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  • Indian Palace - Suite royale

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    Depuis que notre pote Sonny Kapoor (Dev Patel) a lancé le Marigold, le succès n'a fait que croître à tel point qu'il envisage maintenant d'ouvrir un nouvel hôtel. C'est ainsi qu'il se retrouve aux États-Unis en compagnie de Mme Donnelly (Maggie Smith) afin de vendre cette idée et ça semble intéresser les investisseurs même si rien n'est encore fait. Un visiteur va se rendre au Marigold pour évaluer son potentiel et Sonny devra soigner chaque détail s'il veut concrétiser son projet. Il est tellement obsédé par ce sujet qu'il en oublierait presque son mariage mais heureusement que sa fiancée Sunaina (Tina Desae) est là pour lui remettre les idées en place !

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    Indian Palace premier du nom ne m'avait pas laissé de bons souvenirs en raison de ses personnages hautement stéréotypés. Indian Palace - Suite royale partait donc sur de mauvaises bases d'autant plus que le film démarre par un Dev Patel dopé à la caféine mixé à du Red Bull devenant ainsi vite insupportable. Fort heureusement, ça se calme par la suite pour laisser place aux véritables héros ; le prestigieux casting du précédent épisode a répondu de nouveau présent et vient se glisser un hôte non moins prestigieux avec Richard Gere. La suite tape dans le classique et les spectateurs qui s'étaient régalé avec ces personnages seront ravis de les retrouver, les autres beaucoup moins.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une danse pour votre mariage !

     

    En savoir plus sur Indian Palace ?

  • Pride

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    1984 en Angleterre. La politique de fer instaurée par Margaret Thatcher secoue le pays et provoque ce qui sera la plus grande grève des mineurs ; un mouvement qui ne se déroule pas toujours de manière pacifique. Cette situation, notre pote Mark (Ben Schnetzer) la connaît assez bien puisqu’il la vit tous les jours ; être homosexuel lui a valu de nombreuses discriminations. Il décide ainsi avec d’autres potes d’enfance de créer le LGSM en solidarité avec les mineurs et de récolter les fonds qui pourraient les aider. Seulement lorsqu’ils contactent les syndicats, ces derniers se montrent très frileux jusqu’au moment où la LGSM entre directement en contact avec un village du Pays de Galles.

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    Après de ce film, un constat s'impose : c'est une histoire tout de même merveilleuse qui méritait vraiment la peine d’être racontée sur le grand écran. Inspiré de faits réels, Pride nous invite ainsi à découvrir le destin commun de 2 mondes totalement différents à savoir les travailleurs et les homosexuels. Au niveau du récit, le réalisateur Matthew Warchus s'appuie sur un schéma très classique mais on se laisse entraîner avec grand plaisir par cet exemplaire élan de solidarité parcouru par quelques rires. Un feel-good movie qui redonne un peu foi en l'humanité et donc c'est à ne pas manquer d'où ce Coup de cœur Cin2909 !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que les lesbiennes sont végétariennes !

  • I, Frankenstein

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    1795. La créature qui a été crée de toutes pièces par le Docteur Victor Frankenstein (Aden Young) vient tout juste d’enterrer son créateur qu’il est attaqué par des démons. Ces derniers sont envoyés par un certain Naberius (Bill Nighy) mais vont se heurter aux gargouilles venues en aide au monstre de Frankenstein. La reine Leonore (Miranda Otto) voit en lui un énorme potentiel dans la guerre que se livre démons et gargouilles et celui qu’elle désigne désormais sous le nom d’Adam (Aaron Eckhart) pourrait bien faire pencher la balance en sa faveur. Durant des années, il sera poursuivi par les démons de Naberius mais il est désormais temps pour lui de mettre fin à cette chasse au monstre !

