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  • Max

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    La petite Maxine (Shana Castera) n’a jamais eu le bonheur de connaitre sa mère et malgré tout l’amour que lui porte son père Tony (Joey Starr), ce manque se faire ressentir chaque jour un peu plus. Après avoir une fois de plus s’être enfuie de l’école, elle croise la route de Rose (Mathilde Seigner), une femme qui s’occupe des bons hommes. Le lendemain, la petite fille vient la retrouver avec une demande un peu spéciale : elle souhaiterait que Rose vienne s’occuper de son père jusqu’à Noël. D’abord surpris, Tony finit par conclure un arrangement afin de plaisir avec Max et qui sait si le miracle de Noël ne pourrait pas agir et former un nouveau couple.

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    Si on m’avait dit un jour que je verrais Joey Starr en héros de comédie romantique ! D’ailleurs en parlant du casting, c’est certainement le seul véritable attrait de Max qui réunit également Emmanuelle Seigner & Jean-Pierre Marielle. La petite Shana Castera est elle aussi attachante mais joue souvent avec excès. Ce qui est nettement moins mémorable, c’est ce scénario auquel a participé l’homme en noir Thierry Ardisson (officiant également en tant que coproducteur) qui ne fait preuve d’aucune originalité. On a bien sur le couple qui va se former, la petite fille qui s’attache à sa nouvelle pote avec qui elle fait des photos d’identité et tout ça dans une belle ambiance de fêtes de noël déguisé en indien.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi vous avez du poulet à chaque repas.

  • Mille mots

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    Notre pote Jack McCall (Eddie Murphy) est un agent littéraire à qui tout réussit et dernièrement il a fleuré la bonne affaire. Il veut en effet éditer le livre du Dr. Sinja (Cliff Curtis), un gourou qui connait un énorme succès mais il ignore encore que cette rencontre va changer sa vie. De retour chez lui, Jack s’aperçoit qu’un arbre a poussé miraculeusement dans son patio et pas n’importe lequel. Il s’agit de l’arbre de la sagesse qu’il avait vu chez le Dr. Sinja mais le plus étrange reste qu’à chaque mot qu’il prononce, une feuille se détache. Un phénomène inexplicable mais ce qui est sur c’est qu’il ne reste tout au plus qu’un millier de mots avant que l’arbre ne perde toutes ses feuilles et cela signifierait la mort pour Jack !

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    Toujours à la recherche de sa gloire perdue, notre pote Eddie Murphy laisse de coté le travestissement (et on ne s’en plaindra pas !) pour une comédie qui recycle les poncifs du genre. Au niveau du scénario, on opte pour la carte du mec égoïste et bonimenteur dont la vie va miraculeusement prendre un autre sens en se remettant totalement en question. Certains se réjouiront du fait que le sort réservé rend les bouffonneries de l’acteur un peu plus supportable que dans ses précédents films. On notera au passage l’apparition de notre Alain Chabat qui se trouve être également un des coproducteurs. Loin de nous laisser sans voix, Mille mots se résume lui en un seul : insignifiant !

  • Les sorties du 30 janvier

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    A la veille d’une nouvelle grève qui va en enchanter plus d’un et généralement pour éviter la foule qui se presse pour rentrer à la maison, j’aime bien me réfugier au cinéma. Belle actualité encore cette semaine avec d’abord Happiness therapy où notre pote Bradley Cooper tente de reprendre une vie normale après avoir passé quelques temps dans un institut psychiatrique. Il veut notamment essayer de reconquérir sa femme et va recevoir l’aide de la belle Jennifer Lawrence.

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  • Le dernier rempart

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    Las Vegas. Un important dispositif a été mis en place dans le cadre du transfert de Gabriel Cortez (Eduardo Noriega), un dangereux criminel et en dépit de toutes les précautions prises, il est parvenu à s’évader. On retrouve vite sa trace à bord d’une Corvette ZR1 dont on a signalé le vol quelques jours plus tôt et il se dirige vers le Mexique accompagné d’un otage. Pour traverser la frontière, il va devoir passer par une petite ville d’Arizona ; Somerton dont le shérif se nomme Ray Owens (Arnold Schwarzenneger). Cet ancien officier des stups s’était retiré ici en pensant trouver le calme mais il va devoir reprendre les armes pour défendre avec ses potes d’enfance leur territoire et ça va être méchamment violent !

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    "I’ll be back" Il nous l’avait promis et après de brèves apparitions chez son pote Sly, Arnold Schwarzenneger est de retour au cinéma 10 ans après le peu mémorable Terminator 3. Pas de surprises, on a rendez-vous avec un film d’action rythmé par la chasse d’une Corvette boostée et quelques gunfights qui font plutôt mal pas étonnant quand on sait que derrière la caméra il y a Kim Jee-woon (Le bon, la brute et le cinglé / J’ai rencontré le diable …). Comme de tradition, le réalisateur effectuant sa première expérience aux states est quelque peu entravé par la machine hollywoodienne Pour détendre un peu l’atmosphère, Johnny Knoxville & Luis Guzman viennent instiller quelques notes d’humour dans cet univers de violence. Amusant tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous garer n’importe où !

