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dale dickey

  • Regression

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    Dans le Minnesotta, en 1990. L'inspecteur Bruce Kenner (Ethan Hawke) vient d'hériter d'une affaire plutôt malsaine puisque John Gray (David Dencik) est accusé par sa propre fille Angela (Emma Watson) de viol. Lorsqu'il interroge le suspect, celui-ci ne tarde pas à passer aux aveux mais dans le même temps ne semble n'avoir aucuns souvenirs précis sur ce qu'il s'est passé. Ce n'est qu'au moment où John se présente devant le psychologue Kenneth Raines (David Thewlis) que l'histoire commence à s'éclaircir. Il semble en effet qu'Angela n'a pas seulement été victime d'agressions sexuelles mais qu'elle est au cœur de rites sataniques !

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    Il aura fallu 6 ans après son Agora pour que notre pote Alejandro Amenábar revienne sur les écrans avec ce thriller inspiré de véritables faits divers américains. Retour dans les années 1990 où une enquête policière va soudainement prendre une tournure pour le moins mystique puisqu'on met le pied dans l'univers du satanisme. Regression est aussi un mot qu'on pourrait aussi bien appliquer à la carrière du réalisateur espagnol tant ce film déçoit. Que ce soit Ethan Hawke ou bien Emma Watson, l'interprétation nous laisse de marbre mais c'est surtout la conclusion qui fait un l'effet d'un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Zapper les publicités à partir de maintenant, c'est plus sur !

  • White bird

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    Alors que notre pote Kat Connors (Shailene Woodley) allait bientôt célébrer ses 18 ans, sa mère Eve (Eva Green) a soudainement disparu. Au début, elle pensait qu’il ne s’agissait que d’un malentendu et que son père Brock (Christopher Meloni) dramatisait la situation mais il a bien fallu qu’elle se rende à l’évidence. Dans le même temps, ce départ ne surprend pas vraiment Kat puisqu’entre ses parents s’était immiscé une certaine indifférence et ce couple avait finit par dépérir. Reste à savoir pourquoi Eve est réellement partie. Certains disent qu’elle avait un amant et qu’elle aurait tout quitté pour refaire sa vie ailleurs.

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    Notre pote Gregg Araki continue son petit bonhomme de chemin et se charge de l’adaptation sur grand écran du roman de Laura Kasischke. Le point de départ est donc la disparition mystérieuse de la mère incarnée par Eva Green et ses répercussions. S’en suit alors un manège incessant entre passé et présent où se dévoilent au compte-gouttes les indices conduisant à cette conclusion. L’intérêt de White bird réside dans la personnalité de l’héroïne, jeune femme loin d’être traumatisée par la disparition de sa mère jusqu’au jour où éclate la vérité. Si le dénouement réserve une petite surprise, c’est loin d’être suffisant pour emballer le spectateur et finalement on se retrouve avec un film assez insipide.

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre frigo !

  • Winter’s bone

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    Avec une mère malade et un père en prison, notre pote Ree Dolly (Jennifer Lawrence) a rapidement développé son sens des responsabilités. A 17 ans, elle doit en effet s’occuper de la maison tout en veillant  sur son petit frère et sa petite sœur. Les temps sont durs et la famille éprouve des difficultés ne serait-ce que pour manger à leur faim et leur malheur ne s’arrête pas là. Le Shérif Baskin (Garrett Dilahunt) est venu les informer que leur père  a été libéré mettant sa maison et son terrain sous caution. S’il ne se présente pas à la prochaine audition au tribunal, Ree et sa famille se retrouveront alors sans toit.

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    La réalisatrice Debra Granik nous invite dans une Amérique profonde, celle où les gens vivent en clan et où les secrets arrivent vite aux oreilles de tout le monde, un voyage parfois dérangeant. Winter’s bone c’est tout d’abord la confirmation que Jennifer Lawrence, incroyable femme-enfant qui s’était déjà fait remarquée avec Loin de la terre brulée, est une actrice à surveiller ! Un premier rôle principal qui lui permet de démontrer tout son talent, bien aidé également par de bons personnages secondaires et notamment celui incarné par John Hawkes. Un film loin de sortir des moules hollywoodiens, une histoire imprégnée d’une incroyable tension, bref à découvrir au plus vite.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à cuisiner l’écureuil.