets et mêmes conséquences sur une humanité complètement déboussolée. On serait aussi tenté de dire qu’on retrouve une pincée de Contagion avec une paranoïa édulcorée par la romance de Susan & Michael. Un film qui sent donc un peu le réchauffé avec un thème déjà exploré malgré tout on se laisse entrainer dans ce scénario catastrophe et qui sait prémonitoire …

     

    Il faut le voir pour : Préparer votre stock de gras et de farine !

  • Star Wars Episode 1 - La menace fantôme 3D

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    La planète Naboo est prise à la gorge par la Fédération du Commerce qui a organisé un blocus. Afin de désamorcer cette situation, Qui-Gon Jin & Obi Wan Kenobi (Liam Neeson & Ewan McGregor), 2 chevaliers Jedi, ont été envoyé en tant qu’émissaires mais les négociations vont tourner court. A peine sont-ils arrivés sur le vaisseau qu’ils sont attaqués de toute part mais ils parviennent à échapper au piège tendu et à rejoindre sur Naboo où la Reine Amidala (Natalie Portman) est en danger. Elle est en effet capturé par les soldats de la Fédération et ils veulent la forcer à signer un traité mais elle va parvenir à s’enfuir grâce à l’intervention des Jedi, ils prennent alors la direction de la planète Tatooine. C’est là que Qui-Gon fait la connaissance du jeune Anakin Skywalker (Jake Lloyd), une rencontre qui aura des répercussions sur l’avenir de la galaxie.

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    Voici donc le point de départ de la mythologie Star Wars, l’épopée la plus prolifique de l’histoire du cinéma. Evidemment, en tant que fan de l’univers inventé par George Lucas, on se réjouissait d’avance mais c’est là qu’il a fait son apparition : Jar Jar Binks !! Ce personnage plus que controversé est à l’image de Star Wars Episode 1 - La menace fantôme 3D à savoir destiné à faire marcher à plein régime la machine Marketing. Avec les progrès des effets spéciaux, le réalisateur a laissé son imagination fertile prendre vie mais à trop vouloir en faire il en oublie l’âme de sa saga. Il n’y a encore que le personnage de Dark Maul qui sauve un peu ce film mais il est tellement sous-exploité qu’on en finirait presque par l’oublier. On se laissera tenter parce qu’il s’agit de Star Wars mais ce n’est pas un épisode qui restera dans les mémoires.

     

    La version 3D : Qu’il est malin ce Lucas, après avoir ressorti sa première trilogie en version Edition spéciale, voilà qu’il s’empare du phénomène de la 3D pour se faire encore plus d’argent satisfaire les plus grands fans. Une version très artificielle, il n’y a aucune scène dans laquelle on ne se sent immergé pas même la course de Pod racers et c’est là qu’on se dit que l’attente ne valait pas vraiment la peine !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir l’enfance de Dark Vador

  • Beginners

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    Durant toute son enfance, notre pote Oliver (Keegan Boos / Ewan McGregor) s’est interrogé sur la relation qui unissait ses parents. Il pensait que leur mariage n’était qu’illusion et qu’il n’y a jamais eu d’amour entre eux ce qui est faux ; ils s’aimaient mais de manière différente. C’est à la mort de sa mère qu’Oliver découvre enfin la vérité : son père Hal (Christopher Plummer), après 44 ans de mariage, annonce qu’il est gay ! Malheureusement, celui-ci tombe gravement malade et aujourd’hui Oliver se remémore avec émotion les derniers moments qu’il a partagés avec son père. Dans le même temps, il a rencontré Anna (Mélanie Laurent), une comédienne dont il est tombé fou amoureux.

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    Mike Mills est encore peu connu au cinéma puisqu’il s’agit là de son 2nd long métrage seulement mais on a pu le voir à l’œuvre dans de nombreux clips vidéos pour Air ou Moby. On retrouve sur certains passages de Beginners son sens artistique malheureusement, cela se fait parfois aux dépens de l’intrigue. Bousculé par la narration qui alterne passé et présent, le spectateur devient témoin d’une double histoire plutôt inégale. De mon coté, la relation avec le père reste la trame la plus intéressante et qu’il fallait donc développer tandis que l’idylle naissante avec Anna apparait comme anecdotique. La comédienne française a beau être charmante, elle nous laisse ici totalement de glace !

     

    Il faut le voir pour : Continuer à parler avec vote chien car oui, il vous comprend !