Dance Movie
Il faut le voir pour : On cherche encore !
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Il faut le voir pour : On cherche encore !
Lorsque notre pote Tripp (Matthew McConaughey) ramène une femme à la maison, ce n’est jamais bon signe pour cette dernière. En effet si ce playboy a tout pour plaire, il habite encore chez ses parents Sue & Al (Kathy Bates & Terry Bradshaw) qui aimeraient bien qu’il se décide à prendre son envol. C’est dans ce but qu’ils font appel à Paula (Sarah Jessica Parker) ; pour le séduire et le convaincre de quitter le nid familial. Tout se passe exactement comme prévu sauf qu’avec le temps Paula tombe inexorablement sous le charme de Tripp qui ne se doute de rien jusqu’à ce que la vérité lui vienne aux oreilles.
Une comédie américaine tout ce qu’il y a de plus basique c'est-à-dire un scénario recyclé et un humour qui sent un peu le moisi. Pourtant le thème de l’adulescence est porteur comme l’a si bien prouvé l’excellent Frangins malgré eux mais Playboy à saisir préfère se focaliser sur l’histoire d’amour de Matthew McConaughey et Sarah Jessica Parker. Et là pas de surprises, ça forme un beau couple et puis ça casse pour finalement se remettre ensemble pour couler des jours heureux ; les scénaristes n’ont pas fait beaucoup d’efforts. A peine divertissant, à voir seulement si vous êtes seul chez vous enfin chez vos parents.
On ne peut pas vraiment dire que ces vacances en famille emballent notre pote Tom (Carter Jenkins) et pourtant elles vont devenir inoubliables. En effet, il se trouve que la maison que ses parents ont louée abrite un objet de grande valeur que recherchent activement quatre petites créatures extraterrestres ! Débarqués pour envahir la Terre, ils ont une arme puissante qui leur permet de prendre le contrôle des êtres humains mais cela n’a aucun effet sur les enfants. Tom, sa petite sœur et ses cousins doivent donc absolument stopper ces extraterrestres et ne veulent impliquer aucun adulte de peur qu’ils tombent sous l’influence des aliens.
Il faut le voir pour : Ne plus sous-estimer votre grand-mère !
Il s’appelle Régis Deloux (Franck Dubosc) et jusqu’à présent il n’était qu’un simple professeur de la banlieue de Montreuil sous bois. Pourtant, il possède un don particulier ou du moins il a entre ses mains un objet magique : la broche de Sissi alias Viviane Cook (Lucy Gordon). C’est Pierre Richard en personne qui lui a appris qu’il suffisait d’un simple baiser sur la broche pour se retrouver propulsé dans un film de cinéma. Sa mission est de sauver Viviane qui a été enlevée par l’ignoble Douglas Craps (Pierre-François Martin Laval) et qui la promène de films en films. De Pour une poignée de dollars à Robin des bois, Régis va vivre des aventures passionnantes.
L’univers du cinéma est immensément riche et on s’attendait donc à un bel hommage placé sous le signe du rire de la part de Yann Moix. Une fois qu’on se retrouve devant le film, on se dit alors que Cinéman est tout simplement une aberration ; un cauchemar pour tout bon spectateur qui se respecte. Passe encore le scénario ridiculement expéditif mais cette pseudo comédie nous gave pendant 1H30 avec ses gags très lourdauds et Dubosc en fait des tonnes ce qui tape rapidement sur les nerfs. Rarement une comédie française n’aura été aussi consternante et donc vous aurez compris qu’il vaut mieux aller voir un vrai film de cinéma.
Il faut le voir pour : Rêver de pouvoir un jour entrer dans les films pour détruire celui-ci !
Les petits bouts de choux ont encore frappé ! Tout ça c’est de la faute de Patapouf qui n’a pas pu résister à l’appel irrésistible de son estomac et qui s’est engouffré dans ce camion de glaces. Evidemment ; ses frères et sœurs Rosabelle, Bouboue, Bouddha & Bandit se sont laissés entrainer et voici nos 5 chiots qui sont embarqués dans un avion et atterrir de façon mouvementé en Alaska. C’est là qu’ils font la connaissance de Shasta, le chien d’Adam (Dominic Scott May) qui n’a qu’une envie ; constituer une équipe pour participer à la fameuse course annuelle de chiens de traineaux de Ferntiuktuk.
Nos chiots préférés sont de retour et cette fois, ils prennent des vacances d’hiver ! Suite directe du film 5 toutous prêts à tout ; on retrouve donc nos héros embarqués dans une histoire invraisemblable mais les enfants n’en tiendront pas rigueur. Pas de surprises avec Les copains des neiges, cette production Disney ne prend pas de risques et nous sert une nouvelle fois du réchauffé. On se laissera tenter avant tout pour faire plaisir aux plus petits ou alors parce que vous êtes un amoureux des petits chiens qui parlent !
En savoir plus sur 5 toutous prêts à tout ?
Découvrez le film Dans la peau du héros !
Il y a exactement 30 ans, Bazil (Dany Boon) perdait son père terrassé par une mine anti-personnelle. Lui a eu plus de chances (enfin si on peut dire), il a été témoin d’un règlement de comptes et reçu une balle en pleine tête mais est toujours vivant. Malheureusement, son accident a eu d’autres répercussions puisqu’il se retrouve désormais à la rue et sans travail. Si dans un premier temps, il se débrouille seul il va ensuite rejoindre Placard (Jean-Pierre Marielle) et ses potes d’enfance, des marginaux qui se sont organisés. Un jour, Bazil se retrouve face à la cause de ses malheurs ; les marchands d’arme La vigilante de l’armement et Les arsenaux d’Aubervilliers.
