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FIlm - Page 154

  • Taxi

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    Cette fois c’est terminé ! Plus de pizzas à livrer pour notre pote Daniel (Samy Naceri), dans quelques heures il va enfin pouvoir étrenner sa belle Peugeot blanche et devenir chauffeur de taxi ! Un chauffeur bien particulier qui peut aussi bien fait quelques mètres pour aider une dame que jouer les pilotes pour que vous puissiez attraper votre avion. Pendant ce temps, un gang de braqueurs joue avec les nerfs de la police marseillaise ; une enquête à laquelle participe Emilien (Frédéric Diefenthal). C’est qu’il aimerait bien mettre la main sur ces criminels et prouver à tous - et notamment à la belle Petra (Emma Wiklund) - qu’il peut être lui aussi un bon flic. La providence va l’envoyer sur le siège arrière de Daniel qui va ainsi devenir bien malgré lui son nouveau partenaire !

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    S’il est loin d’être un chef d’œuvre du 7ème art, Taxi a tout de même su tracer sa route dans le cinéma français devenant le point de départ d’une saga de 4 épisodes. A l’époque de sa sortie en salles, on n’a pas encore eu droit aux Fast & Furious et autres films de bagnoles aussi la réalisation dynamique de Gérard Pirès a vite séduit. Conduit également par un sympathique duo Diefenthal / Naceri ; ça reste du divertissement pur et dur aussi il ne faudra pas être trop regardant vis-à-vis des scènes d’action parfois totalement ridicules comme cette fusillade où se retrouve impliqué le ministre. Le plaisir est resté intact ce qui est loin d’être le cas pour les épisodes suivants et encore moins pour son pitoyable remake américain New-York Taxi.

     

    En savoir plus sur Taxi 2 ?

    En savoir plus sur Taxi 3 ?

    En savoir plus sur Taxi 4 ?


    En savoir plus sur New York taxi ?

  • A perdre la raison

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    Notre pote Mounir (Tahar Rahim) vit avec André (Niels Arestrup), médecin et soutien indéfectible aussi bien pour lui que pour toute sa famille. Lorsque Mounir rencontre la femme de sa vie, André n’hésite pas un seul instant et invite Murielle (Emilie Dequenne) à emménager avec eux. C’est une drôle de situation mais l’entente est cordiale cependant le poids des années vont faire voler en éclats ce ménage. Le couple donne naissance à 4 enfants et des tensions apparaissent au point que Murielle plonge dans une profonde dépression et ne tient le coup qu’avec l’aide d’une psychologue.

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    Ils nous avaient scotchés avec Un prophète ; Niels Arestrup & Tahar Rahim sont de nouveau réunis à l’écran pour un drame intense. S’il fallait encore vous convaincre de la complicité évidente liant les 2 comédiens, il va sans dire que votre vœu sera exaucé et toujours de belle manière. Cette relation quasi-filiale est au cœur de l’intrigue mais A perdre la raison met aussi en évidence une superbe Emilie Dequenne prise en étau entre les hommes de sa vie. Une prestation intense qui se manifeste jusqu’à son impressionnante transformation physique témoignant du calvaire qu’a pris sa vie ; un film poignant !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus écouter "Femmes, je vous aime" de la même façon

  • L’attaque des guêpes tueuses

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    Un camion venait tout juste de traverser la frontière entre le Guatemala et le Mexique lorsqu’il a eu un accident sur la route. Lorsque la reporter Sandra Kern (Kaarina Aufranc) et son assistant Charlie (Freddy Soto) en pleine enquête arrivent sur les lieux, ils découvrent également un policier sur place victime de plus d’une cinquantaine de piqures. Si  on ignore encore ce qui a bien pu lui arriver, notre pote Daniel Lang (Shane Brolly), pourchasseur d’insectes (mais lui préfère le terme d’entomologiste)  s’intéresse lui à une caisse qui renferme ce qui apparait comme un nid. Il découvrira par la suite qu’une nouvelle espèce de guêpes prolifère dans la région et qu’ils sont particulièrement agressifs puisqu’on va identifier une nouvelle victime.