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    Le mythe du monstre de Frankenstein est ici réinterprété de façon très libre puisque viennent s’inviter à la fête des démons mais surtout des gargouilles pouvant prendre l’apparence d’humains (ou l’inverse). De là à résumer le film à un banal combat du bien contre le mal, il n’y a qu’un pas qu’on franchit aisément toujours est-il qu’on est assez surpris de voir Aaron Eckhart ou encore Bill Nighy dans ce genre de productions. I, Frankenstein c’est du divertissement à l’état pur avec bien entendu beaucoup d’action et des gerbes de feu qui flambent un peu partout à l’écran. Si vous avez besoin de mettre votre cerveau en pause alors vous avez un bon candidat devant vous !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les gargouilles qui se trouvent dans les rues !

  • Il était temps

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    C’est avec une sacrée gueule de bois que notre pote Tim (Domhnall Gleeson) commençait cette nouvelle année mais il va découvrir une chose incroyable. Son Père (Bill Nighy) lui apprend en effet un secret : tous les hommes de leur famille ont le don particulier de pouvoir voyager dans le passé. Bien sur, Tim prend d’abord cela à la rigolade mais une fois sorti de son placard, il doit bien admettre que son père ne lui a pas menti ! Le jeune homme va alors mettre à profit cet étonnant pouvoir pour une juste cause à savoir trouver l’amour. Il y aura d’abord Charlotte (Margot Robbie) pour qui il va avoir le béguin mais une fois qu’il sera installé sur Londres il n’aura plus d’yeux que pour Mary (Rachel McAdams).

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    Il nous avait enchantés avec son Good morning England, c’est donc un plaisir de revoir Richard Curtis avec ce qui semblait être une énième comédie romantique. Ce serait sous-estimer Il était temps car s’il y est bien question d’amour, le film se permet également un petit écart dans le fantastique en dotant son héros de ce pouvoir de retourner dans le passé. Loin d’être négligeable pour un Domhnall Gleeson, gaffeur invétéré mais homme au grand cœur et donc immédiatement sympathique à nos yeux. On est charmé par la galerie de personnages, tous par leurs comportements assez décalés amèneront de nombreux éclats de rires mais vous n’êtes pas non plus à l’abri de voire quelques larmes couler sur votre visage. On va laisser mon coté fleur bleue s’exprimer avec ce Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Faire de la place dans vos placards !

  • Total Recall Mémoires programmées

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    La fin du 21ème siècle aura été marquée par une grave crise chimique qui a rendu la vie sur Terre impossible. Si vous avez de la chance, vous vivez dans l’Union Fédérale Britannique ou alors vous êtes comme notre pote Douglas Quaid (Colin Farrell) et vous habitez dans la Colonie. C’est sur que ce n’est pas la vie dont il rêvait même s’il peut au moins se consoler d’avoir une femme aussi merveilleuse que Lorie (Kate Beckinsale). Il a envie de vivre autre chose et pourquoi pas devenir un agent secret ; c’est dans cette optique qu’il se rend chez Rekall. D’après leur publicité, ils sont capables d’implémenter dans le cerveau des souvenirs aussi vrais que nature mais cela va réveiller chez Doug des choses inattendues.

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    Avant d’évoquer un quelconque lien avec l’œuvre de Paul Verhoeven et de s’adonner au jeu des comparaisons, considérons le film de Len Wiseman pour ce qu’il est à savoir une adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick. Le réalisateur a déployé les grands moyens pour un film de science-fiction assez réussi et pas avare en action mais dans le même temps sans véritable âme. S’il réussit à tromper notre ennui, ce Total Recall Mémoires programmées n’est pas calibré pour marquer les esprits. Difficile de dire si les réminiscences du film des années 1990 n’y sont pas pour quelque chose toujours est-il que cette version est moins exotique et que s’il fallait choisir, cette version ne ferait pas le poids.

     

    Il faut le voir pour : Penser à investir dans l’immobilier britannique au cas où ...


    En savoir plus sur Total Recall ?

