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william fichtner

  • Ninja turtles

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    Son rêve était de devenir journaliste et notre pote April O’Neil (Megan Fox) est parvenue à ses fins malheureusement on la cantonne à des reportages futiles. C’est pourquoi elle cherche un gros coup pour lancer sa carrière et c’est ainsi qu’elle s’intéresse aux activités du clan du Foot, une organisation criminelle qui terrorise tout New York. Lors de son enquête, elle va découvrir que la ville peut compter sur 4 anges-gardiens très particuliers ; il s’agit de tortues mutantes qui maitrisent l’art ninja. Le plus étonnant c’est que ces tortues du nom de Leonardo, Raphael, Michelangelo & Donatello (Pete Ploszek, Alan Ritchson, Noel Fisher & Jeremy Howard) ne sont pas totalement étrangers à April.

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    Plus de 20 ans après leur dernière apparition live au cinéma, les plus célèbres des tortues font leur comeback pour un film d’action parfaitement calibré. Les costumes laissent place à la motion capture offrant ainsi des tortues au physique imposant (notamment Raphaël). C’est sûr que Ninja turtles ne va pas marquer l’histoire du cinéma avec son scénario totalement convenu mais le film mêle de bonnes phases d’action et un humour bon enfant qui fait mouche. Le réalisateur Jonathan Liebesman n’a pas cherché à faire autre chose qu’un pop-corn movie et il remplit haut la main sa mission. Un film qui ravira les enfants qui fera également vibrer la fibre nostalgique de certains fans et après tout ça une bonne pizza s’impose, Cowabunga !!

     

    Il faut le voir pour : Commander une pizza aux 99 fromages la prochaine fois que vous irez au restaurant !

  • The homesman

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    La solitude, notre pote Mary Bee Cuddy (Hilary Swank) a été obligée de s’y habituer elle qui vit dans une ferme du Nebraska. Difficile pour elle de trouver un mari, il n’y a donc rien qui la retient dans cette ville de Loup aussi semblait-elle être la personne idéale pour ce voyage. Trois femmes ont en effet perdues l’esprit et il a été convenu de les conduire jusqu’en Iowa où on saura prendre soin d’elles. Le hasard a désigné Mary Bee pour les accompagner mais ce voyage s’annonce dangereux et surtout éprouvant aussi cela requiert la présence d’un homme à ses cotés. C’est ainsi qu’un certain George Briggs (Tommy Lee Jones) va se retrouver lui aussi embarqué pour ce voyage.

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    Adaptation du roman Le charlot des damnés de Glendon Swarthout, The homesman est surtout un projet dans lequel s’est entièrement impliqué notre pote Tommy Lee Jones. A la fois producteur, scénariste, réalisateur et acteur ; il nous offre un western âpre où il partage l’affiche avec une Hilary Swank comme souvent impériale. D’ailleurs, il ne faut pas se le cacher ; ce duo constitue la seule véritable attraction d’un film à la mise en scène classique qui n’ose pas grand-chose ce qui finit par rendre le temps long. Un road-movie qu’on découvrira essentiellement pour le talent de ses interprètes mais qui risque d’en décourager beaucoup par sa lenteur.

     

    Il faut le voir pour : Penser à garder du fromage sur vous si vous voulez vous marier.

  • Elysium

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    2154. La Terre est devenue inhabitable en raison notamment de la surpopulation et de la pollution qui ont transformé la planète en décharge à ciel ouvert. Les plus fortunés se sont réfugiés à Elysium, un véritable paradis se situant dans l’espace qui fait rêver beaucoup de monde comme notre pote Max Da Costa (Maxwell Perry Cotton / Matt Damon). Il s’était promis d’y aller un jour mais doit se rendre à l’évidence ; le billet pour s’y rendre est inabordable et ce n’est pas son modeste travail chez Armadyne qui va lui permettre de rejoindre Elysium. Pourtant, il n’a désormais plus le choix ; après un accident il se retrouve mortellement irradié et n’a plus que 5 jours à vivre à moins d’atteindre Elysium afin de se faire soigner dans une Med-box.

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    Il nous avait agréablement surpris en 2009 avec District 9, Neil Blomkamp fait enfin son come-back et n’a pas l’air d’avoir une vision très optimiste de notre avenir. Après avoir cloitré les aliens dans les bidonvilles d’Afrique du Sud, c’est maintenant toute la Terre qui devient un dépotoir avec en toile de fond une éternelle lutte des classes. Un scénario qui, au final, n’apporte rien par rapport à ce qui s’est déjà fait mais Elysium se rattrape heureusement par sa réalisation dynamique et son riche univers. Au vu des moyens accordés cette fois au réalisateur, il faut bien se rendre à l’évidence qu’on s’attendait à quelque chose de grandiose et qu’au final on ressort de la salle plutôt frustré. Bon film de Science-fiction certes mais en deçà des attentes malgré Matt Damon & Sharlto Cooper au top.

     

    Il faut le voir pour : Penser à retirer votre T-shirt avant de vous faire poser un exosquelette parce que pour le laver après ça va être coton !

  • Lone Ranger - Naissance d’un héros

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    1869. L’avenir s’annonce radieux à Colby au Texas ; la révolution des chemins de fer est en marche et on s’apprête à faire une belle démonstration de la force de la justice en faisant pendre le criminel Butch Cavendish (Wiliam Fichtner). Le seul problème c’est que la locomotive qui l’amenait à Colby a été attaqué et qu’il a réussit à s’enfuir mais les Rangers se lancent aussitôt à sa poursuite. Cela se termine tragiquement puisqu’ils tombent dans un piège duquel seul réchappera John Reid (Armie Hammer) qui aura vu Butch dévorer le cœur de son frère Dan (James Badge Dale). Il sera secouru par Tonto (Johnny Depp), un indien avec lequel il va s’allier pour réclamer vengeance et rétablir la justice !