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    Ce n’est pas la taille qui compte … je ne sais pas à quoi vous pensez mais je parle ici des petites guêpes qui vont venir provoquer l’affolement au cœur d’un village mexicain. Il faut être lucide, difficile d’être impressionné par cet insecte lorsqu’on a connu des super requins, des crocodiles géants et autres animaux du zoo surnaturel. D’autant plus que les malheureuses victimes qui ont subi L’attaque des guêpes tueuses s’en tirent avec juste quelques boutons, on aurait apprécié quelque chose d’un peu plus violent de la même façon que la scène de la morgue. Ça ne vole pas bien haut ce qui n’est pas une surprise, on s’est contenté d’un film banal où nos "prédateurs" n’apparaissent pas plus d’un quart d’heure et qui ne font finalement pas plus de dégâts qu’un moustique. Pas assez folle la guêpe sur ce coup-là !

  • Hold-up

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    8 minutes pour le plus grand braquage de l’histoire de la Scandinavie. Le 05 Avril 2004, 11 hommes cagoulés, armés et totalement préparés font irruption dans la cour arrière de la Nokas, une banque. Leur plan a été minutieusement étudié ; toutes les précautions ont été prises à commencer par le blocage du commissariat situé non loin de là. C’est un camion en feu qui bloque la sortie des véhicules des forces de l’ordre, le temps pour eux d’agir mais les choses se compliquent. Si le personnel de la Nokas est parvenu à s’enfuir, une fusillade débute alors qu’en ce début de matinée de nombreux civils arpentent les rues de la ville de Stavanger sans conscience du danger qui les entoure.

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    Reconstitution du plus célèbre braquage en Norvège, Hold-up réussit sans grand mal à capter notre attention dans sa première partie. L’histoire se met en place non seulement par des va-et-vient temporels mais aussi en adoptant différents points de vue. On assiste ainsi à la préparation soignée des bandits, à la routine quotidienne des employés de banque ou encore à la prise de fonction des policiers. Puis la dernière demi-heure s’attarde sur une fusillade qui s’éternise d’autant que le réalisateur ne semble pas vouloir en faire une séquence spectaculaire à l’image de ce plan final où de l’avant d’un bus, on assiste à l’installation d’une scène de crime.

     

    Il faut le voir pour : Calculer le rapport poids/valeur des billets de banque et vérifier le butin des films au cinéma parce qu’on nous prend pour des cons !

  • Magic Mike

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    Mike (Channing Tatum) est un mec très occupé qui tente de réunir les fonds nécessaires pour créer sa propre affaire. Il ne rechigne pas à travailler que ce soit sur un chantier ou … dans une boite de strip-tease ! C’est ce que va découvrir son nouveau pote d’enfance Adam (Alex Pettyfer), un jeune homme de 19 ans un peu paumé et qui va être invité à participer à ce show bien particulier. Devenus inséparables, ces 2 potes d’enfance mènent la belle vie ; l’argent est au rendez-vous et ce qui n’est pas pour leur déplaire, le plaisir également mais il faut savoir se méfier des excès. Brooke (Cody Horn) surveille de près les activités de son jeune frère bien qu’elle se rende compte que Mike fait preuve d’une certaine responsabilité envers son protégé.

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    Parce qu’il faut parfois faire plaisir aux femmes (Comment ? Oui et aussi à quelques hommes), Magic Mike va vous permettre d’admirer les attributs de Tatum, McConaughey et consorts. L’idée de voir des mecs s’effeuiller est certainement loin d’émoustiller tout le monde mais il faut savoir que le scénario s’inspire du passé de l’acteur principal. Il sera peut-être difficile de le croire mais c’est bien le renommé Steven Soderbergh qui se trouve derrière la caméra. Etonnant car le film repose sur un vide scénaristique auquel les prestations de chacun peinent à relever le niveau si bien qu’on trouve souvent le temps long. Une fois qu’on a vu un show on a tout vu, loin d’être magique ça ne risque pas de ramasser beaucoup de billets dans le slip ni ailleurs.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre copine sortir avec ses potes d’enfance !