  • Indian Palace

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    Présenté comme un véritable paradis pour retraités, le Marigold Hotel a séduit Evelyn, Graham, Muriel, Jean, Douglas, Madge & Norman (Judi Dench, Tom Wilkinson, Maggie Smith, Penelope Wilton, Bill Nighy, Celia Imrie & Ronald Pickup) qui ont entrepris cet incroyable voyage en Inde. Chacun est là pour des raisons différentes ; un appel du cœur, l’envie de découvrir une toute autre culture ou simplement pour une opération de la hanche. A leur arrivée, il y a déjà une première déception car l’établissement n’est pas le palace qu’ils espéraient et est géré par un Sonny (Dev Patel) assez désordonné. Il compte bien faire de son hôtel une luxueuse résidence mais la volonté ne suffit pas, il lui faudra convaincre un investisseur et c’est loin d’être gagné.

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    Envie de vous plonger au cœur de l’Inde et de ses richesses ? Ba payez-vous un bon restaurant indien car ce n’est pas ce film qui va vous rassasier. Aux cotés d’un groupe de retraités, nous avons droit à une carte postale sans saveur dans laquelle se déroulent plusieurs histoires souvent sans intérêts. On se serait bien passé de quelques personnages qui n’apportent rien comme le duo de célibataires mais en plus de ça, le film ne nous épargne pas des clichés. Le plus flagrant étant évidemment une Maggie Smith raciste et aigrie qui va finir par ouvrir son esprit au contact d’une indienne. "Tout est bien qui finira bien" selon le proverbe ; si ce n’est pas bien c’est que ce n’est pas encore la fin alors attention, Indian Palace risque d’être interminable !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous fier aux photos quand vous réservez un hôtel !

  • La colère des Titans

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    Après sa bataille épique contre le Kraken, notre pote Persée (Sam Worthington) et son fils Hélios (John Bell) se sont retirés sur une ile où le héros est devenu un simple pêcheur. Zeus (Liam Neeson) vient pourtant solliciter son aide ; les hommes ne prient plus les Dieux dont les pouvoirs ne cessent de s’amenuiser et cela pourrait permettre aux Titans de se libérer du Tartare. Persée ne souhaite plus être mêlé à ses histoires mais bien malgré lui il va devoir prendre part à cette bataille titanesque. Arès (Edgar Ramírez) a en effet trahi Zeus & Poséidon (Danny Huston) et s’est rallié à Hadès (Ralph Fiennes) afin de libérer Cronos, roi des Titans et père des Dieux.

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    Sans un petit paquet de pop-corn, c’est un film qui perd déjà beaucoup de son intérêt ! Vous l’aurez compris, on ne fait pas dans la dentelle avec La colère des Titans, la suite de Le choc des Titans qui avait été confié aux mains du français Louis Leterrier mais qui laisse sa chaise de réalisateur à Jonathan Liebesman. On ne s’est évidemment pas beaucoup trifouillé les méninges pour pondre le scénario et en même temps ce n’est pas ce qu’on est venu chercher mais de l’action. Après une petite mise en bouche plutôt sympa, l’odyssée de Persée trouve son petit rythme de croisière pour se conclure avec une confrontation qui n’a rien à envier avec celle du Kraken. Léger mais en tout cas plus divertissant que son prédécesseur.

     

    Il faut le voir pour : Recommencer à prier les Dieux mais pas n’importe lesquels !


    En savoir plus sur Le choc des Titans ?