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    Jack Sparrow est de retour … ah non pardon ici il s’appelle Tonto et les pirates ont laissé place aux cow-boys. La comparaison avec la saga Pirate des Caraïbes est incontournable puisqu’on retrouve Gore Verbinski, réalisateur des 3 premiers volets et évidemment la tête d’affiche Johnny Depp. On a donc tout simplement transposé une recette qui a fait ses preuves à l’univers du Western à travers un scénario reprenant sans originalité l’avidité des visages pales face aux indiens. La mission du Lone Ranger - Naissance d’un héros est de nous amuser et ça fonctionne plutôt bien même si on trouve parfois le temps long (comme ces passages bien inutiles entre le garçon et le vieux Tonto) mais les pitreries de Johnny deviennent de plus en plus lassantes…

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais enlever votre masque !

  • Wrong

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    Comme chaque matin, son réveil le sort du lit à 6H60 et notre pote Dolph Springer (Jack Plotnick) s’apprête à partir au travail mais quelques chose cloche dans la maison. Il n’a pas aperçu son chien Paul et très vite l’inquiétude va laisser place à une certitude : il a disparu ! C’est donc avec l’esprit préoccupé que Dolph se rend à son travail d’où il a été viré il y a maintenant 6 mois. A son retour à la maison, il découvre une lettre qui lui révèle que Paul a été kidnappé et pas par n’importe qui. Celui qui a commandité cela est un certain Master Chang (William Fichtner) et il a fait cela avec un but bien précis ; faire prendre conscience à son propriétaire la place qu’occupe ce chien dans sa vie.

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    Que l’on se rassure, le cinéma de Quentin Dupieux reste toujours aussi atypique et Wrong ne fait que perpétuer la tradition. Il y a au départ un scénario plus qu’anecdotique à savoir la disparition d’un chien et à partir de là se succèdent des situations totalement farfelues tel que ce travail dans un bureau sous la pluie ou encore la reconstitution du parcours d’un étron dans l’intérieur du chien ! Comme toujours ce style très particulier est plus que surprenant et peut aussi bien vous captiver que vous précipiter vers les sorties de secours. Si vous connaissez déjà la filmographie du réalisateur, vous ne serez pas trop décontenancé en revanche s’il s’agit pour vous d’une découverte de son univers attention au choc !

     

    Il faut le voir pour : Analyser les logos des prospectus des livreurs de pizzas.

  • Hell driver

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    Tout le monde le croyait mort et pourtant notre pote John Milton (Nicolas Cage) est bel et bien là en train de dézinguer tous les malheureux qui croiseront son chemin. Sa fille est morte dans d’atroces souffrances après s’être confronté à Jonah King (Billy Burke), gourou d’une secte peu recommandable. D’ailleurs, il a encore frappé en enlevant un bébé après avoir pris soin de se débarrasser des parents. John écume donc les routes pour lui mettre le grappin dessus mais son voyage ne sera pas de tout repos puisqu’il est poursuivi par un homme mystérieux se faisant appeler Le comptable (William Fichtner). Sans compter qu’il voyage avec Piper (Amber Heard), une jeune femme à qui il est venu en aide.

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    Que les amateurs de belles carrosseries (au sens propre comme au sens figuré) se réjouissent ; Hell driver arrive à point nommé pour titiller votre testostérone. Si on ne tient pas compte des belles nanas (Bravo à Amber Heard digne héritière de Megan Fox dans Transformers) et des bagnoles, que reste t-il de ce film, pas grand-chose assurément. Scénario quand même bien obscur et effets spéciaux d’une qualité consternante notamment dans la scène finale sautent à nos yeux mais le spectacle est assuré. A ceux qui n’ont pas besoin de réfléchir et qui apprécient le n’importe quoi, c’est un film fait pour vous !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de conduire comme un taré ou vous allez vous retrouver en enfer !

  • Crazy Night

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    Pour éviter que leur couple tombe dans la spirale infernale de la routine, nos potes Claire & Phil Foster (Tina Fey & Steve Carell) ont décidé que ce soir ils se feront plaisir ! Ils vont jusqu'à Manhattan pour aller dîner au Claw, dernier restaurant à la mode où il faut réserver au moins un mois à l'avance. Le couple s'imaginait pouvoir, avec de la chance, bénéficier d'une table mais ils sont déçus et sont à deux doigts de quitter les lieux lorsque Phil décide de prendre la réservation de quelqu'un d'autre. Ils se font donc passer pour les Triplehorn et passent une charmante soirée jusqu'à ce que deux hommes viennent les menacer.

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    Si la réputation de Steve Carell en tant que comique n'est plus vraiment à faire, celle de Tina Fey - du moins au cinéma- est encore à écrire. La comédienne découverte dans le Saturday Night Live et star de la série 30 rock forme avec Carell un duo dynamique et nous entraîne pour une 1H30 de franche rigolade. L'histoire repose sur un simple quiproquo mais on oublie vite cette légèreté scénaristique pour se laisser guider par la complicité de ce couple détonant avec quelques scènes qu'on n'oubliera pas de si tôt. Si vous êtes à la recherche d'une bonne comédie et bien vous l'avez trouvé avec Crazy Night !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la réservation au restaurant de quelqu'un d'autre.