  • Nom de code : Le nettoyeur

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    Quand Jake Rodgers (Cedric the entertainer) s’est réveillé dans ce lit aux cotés d’un cadavre, qui plus est un agent du FBI, il ne pensait pas que la situation pourrait être plus désastreuse. Et pourtant, voilà que notre pote a un gros trou de mémoire jusqu’à en avoir oublié son nom mais très vite la plantureuse Diane (Nicolette Sheridan) lui remet les idées en place. Elle prétend être sa femme alors qu’en réalité, elle est chargée de lui soutirer des informations capitales mais Jake n’est pas encore au bout de ses peines. Convaincu qu’il est en réalité un grand espion, il va également faire la connaissance de Gina (Lucy Liu) et commence alors pour lui d’incroyables aventures !

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    Il y a peu de chances que vous connaissiez le comédien Cedric the entertainer qui s’est surtout fait connaitre aux Etats-Unis grâce à son émission télévisée. Plus habitué aux seconds rôles, c’était donc un sacré pari de lui confier les rênes de Nom de code : Le nettoyeur même s’il a à ses cotés des atouts charmes nommés Nicolette Sheridan & Lucy Liu. Pour autant, c’est loin d’être un grand divertissement ; l’humour y est éculé et le personnage de Jake parvient tout juste à nous arracher quelques sourires. Si l’heure du nettoyage a effectivement sonné, cette banale comédie risque de ne pas y survivre !

  • Comme un homme

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    Tout s’est déroulé comme ils l’avaient prévu ; nos potes Louis & Greg (Emile Berling & Kevin Azaïs) viennent d’enlever Camille (Sarah Stern), une prof d’anglais du lycée Ernest Renan. Pour comprendre ce qui les a poussés à faire une telle chose, il faut remonter quelques jours auparavant lorsque Greg a perdu les nerfs et a menacé cette femme avec une paire de ciseau. C’est donc pour se venger qu’il a planifié cet enlèvement ; ils vont la retenir prisonnière dans un cabanon dans les bois juste le temps de lui faire peur. C’était du moins le plan prévu au départ mais les choses vont devenir beaucoup plus compliquées et Louis va se retrouver seul avec cet otage sur les bras.

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    Au commencement de Comme un homme, il y a d’abord une simple histoire de vengeance qui va déraper brusquement. Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure que le film de Safy Nebbou dévoile réellement ses intentions en révélant le portrait de Louis, adolescent et fils du proviseur traumatisé par un évènement familial. Le plus étrange dans tout ça c’est que c’est justement à partir de ce moment que l’intérêt va en décroissant. Si l’on peut difficilement remettre en cause la relation entre Emile et Charles Berling, père et fils à l’écran comme à la vie ; on est bien moins convaincu par leurs personnages respectifs perdus dans un scénario sans relief. Tu seras un homme mon fils mais pas tout de suite !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’embêter vos professeurs !

  • Margaret

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    Notre pote Lisa Cohen (Anna Paquin) vit à New-York en compagnie de sa mère Joan (J. Smith-Cameron) et de son petit frère Curtis (Cyrus Hernstadt). Cette lycéenne ordinaire est actuellement à la recherche d’un chapeau de cow-boy pour ses prochaines vacances d’hiver avec son père qui doit l’emmener faire de l’équitation. Alors qu’elle se promène dans la rue, elle croise un chauffeur de bus avec un beau chapeau et tandis que le bus reprend la route Lisa tente d’attirer l’attention de cet homme. Il s’appelle Maretti (Mark Ruffalo) et face à cette distraction va provoquer un terrible accident ; une femme est renversée et ne survivra pas à ses graves blessures. Un drame qui va totalement marquer Lisa.

