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steve little

  • Wrong cops

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    Protéger et Servir, telle est la devise de la Police mais il serait bien de le rappeler à certains de ses agents. Commençons par notre pote Duke (Mark Burnham) qui passe ses journées à refourguer des rats morts où il a subtilement planqué de l’herbe. Un commerce qui marche fort et il a même une touche dans le milieu du cinéma. Il y a aussi Renato (Eric Wareheim) qui se sert de sa position pour obliger les femmes à lui montrer leurs seins, Shirley (Arden Myrin) prête à faire du chantage à son propre boss ou encore Rough (Eric Judor) qui rêve d’une carrière musicale. Si vous habitez à Los Angeles, je ne me sentirais pas vraiment rassurez si j’étais vous !

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    Depuis qu’il s’est lancé dans le cinéma, notre pote Quentin Dupieux nous a habitué à de véritables ovnis et ce Wrong cops se révèle finalement bien plus abordable que ses précédents films. On accompagne ainsi des policiers peu scrupuleux dans leur quotidien fait de trafics, de magouilles en tous genres, de recherche musicale et j’en passe. Que les fans du réalisateur se rassurent, ça reste tout de même très décalé mais ces différents portraits manquent d’un véritable liant ce qui fait que cela s’apparente davantage à une succession amusante de sketchs plutôt qu’à un long-métrage. Quand on connait les délires dans lesquels le réalisateur nous a embarqués, il y a quand même de la déception.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois avant d’appeler la Police !

  • Wrong

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    Comme chaque matin, son réveil le sort du lit à 6H60 et notre pote Dolph Springer (Jack Plotnick) s’apprête à partir au travail mais quelques chose cloche dans la maison. Il n’a pas aperçu son chien Paul et très vite l’inquiétude va laisser place à une certitude : il a disparu ! C’est donc avec l’esprit préoccupé que Dolph se rend à son travail d’où il a été viré il y a maintenant 6 mois. A son retour à la maison, il découvre une lettre qui lui révèle que Paul a été kidnappé et pas par n’importe qui. Celui qui a commandité cela est un certain Master Chang (William Fichtner) et il a fait cela avec un but bien précis ; faire prendre conscience à son propriétaire la place qu’occupe ce chien dans sa vie.

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    Que l’on se rassure, le cinéma de Quentin Dupieux reste toujours aussi atypique et Wrong ne fait que perpétuer la tradition. Il y a au départ un scénario plus qu’anecdotique à savoir la disparition d’un chien et à partir de là se succèdent des situations totalement farfelues tel que ce travail dans un bureau sous la pluie ou encore la reconstitution du parcours d’un étron dans l’intérieur du chien ! Comme toujours ce style très particulier est plus que surprenant et peut aussi bien vous captiver que vous précipiter vers les sorties de secours. Si vous connaissez déjà la filmographie du réalisateur, vous ne serez pas trop décontenancé en revanche s’il s’agit pour vous d’une découverte de son univers attention au choc !

     

    Il faut le voir pour : Analyser les logos des prospectus des livreurs de pizzas.