On le sait désormais, les films de Jean-Pierre Jeunet ont cette incroyable faculté à nous transporter dans un tout autre univers et celui-ci ne déroge pas à la règle. Impossible de rester de marbre devant l’innocence de Bazil ou encore avec la facétieuse troupe de Placard, galerie de personnages vraiment insolites. Le charme aurait été complet si le scénario de Micmacs à tire-larigot ne nous semblait pas aussi paresseux. La bande à Bazil qui font des pieds et des mains pour se faire confronter deux méchants marchands d’arme, on a vu mieux. On ressort donc de la salle avec une pointe de déception même si le voyage était agréable.
Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes lorsque vous ouvrez votre réfrigérateur.
Bonjour, Commissaire Hubert Fiorentino (Jean Reno)
En moins de 48 heures, je viens d’apprendre que la seule femme que j’ai aimé et qui m’a quitté sans donner de ses nouvelles est morte en laissant derrière elle une fille ; notre fille. Elle s’appelle Yumi (Ryoko Hirosue) et elle a 19 ans.
Sa mère Miko (Yuri Sakai) a demandé dans son testament que je m’occupe d’elle jusqu’à sa majorité c'est-à-dire dans 2 jours. Bref, me voici de retour au Japon après des années d’absence. Cette affaire a quelque chose de louche, sur le corps de Miko j’ai trouvé des traces suspectes.
J’ai confié les relevés à mon ancien partenaire Momo (Michel Muller) afin qu’il les fasse analyser mais mon petit doigt me dit que tous ces évènements ont un rapport avec la fortune dont a hérité Yumi.
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Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des êtres artificiels, des clones que l’on peut contrôler à distance. Le gouvernement a également permis l’utilisation de ces clones dans la vie quotidienne et ils occupent désormais une place prépondérante dans notre société. Les agents du FBI Peters & Greer (Radha Mitchell & Bruce Willis) enquêtent actuellement sur un meurtre inquiétant puisque pour la première fois non seulement le clone a été détruit mais son utilisateur a également trouvé la mort. Les choses sont encore plus étranges lorsqu’ils apprennent que la victime n’est autre que le fils de Lionel Canter (James Cromwell), créateur de la technologie des clones.
Adaptation d’un comic book (Surrogates), l’histoire semble elle aussi avoir été clonée sur des films comme I Robot. On retrouve ainsi une société aseptisée envahie d’êtres artificiels où tout le monde ressemble à des mannequins sans oublier un groupe d’illuminés dénonçant cette déshumanisation à outrance. Pas brillant donc au niveau du scénario, le reste n’est pas meilleur et la présence de Bruce Willis n’y changera rien ! Avare en matière d’action et trop superficiel au niveau de l’intrigue, on échappe donc pas à ce désagréable sentiment de déjà-vu et en ce sens Clones porte bien son nom !
Il faut le voir pour : Donner l’occasion à votre clone de se faire une séance de ciné.
En Juillet 2009, après près de 10 ans d’absence, Michael Jackson aurait du donner une série de concert pour ponctuer son immense carrière. Nous sommes à quelques mois de cet évènement mondial, l’annonce des concerts ravit évidemment les fans qui se ruent sur les places et espèrent vivre un show mémorable. Pendant ce temps, Michael et son équipe se préparent ; les castings sont organisés pour trouver les danseurs et les répétitions vont débuter sous l’œil et devant la caméra du directeur artistique Kenny Ortega. Le roi de la pop veut offrir sa plus belle performance, pour remercier son fidèle public il souhaite tout simplement donner le meilleur de lui-même.
A peine quelques mois après son décès, on peut s’interroger sur les réelles motivations qui accompagnent la sortie de Michael Jackson’s This is it. Hommage au King of pop et l’occasion de célébrer sa mémoire ou pur produit marketing, chacun se fera son avis. Ce qui est sur c’est que si on été séduit par l’artiste, c’est avec émotion qu’on le reverra au cours de ces répétitions où il démontre qu’il n’a rien perdu de sa superbe. Danseur extraordinaire et chanteur de génie, il provoque les applaudissements dans la salle et fera également couler quelques larmes aux spectateurs les plus émotifs. A aucun moment, on évoque sa disparition preuve s’il le faut encore que sa légende reste immortelle.
Il faut le voir pour : Michael Jackson !
Jennifer (Megan Fox) et sa pote d’enfance Needy (Amanda Seyfried) étaient parties pour assister à un concert du groupe Low Shoulder mais la soirée allait prendre une tournure dramatique. Un incendie s’est déclaré faisant une dizaine de victimes, une tragédie pour tous les habitants de Devil’s Kettle et ce n’est pas tout ! Le même soir, Jennifer qui n’avait pas l’air dans son état normal est partie en compagnie des membres du groupe et lorsqu’elle revient elle semble comme possédée. Needy ne reconnait plus celle avec qui elle a grandi et pendant ce temps Jennifer doit assouvir sa faim en dévorant les garçons qu’elle croise.
Après le gros succès de Juno, Diablo Cody continue son analyse de l’adolescence mais incorpore cette fois une teinte de fantastique et d’épouvante. Si on peut volontiers un certain talent d’écriture à Jennifer’s body, la réalisation confiée à Karyn Kusama (Aeon Flux) n’a elle vraiment rien d’extraordinaire. Malgré tout on ne peut pas nier qu’on se laisse facilement entrainer dans une histoire résolument orientée vers le fun. Un film diablement efficace à défaut d’apporter du sang neuf et puis la présence de Megan Fox en dévoreuse d’hommes au sens propre comme au sens figuré n’est vraiment pas désagréable à nos yeux !
Il faut le voir pour : Croire tout ce qui est écrit sur Wikipédia !