  • Ultimo Elvis

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    Il s’appelle Carlos Gutiérrez (John McInerny) mais tout le monde le connait sous le nom d’Elvis Presley. Lorsqu’il ne travaille pas à l’usine, notre pote assure des spectacles en tant que sosie du King mais cette activité est loin d’être un simple hobby. Bien que personne ne le prenne au sérieux, il est Elvis Presley et c’est cette passion qui a précipité la fin de son couple avec Priscilla ou plutôt Alejandra (Griselda Siciliani). Ensemble, ils ont donné naissance à Lisa (Margarita Lopez) cependant ce père de famille n’a jamais assuré ce rôle au profit de sa "carrière". Il va pourtant devoir prendre ses responsabilités lorsqu’Alejandra est victime d’un accident, Carlos va devoir veiller sur sa fille.

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    Même s’il est rythmé des chansons du King, ce film argentin n’est pas tant un hommage à Presley que le portrait d’un fan inconditionnel perdant tout sens des réalités. Avec son allure qui prête à sourire, on se prend tout de suite de sympathie pour cette réincarnation du créateur du rock’n’roll d’autant plus qu’il est plutôt convaincant quand il s’agit de prendre le micro. Là où Ultimo Elvis pêche en revanche, c’est par son scénario finalement assez quelconque à l’image de ce moment clé du film des "retrouvailles" de ce père avec sa fille qui ne dégage pas vraiment d’émotions. S’il suscite d’abord une certaine curiosité, il ne réussit pas à maintenir cet intérêt laissant vite place à du simple ennui.

     

    Il faut le voir pour : Préparer des sandwiches au beurre de cacahuète et à la banane pour vos enfants !

  • One missed call

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    Tout a commencé avec la mort de Shelley (Meagan Good) qui s’est noyé de manière inexpliquée chez elle puis est venu le tour de Leann (Azura Skye) et ensuite de Brian (Johnny Lewis). Une série qui fait frémir notre pote Beth (Shannyn Sossamon) d’autant plus qu’elle sait que derrière tous ces drames se cachent des évènements étranges. Quelques jours avant leur décès, Leann & Brian avaient en effet reçu sur leurs portables un mystérieux message qui leur prédisait le jour et l’heure exacte de leur mort. Bien sur, lorsqu’elle raconte tout cela aux policiers qui l’interrogent, on la prend pour une folle sauf l’inspecteur Jack Andrews (Edward Burns) qui la croit lui qui vient de perdre sa sœur de façon bien mystérieuse.

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    Au départ vous avez d’abord une nouvelle japonaise de Yasushi Akimoto adaptée au cinéma par Takashi Miike avant que soit mis en chantier ce remake américain. On peut considérer One missed call comme un croisement entre The ring et Destination finale ; il existe une malédiction qui se répand à travers les portables et la faucheuse aime bien faire flipper ses futures victimes. Par contre, il ne faut pas s’attendre à des exécutions très spectaculaires, tout est vite expédié pour nourrir un climat d’effroi enfin il faut le dire vite. Ça ne vole pas bien haut et ça s’oublie vite, la seule chose à retenir c’est que la réalisation a été confiée à Eric Valette (La proie / Une affaire d’état) grâce sans doute à un coup de fil bien passé.

  • Pauvre Richard

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    Tout le quartier ne parle que de ça ; quelqu’un est l’euro gagnant de 124 millions d’euros, une fortune qui fait bien des envieux ! La question est maintenant de savoir qui est l’heureux élu et il suffira d’attendre une livraison de meubles pour que tout le monde sache qu’il s’agit de Richard (Frédéric Diefenthal). Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences car le véritable gagnant est en fait son pote d’enfance Omar (Yacine Belhousse) qui a préféré garder l’anonymat  et semant un peu plus le trouble. Désormais Richard est sollicité de toute part et il n’en peut vraiment plus, il ne veut désormais qu’une chose : retrouver le gagnant et régler ses comptes !

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    Allez, on en a tous rêvé et si j’étais riche …. Bon revenez vite sur Terre car pour l’instant on se retrouve avec Pauvre Richard et c’est vrai qu’en terme de pauvreté, on est gâté ! On sera conciliant et on passera outre un scénario très léger par contre niveau réalisation et jeu d’acteurs, on est plus proche du film amateur qu’autre chose. Bien sur, le film de Malik Chibane n’a pas bénéficié d’un grand budget mais le problème c’est que ceci est bien trop flagrant à l’écran (est-ce trop compliqué d’avoir des ordinateurs allumés dans une banque ?). Ajouté à cela des personnages bien caricaturaux plongés dans cette mer de moralité qui nous apprend que l’argent ne fait pas le bonheur et ce film le fait encore moins !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous faire livrer des meubles, ça attirera le regard de vos voisins !