  • Mission : Noël Les aventures de la famille Noël

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    Comme tous les enfants, notre pote Gwen a préparé sa lettre au Père Noël et a demandé à recevoir en cadeau une jolie bicyclette rose. Sa demande a bien sur été entendue et le soir du 24 Décembre, ce sont plus de 2 milliards de parquets qui sont à distribuer du moins c’est ce qui était prévu. Au Pôle-Nord, un des lutins s’est en effet rendu compte que ce cadeau s’était égaré et qu’il y a donc un enfant dans le monde qui n’a pas eu son paquet ce qui est inconcevable ! Le système de distribution mis au point par Steve, le fils du Père Noël était pourtant  censé être infaillible et malgré tout ils ne semblent pas vouloir réparer leur erreur. C’est donc Arthur, l’autre fils du Père Noël et son grand-père qui vont s’en charger avec le traîneau traditionnel.

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    Aussi inévitable que le blockbuster de l’été aux Etats-Unis, le petit film d’animation à l’approche des fêtes de Noël est lui aussi devenu une tradition. Les résultats sont souvent peu fameux puisqu’on a tendance à se contenter de mettre en situation ce cher Papa Noël, ses lutins et quelques rennes pour faire plaisir aux enfants. Mission : Noël Les aventures de la famille Noël ne dérogera pas à cette règle ; graphismes et animation sont de bonnes factures (avec un Arthur qu’on pourrait presque confondre avec Linguini de Ratatouille) mais le déroulement de l’histoire est plat. Pas beaucoup de rires non plus ce qui fait qu’au final la magie de Noël n’aura ici d’effets que sur les enfants.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de rédiger votre lettre au Père Noël !

  • Rango

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    Il vient de débarquer à Poussière et plus rien ne sera comme avant ! Il se fait appeler Rango et a la gâchette facile et d’ailleurs avec une seule balle, il est parvenu à terrasser le faucon qui terrorisait toute la ville. Pourtant, il y a encore quelques heures, Rango n’était qu’un simple caméléon perdu en plein désert Mojave après un accident de la route qui l’a séparé de ses propriétaires. Pour se fondre dans le décor, il s’est donc fait passer pour un redoutable cow-boy et cette réputation lui vaut d’être nommé shérif. Sa première tache sera de résoudre l’énigme concernant l’eau qui n’arrive plus jusqu’à Poussière et qui pousse chaque habitant à quitter la ville.

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    Après nous avoir fait voyager en compagnie de Jack Sparrow et de ses hommes du Black Pearl, Gore Verbinski nous offre une belle récréation avec Rango, un caméléon qui va vous en faire voir de toutes les couleurs. Premier point frappant, les graphismes sont d’une beauté et d’une finesse exceptionnelle à l’image du clone de Clint Eastwood. A cela s’ajoute un panel de personnages d’une grande diversité avec évidemment comme point d’attache un héros peu conventionnel. Belle aventure qui promet aux spectateurs de toutes les générations de passer un très bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à apprécier l’eau courante !

  • Petits meurtres à l'anglaise

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    Par tradition familiale, notre pote Victor Maynard (Bill Nighy) est devenu tueur professionnel avec une efficacité exemplaire. Dans le milieu, il est le meilleur et c'est pourquoi le malfrat Ferguson (Rupert Everett) a fait appel à lui pour éliminer une jeune femme du nom de Rose (Emily Blunt). Cette dernière a joué un bien vilain  tour à Ferguson en lui extorquant 900 000 livres sterling en échange d'une copie d'un tableau de Rembrandt. Victor se met donc en chasse mais se révèle incapable d'accomplir son contrat, il s'attache à sa cible, une femme sans retenue et cleptomane mais tellement ravissante !

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    Une très bonne surprise que ce remake de Cible émouvante et si en plus vous avez un faible pour l'humour noir et le style british, Petits meurtres à l'anglaise est définitivement fait pour vous ! Bill Nighy est tout simplement délicieux dans la peau de ce tueur si raffiné très pince sans rire qui devra faire face au charme ravageur de la belle Emily Blunt. Même si on peut déplorer une petite baisse de rythme dans sa dernière partie, Petits meurtres à l'anglaise reste toutefois une excellente comédie qui décroche mon Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Opter pour le paiement en 2 fois et découper vos billets de banque.