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    C’est le parcours d’une adolescente, témoin bien malgré elle d’un accident mortel point de départ de nombreuses interrogations et d’un combat pour la justice. Bien que le film dure près de 2H29 (alors que le projet initial du réalisateur Kenneth Lonergan s’approchait des 3H30 provoquant le retard de la sortie en salles de 5 ans !), on ne voit pas vraiment le temps passer puisqu’autour de ce drame gravite d’autres histoires. Qu’il s’agisse des aventures de Lisa ou de la relation naissante entre Joan & Ramon, Margaret brille par la qualité de son interprétation  avec évidemment en tête Anna Paquin. Un casting complété également par les présences plus furtives de Matt Damon & Matthew Broderick pour un film dramatique intense.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de distraire le chauffeur de bus !

  • Cornouaille

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    Direction le Finistère et plus précisément Quimper pour Odile (Vanessa Paradis) qui vient d’hériter d’une maison au bord de la mer qui appartenait à sa tante. Elle n’était pas revenu sur les lieux depuis l’âge de 12 ans mais ne compte pas s’éterniser et aimerait vendre le plus vite possible. Elle s’empresse donc de vider la maison, de vendre les meubles mais au fil du temps des souvenirs remontent à la surface. Et puis ce retour lui donne aussi l’occasion de revoir Loïc (Samuel Le Bihan), un pote d’enfance avec qui elle a partagé tant de si bons moments du moins c’est ce qu’elle s’imagine. Odile a en effet cette particularité de voir les fantômes de son passé, un passé dont la page est difficile à tourner.

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    Drôle de film que la dernière réalisation d’Anne Le Ny car le spectateur pénètre sans trop s’en douter dans une étrange atmosphère. Tout commence avec la succession d’une belle maison qui va alors faire remonter les souvenirs à notre pote Vanessa Paradis et très vite c’est une ambiance mystique qui s’empare de Cornouaille. Cela est également renforcé par le folklore de la région qui vient embrumer un peu plus nos esprits avec comme résultat qu’on finit par s’y perdre. Au final, on se retrouve avec un drame fantastique assez morne peuplé par des personnages pas plus frétillants que des fantômes. Si ça peut en consoler certains, il y a quand même de beaux paysages à voir !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de porter la cravate, on va vous prendre pour un notaire.

  • Blonde ambition

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    En ce jour de la Saint-Valentin, Billy (Drew Fuller) n’aura jamais paru aussi loin, lui qui est parti à New-York pour lancer sa carrière de mannequin. Devant la tristesse de sa petite-fille, Papy (Willie Nelson) lui offre un super cadeau : un billet pour se rendre à la Grosse pomme et réserver ainsi une surprise à son fiancé. A l’arrivée, c’est en fait notre pote Katie (Jessica Simpson) qui va avoir la désagréable surprise de trouver Billy au lit avec une autre femme. Le cœur brisé, la jeune blonde est consolée par sa cousine Haley (Rachael Leigh Cook) qui la convainc de rester à New-York d’autant plus qu’un super job va lui être proposé. Katie est ainsi engagée chez Connelly & Connelly mais ignore que sa présence est en fait un subterfuge pour faire tomber Ronald (Larry Miller), l’actuel PDG.

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    Comme toute comédie, ce film a pour ambition de nous faire rire, si si il est quand même essentiel de le rappeler surtout ici ! Jessica Simpson campe ainsi une jeune ingénue débarquée de sa campagne où on rote pour signifier qu’on a bien mangé et où il existe plein de dictons. Le décalage entre sa vie dans la petite ville de Minden et celle de New-York n’a que peu inspiré un scénario qui préfère s’en remettre à une simple rivalité entre de méchants patrons et cette employée modèle. On ne peut par la suite que constater la pauvreté de Blonde ambition dont mon seul souvenir restera ce karaoké des prêtres danois qui m’aura arraché un sourire de dépit. Si vous avez l’ambition de passer un bon moment, vous savez ce qu’il vous reste à faire ou du moins à ne pas faire …