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Guy Ritchie

  • Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres

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    A l’aube du 20ème siècle, les relations entre la France et l’Allemagne n’ont jamais été aussi tendues et le récent attentat qui a frappé Strasbourg ne va pas apaiser la situation. Ces attaques sont mises sur le dos des anarchistes mais notre pote Sherlock Holmes (Robert Downey Jr.) est lui sur une tout autre piste menant droit vers le Dr. James Moriarty (Jared Harris). Bien loin de ces affaires, John Watson (Jude Law) ne pense lui qu’à son mariage avec la charmante Mary (Kelly Reilly) mais leur voyage de noces va tourner court. Entre Moriarty et Holmes commence effectivement une passionnante partie d’échecs à grande échelle où tous les coups sont permis ! Le détective a trouvé un adversaire de taille face auquel il est vulnérable et l’issue est plus qu’incertaine.

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    Guy Ritchie avait réussi à redonner vie, avec l’adhésion du public, au célèbre duo de détectives ce qui l’a conduit à mettre en route cette suite dans la foulée qui reste ainsi dans l’esprit de l’épisode précédent. On retrouve bien entendu les vedettes que sont Downey Jr. & Law ainsi qu’une brève apparition de Rachel McAdams dans un film qui sait allier le spectaculaire et un scénario faussement complexifié. L’esprit de déduction de l’inspecteur de Baker street est plus que jamais magnifié par le réalisateur qui a tout de même le bon sens de ne pas trop nous abreuver de ce genre d’artifices. Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres apparait plus adapté au grand public pour ne pas dire banalisé mais se révèle dans l’ensemble assez efficace, en résumé un bon divertissement ni plus ni moins.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre l’art du camouflage urbain !


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  • Sherlock Holmes

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    Ils l'avaient pourtant vu de leurs propres yeux ; Blackwood (Mark Strong) avait été condamné à la pendaison et c'est John Watson (Jude Law) lui-même qui avait prononcé sa mort. Le Docteur et son compère de toujours Sherlock Holmes (Robert Downey Jr) ont donc été grandement étonnés lorsqu'ils ont appris sa réapparition et ils font preuve d'une extrême méfiance. Blackwood lui-même avait annoncé sa résurrection et il semble que sa passion pour la magie noire lui ait permis de revenir d'entre les morts. Foutaises selon Holmes qui va tout faire pour trouver une explication rationnelle mais le temps presse car Blackwood sème sur son chemin de nouveaux cadavres.

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    Le célèbre inspecteur de Baker Street renait grâce aux caméras de Guy Ritchie qui nous sert une version modernisée tout en restant respectueuse à l'œuvre originale de Sir Arthur Conan Doyle. Points positifs, le réalisateur a su créer un univers qui s'approche du steampunk et fait preuve parfois de génie dans la mise en scène. Avec son flegme légendaire, Sherlock Holmes nous entraine ainsi à travers des aventures teintées de magie noire sans oublier sa relation ambiguë avec son partenaire Watson. Le scénario est un peu trop obscur pour qu'on puisse réellement accrocher et puis le personnage de Blackwood est tout sauf captivant. Un essai prometteur mais qui demande à être transformé pour une suite déjà annoncée avec certainement le Dr Moriarty.

     

    Il faut le voir pour : Affuter votre sens de l'observation.


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  • RockNRolla

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    Si vous voulez percer à Londres, vous devez avoir dans votre carnet d’adresse notre pote Lenny Cole (Tom Wilkinson) dont les contacts sont précieux. Uri Omovich (Karel Roden) ne s’y est pas trompé en faisant appel à ses services et en preuve de sa reconnaissance ; il lui a prêté son tableau de peinture porte-bonheur le temps que tout soit conclut. La tuile c’est que Lenny va se faire voler ce tableau et pas par n’importe qui, par son propre fils Johnny Quid (Toby Kebbell) ; un rocker que tout le monde croyait mort. Il va ainsi devenir l’homme à retrouver d’autant plus que d’autres truands vont s’inviter dans la partie.

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    En dehors des pages des magazines people, on avait presque oublié que Guy Ritchie était un réalisateur surtout après la déception de ces derniers films. L’heure du rachat a sonné et RockNRolla devait lui permettre de se réconcilier avec les fans, mission plus ou moins réussi. Par sa réalisation décalée et ses personnages au caractère si particulier, le film est un pur divertissement rien à dire mais repose sur certaines ficelles assez faciles. Comment ne pas penser à la fameuse danse entre Thurman et Travolta de Pulp Fiction quand on voit celle entre Thandie Newton & Gérard Butler. Pas de grosses prises de risques donc mais ça ne vous empêchera pas de passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre ce qu’est un RockNRolla.

  • Revolver

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    Jake Green (Jason Statham) sort de 7 ans de prison et cette fois il est bien décidé à lancer son business. Sa première étape est d’aller voir Dorothy Macha (Ray Liotta) histoire de l’humilier et surtout de lui prendre de la thune car il n’a pas perdu son temps en prison ; il possède une formule qui lui permet de mettre en place l’arnaque parfaite. Macha ne se méfiait de rien et l’a encore en travers de la gorge, il envoie ses hommes pour abattre son nouvel adversaire mais celui-ci a la chance d’être pris sous l’aile d’un duo hors du commun : Zack & Avi (Vinnie Pastore & Andre Benjamin). Travaillant comme usuriers, ce nouveau trio va prendre un malin plaisir à perturber les affaires de Macha.

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    Ce film de Guy Ritchie aurait pu devenir une nouvelle référence pour celui à qui l’on doit le déjà culte Snatch. Dans la réalisation justement, on sort des sentiers battus avec différents mouvements de caméra et même l’introduction d’un dessin animé (idée piquée à un certain Kill Bill) mais le problème avec Revolver ce sont les personnages. En fait, entre Macha & Green ; on est rapidement perdu dans leurs personnalités complexifiées puisque le réalisateur réussit à nous perdre dans un dédale psychologique rendant le film complètement insipide. Bref, dommage il y avait le potentiel de nous pondre un bon truc mais on oubliera vite ce ratage.