Les combattants
Les combattants ce seront nos potes Adèle Haenel & Kevin Azaïs qui n'ont pas grand-chose en commun jusqu'à ce qu'ils décident d'intégrer l'armée.
Date de sortie : 20 Août 2014.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les combattants ce seront nos potes Adèle Haenel & Kevin Azaïs qui n'ont pas grand-chose en commun jusqu'à ce qu'ils décident d'intégrer l'armée.
Date de sortie : 20 Août 2014.
Acteur de grand talent - il a quand même eu un César - notre pote Jean Renault (François Damiens) galère pourtant à trouver du travail. Bon il faut dire ce qui est : il est chiant et dans le milieu ça ne pardonne pas toujours est-il qu’il a absolument besoin d’argent. C’est ainsi qu’il va accepter un boulot plutôt atypique puisqu’il va jouer le mort ! Pour être plus précis ; il va se rendre à Megève où un terrible fait-divers a eu lieu il y a un an et participer à une reconstitution présidée par le juge Noémie Desfontaines (Géraldine Nakache). Ce n’est pas pour autant que Jean va changer ; il est toujours attentif au moindre détail et même pour ce rôle anodin, il va se préparer comme il se doit.
Avec cette comédie sur fond de thriller, Je fais le mort fait un peu penser aux films adaptés des romans d’Agatha Christie. Derrière les quelques sourires que provoquera cette nouvelle réalisation de Jean-Paul Salomé (Le caméléon) se cache en effet un crime qui va trouver un soudain rebondissement. Si François Damiens est, comme à son habitude, plutôt sympathique on ne peut pas en dire autant du duo qu’il forme avec Géraldine Nakache qui manque de connivences. La seule chose un peu marrante ce sont les multiples références de Jean sur les différents plateaux de tournage. Oui c’est léger et on comprendra que beaucoup de spectateurs se fassent effectivement passer pour mort pour y échapper.
Il faut le voir pour : Se relaxer enfin se rilaxer !
Il n’a encore que 15 ans mais notre pote Chérif (Zinedine Benchenine) a déjà une belle liste de délits derrière ce qui exaspère sa mère Hélène (Marina Foïs). Il est donc envoyé chez sa tante Christine (Brigitte Sy) et son mari Paul (Jean-Marc Barr) où il retrouvera son cousin Thomas (Emile Berling) mais aussi de son père Farid (Ramzy Bedia) qui vit non loin de là. Alors que tout son entourage se mobilise pour qu’il file droit, la nuit venue Chérif s’évade avec Thomas et découvre que son cousin accompagné de potes d’enfance s’amusent à graffer. Dans la ville, ils ne sont pas les seuls à s’amuser ainsi puisqu’un certain Vandal est omniprésent et monopolise les meilleurs spots mais peut-être pas pour très longtemps !
C’est un premier long-métrage pour notre pote Hélier Cisterne auquel Marina Foïs, Jean-Marc Barr et Ramzy Bedia sont venus apporter leur soutien. Ils encadrent ainsi la jeune garde représentée par Zinedine Benchenine, Adrien Jolivet et Chloé Lecerf dans une guerre des territoires artistiques. Si on évoque ici les graffitis ça se résume à des inscriptions et donc un peu comme dans Gimme the loot c’est assez décevant. Reste que l’intérêt de Vandal réside surtout dans le portrait d’un adolescent dans cet environnement particulier et qui a le mérite d’éviter les clichés habituels. Un film qui fait preuve d’authenticité et plein de bonnes intentions mais pour lequel on a quand même bien du mal à se passionner.
Il faut le voir pour : Ne pas laisser vos enfants faire le mur pour préserver les autres murs !
Tout s’est déroulé comme ils l’avaient prévu ; nos potes Louis & Greg (Emile Berling & Kevin Azaïs) viennent d’enlever Camille (Sarah Stern), une prof d’anglais du lycée Ernest Renan. Pour comprendre ce qui les a poussés à faire une telle chose, il faut remonter quelques jours auparavant lorsque Greg a perdu les nerfs et a menacé cette femme avec une paire de ciseau. C’est donc pour se venger qu’il a planifié cet enlèvement ; ils vont la retenir prisonnière dans un cabanon dans les bois juste le temps de lui faire peur. C’était du moins le plan prévu au départ mais les choses vont devenir beaucoup plus compliquées et Louis va se retrouver seul avec cet otage sur les bras.
Au commencement de Comme un homme, il y a d’abord une simple histoire de vengeance qui va déraper brusquement. Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure que le film de Safy Nebbou dévoile réellement ses intentions en révélant le portrait de Louis, adolescent et fils du proviseur traumatisé par un évènement familial. Le plus étrange dans tout ça c’est que c’est justement à partir de ce moment que l’intérêt va en décroissant. Si l’on peut difficilement remettre en cause la relation entre Emile et Charles Berling, père et fils à l’écran comme à la vie ; on est bien moins convaincu par leurs personnages respectifs perdus dans un scénario sans relief. Tu seras un homme mon fils mais pas tout de suite !
Il faut le voir pour : Arrêter d’embêter vos professeurs !