  • La parade

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    Notre pote Mirko (Goran Jevtic) rêve d’égalité ; il en a assez d’être considéré comme un pestiféré pour la simple raison qu’il est homosexuel. Une nouvelle GayPride va être organisée dans les rues de la Serbie mais la dernière s’était mal terminée et il faut donc prendre toutes les précautions nécessaires. Il avait pensé à faire appel à la police mais celle-ci semble se désintéresser de leur sort et alors que tout espoir semblait perdu, une solution inattendue s’offre à lui. Organisateur de mariage, Mirko est en train de préparer celui de Pearl (Hristina Popovic) qui se trouve être la future femme de Lemon (NikolaKojo), un ancien soldat. Ce dernier n’est pas vraiment un farouche défenseur de la cause gay mais il est prêt à tout pour faire plaisir à sa bien-aimée et ne lui reste plus qu’à recruter d’autres volontaires comme lui.

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    Après la bonne surprise que fut La visite de la fanfare, c’est en s’inspirant de la première GayPride qui s’est déroulée sans violences en 2010 que le réalisateur Srdjan Dragojevic a trouvé l’idée de ce film. Le combat pour le droit des homosexuels reste un long combat, encore plus dans des pays où les mentalités peinent à évoluer et si le message prôné par La parade est louable, ça se repose sur pas mal de préjugés. Du look de notre couple au comportement primaire de leurs gardes du corps en passant par le petit doigt levé pour boire le café, il ne manquerait plus qu’une voiture rose … ah ba non elle y est aussi ! Une comédie assez gentille donc qui use avec trop d’excès la carte de la facilité.

     

    Il faut le voir pour : Considérer Ben-Hur autrement !

  • Les aventures de Rabbi Jacob

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    Ce n’est pas qu’il est raciste mais notre pote Victor Pivert (Louis De Funès) a du mal à supporter le fait d’être entouré d’autant d’étrangers. Alors qu’il est sur la route avec son majordome Salomon (Henri Guybet), il apprend que ce dernier est juif ; une surprise qui s’accompagne d’un petit accident de voiture et même de bateau. Une dispute plus tard, les 2 hommes se séparent et c’est ainsi que Victor se retrouve dans une usine où il assiste à ce qui ressemble à une exécution. Sans le vouloir, il va prêter secours à la victime Slimane (Claude Giraud) et  tous deux ont alors l’intention de quitter le pays mais un contretemps va les amener à se cacher sous le déguisement de 2 rabbins.

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    Ça pourrait vous paraitre étonnant, il m’aura fallu attendre d’avoir plus de 30 ans pour découvrir réellement Les aventures de Rabbi Jacob. Comédie ultra-populaire porté par l’unique Louis De Funès, ce sont surtout 2 scènes qui auront marqué les spectateurs à commencer par celle se déroulant dans l’usine de chewing-gum. Et comment ne pas évoquer celle que tout le monde doit connaitre ; la fameuse danse exécuté alors qu’il est grimé en Rabbi Jacob qu’on ne se lasse jamais de revoir. Le reste est un peu plus anecdotique reposant sur d’innombrables quiproquos et l’énergie déployée par son interprète principal. Prônant la solidarité et la fraternité, le film fait partie de ces classiques du patrimoine cinématographique français, un incontournable.

  • Paulette

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    Depuis qu’elle a perdu son mari, Paulette (Bernadette Laffont) vit seule dans son appartement dans un quartier populaire. Mais les temps sont durs pour elle et ce n’est pas sa maigre pension qui va lui permettre de s’en sortir aussi réfléchit-elle à une solution plutôt atypique. Elle va ainsi se mettre en relation avec Vito (Paco Boublard) , un trafiquant de drogues afin d’écouler sa marchandise et le plus surprenant c’est qu’il va finir par accepter. C’est un business qu’elle ne connait pas du tout mais astucieuse comme elle est, elle va réussir à glaner de nombreuses informations et ça va marcher mais attention certains voient d’un mauvais œil son activité !

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    L’histoire d’une mamie dealeuse de drogues peut vous faire rire et pourtant il faut savoir que tout ça est inspiré d’un véritable fait-divers. Bien sur, pour en faire une gentille comédie, on a bien grossi les traits faisant notamment de Bernadette Laffont une parfaite mégère, raciste et en lui coltinant un gendre flic. Une délicieuse grand-mère qui se voit en plus bien entourée avec les présences de Carmen Maura, Dominique Lavanant & Françoise Bertin et nous voilà devant une comédie classique mais sympathique. Si Paulette manque clairement d’idées et ne vous fera pas forcément planer, c’est assez drôle et donc juste ce qu’il faut pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Goûter à la madeleine qui défonce !