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cécile rebboah

  • La liste de mes envies

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    Jocelyne (Mathilde Seigner) vit à Arras où elle tient une boutique de mercerie qui connait un succès grandissant grâce au blog qu’elle vient de lancer. Elle a aussi la chance d’avoir en face d’elle deux véritables potes d’enfance avec Danielle & Danielle (Virginie Hocq & Frédérique Bel) et c’est d’ailleurs par leur intermédiaire que son destin va changer. Il y avait 1 chance sur 76 millions et c’est sur Jocelyne que c’est tombé ; elle vient en effet de remporter la cagnotte de 18 millions d’euros. Une fortune dont elle ne sait pas quoi faire car elle estime qu’elle a déjà tout pour être heureuse et surtout elle ne souhaite pas révéler cette incroyable nouvelle à son entourage et à commencer par son mari Jo (Marc Lavoine).

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    A première vue, on se disait que La liste de mes envies allait être une énième comédie autour d’un gagnant à la loterie avec sa petite morale de circonstance. C’est en partie vrai puisque le film de Didier Le Pêcheur introduit également un aspect dramatique à travers les difficultés qu’a subies notre pote Jocelyne. Cela aurait peut-être pu fonctionner avec une autre actrice car Mathilde Seigner se montre peu empathique voire ridicule lorsqu’il s’agit de nous émouvoir en tentant de verser des larmes. Heureusement que les présences des jumelles Hocq / Bel, de Cécile Rebboah sans oublier la psychologue Julie Ferrier viennent nous redonner un peu le sourire même si cela est fortement surjoué. Un film qui ne donne pas du tout envie, loin de là !

     

    Il faut le voir pour : Fouiller les chaussures de votre femme !

  • Louise Wimmer

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    Chaque jour qui passe est une véritable épreuve pour notre pote Louise Wimmer (Corinne Masiero) qui se retrouve actuellement dans une situation difficile. Cela fait 6 mois que son dossier traine et qu’elle attend de se voir attribuer un logement décent et jusque-là elle a élu domicile dans sa voiture. La vie au quotidien est éprouvante ; pour se nourrir elle guette les clients sur le départ au restaurant et pour la toilette, elle se rend dans les stations-services. Son travail de femme de ménage ne lui permet malheureusement pas à se sortir de cette spirale infernale. Louise est criblée de dettes et se demande si elle entreverra un jour le bout du tunnel.

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    Louise Wimmer constitue certes le portrait d’une femme tombée dans les affres de la précarité mais c’est aussi et surtout une photographie réaliste de notre société contemporaine. Au-delà du triste sort réservé à notre héroïne c’est en effet aussi l’occasion de découvrir un environnement hostile où l’individualisme et l’égoïsme des uns et des autres prend le pas. Louise est une femme qui refuse la pitié et est représentative d’une frange de la population plongée dans la misère mais qui fait tout son possible pour préserver les apparences perpétuellement à la recherche d’une bouée de sauvetage. Tout repose donc sur la comédienne Corinne Masiero plus habituée au théâtre qui se voit proposer là son premier grand rôle sur le grand écran et qui mériterait largement d’enchaîner avec d’autres.



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  • Le café du pont

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    Le café du pont, tout le monde aime s'y retrouver pour boire un petit verre et se détendre entre potes d'enfance. Ce café appartient à Claudia & Maurice Perret (Cécile Rebboah & Bernard Campan) et tous deux ne lésinent pas sur les efforts pour que les affaires tournent ce qui n'est pas toujours évident avec leurs 2 garçons Pierrot & Jeannot (Thomas Durastel & Julien Demarty). L'occupation allemande a changé beaucoup de choses dans leur quotidien mais ce n'est qu'un mauvais moment à passer et toute la famille Perret retrouvera vite le sourire. Cependant, l'état de santé de Claudia décline de jour en jour, ses efforts répétés pourraient la condamner si elle ne s'octroie pas un peu de repos.

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    Si le roman de Pierre Perret a su susciter en vous le moindre sentiment, restez-en donc là car cette adaptation sur le grand écran est une véritable infamie. Réalisation mollassonne, histoire inexistante, des dialogues qui sonnent faux et un ingénieur du son à mettre à la porte ; il n'y a pas beaucoup de points positifs concernant Le café du pont. Ce n'est pas l'apparition de Sergi López en chasseur de taupes qui viendra rehausser le niveau de ce film faussement nostalgique. Seule la prestation de Cécile Rebboah vient nous apporter un peu de lumière dans cet abime de désespoir et il n'est pas étonnant qu'avec ce genre de films que des bars se remplissent !

     

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